Bonjour Madame Audet,
Par ces quelques mots, j'aimerais vous remercier pour l'agréable moment de lecture que vous venez de me faire passer à la lecture du premier tome de votre biographie romancée de Thomas Edison et que je vais certainement encore passer en lisant le second tome.
Votre roman décrit très bien toute la passion (en tout cas au début) que pouvait développer Thomas Edison pour comprendre de nouveau phénomène et pour inventer de nouvelles choses tels que le phonographe, l'ampoule électrique, ... sans toutefois tomber dans le piège de vouloir nous noyer sous des détails techniques imbuvables pour les non initiés (bien que parfois j'eusse aimé avoir un peu plus de détails techniques, mais là c'est mon côté scientifique qui parle !).
A travers ce roman, vous nous décrivez également très bien le désintérêt que ce génial inventeur pouvait avoir pour tout ce qui ne serait pas exploitable industriellement et donc vendable ; prémisse de l'hyper capitalisme de notre société actuelle. Chose qu'on ne peut toutefois pas lui reprocher dans la mesure ou la recherche coûte cher, voire très cher et qu'il faut bien trouver un moyen de la financer.
En me lançant dans votre roman, je me suis plongé dans ce qu'était la recherche appliquée à la fin du XIXème siècle et j'ai vraiment eu l'impression de travailler dans le laboratoire du Sorcier de Menlo Park. Rien que pour ça, je vous dit un énorme MERCI !
Au plaisir de vous lire très prochainement.
Cordialement
Frgi
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Bon livre qui dresse un portrait général réaliste de la personnalité d'Edison, et de l'environnement dans lequel il a inventé le phonographe et l'ampoule incandescente, au moment où prennent naissance les premiers géants du capitalisme des USA.
Le livre est bien écrit et ne s'empêtre pas dans des détails techniques fastidieux. En mettant en scène une femme dans un environnement d'hommes, l'auteure nous donne une perspective originale, surtout à une époque où les femmes étaient reléguées au rôle de «poules pondeuses», ou citoyennes de second ordre.
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Bon livre qui dresse un portrait général réaliste de la personnalité d'Edison, et de l'environnement dans lequel il a inventé le phonographe et l'ampoule incandescente, au moment où prennent naissance les premiers géants du capitalisme des USA.
Le livre est bien écrit et ne s'empêtre pas dans des détails techniques fastidieux. En mettant en scène une femme dans un environnement d'hommes, l'auteure nous donne une perspective originale, surtout à une époque où les femmes étaient reléguées au rôle de «poules pondeuses», ou citoyennes de second ordre.
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"Le dernier souffle d'un homme était si difficile à oublier. Il s'agissait du silence le plus assourdissant qu'il me fût donné d'entendre." (p.152)
En accord avec la nature, un homme ne souffre jamais de la faim. (...) j'ai compris qu'il ne sert à rien de désirer conquérir le monde. Il nous appartient d'office si nous acceptons de n'être qu'une infime parcelle des merveilles qu'il recèle. Il nous nourrit, il nous réchauffe, il nous tue; nous n'y pouvons rien à l'exception de nous sentir unis à lui par les lois de la nature.
"L'ambition corrompt tout ce qu'elle touche." (p.374)
Nous vivons trop peu de temps, il faut repousser l'obscurité et ne voir que les beaux côtés de la vie.