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Trois fois que je refais cette introduction, c'est vous dire si parler de la vie c'est compliqué. Comme disait Harvey Pekar dans American Splendor, la vie ordinaire, c'est un truc assez complexe. Complexe ? En voyant la structure assez étrange de Daytripper – la plus bizarre que Zorg ai jamais vu de sa vie de bédéphile (et je peux vous dire qu'il a lu un nombre assez certain d'albums) – on admet qu'Harvey n'avait peut-être pas tort. Durant 10 chapitres, nous suivons la vie de Bràs de Oliva Domingos. Fils d'un célèbre écrivain, il tente de suivre les traces de son père. Pour l'instant, il est cantonné à la rubrique nécrologique d'un grand quotidien de Sao Paulo. Au début de l'histoire, Bràs fête ses 32 ans… et meurt. Dans le second chapitre, Bràs a 21 ans… et meurt. 11, 38, 72, des âges différents, des chapitres et toujours des fins prématurées.
A première vue, la logique ne prime pas dans Daytripper.
[...]

Lire l'article sur le blog collectif kbd :
Lien : http://blogkbd.wordpress.com..
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Pour Montaigne, philosopher est apprendre à mourir. le grand homme du XVI° qui peignit le passage et non pas l'être trouve des disciples en Fabio Moon et Gabriel Ba, jumeaux brésiliens, commettant des bandes dessinées, armés de crayons, d'idées et d'une cafetière (le café, noir sans sucre pour que le goût en soit fort et mémorable). Moi, j'ai seulement la cafetière.
Daytripper c'est une vie et de multiples morts. Moi, je croyais que j'étais éternelle.

C'est donc l'histoire d'un mec qui vit, qui rêve, qui meurt. A 32 ans, à 11 ans, à 76 ans. Dans le désordre, hors de toute chronologie. Daytripper est une fable existentielle qui saisit la quintessence de la vie. Pas une élucubration fantaisiste. C'est l'histoire de Bràs Oliva de Domingos rédacteur de nécrologies dans un journal. Au fil de dix chapitres au dessin tendre, ses vies et ses morts défilent. Entre bonheurs saisis et tragédies quotidiennes. Si j'ai bien tout compris, exister c'est: vieillir sans trop se détourner de ses rêves, saisir l'amour qui s'offre, se détacher de l'ombre trop dense d'un père écrivain, se réchauffer au regard maternel à jamais bienveillant, aimer encore, être un ami fiable, être soi. Surtout être soi. Car à tout moment, de mille et une manières, le destin peut donner un coup de poignard.

Aussi banal que vous et moi, ce Bràs. Ses histoires pourraient être nos histoires. Ce sont d'ailleurs nos histoires. Il y en a plein les journaux locaux.

Moon et Ba interrogent nos rapports à la dichotomie vie-mort. Ces deux bêtes inextricablement emmêlées. Sans pathos, sans dégoulinade, sans phrases-clés à recopier dans un carnet, sans thèse à deux euros et trois cents. Avec douceur, sans cynisme, avec réalisme, sans désespoir, les jumeaux rappellent que vivre c'est mourir un petit peu jour après jour.

Dans son dernier roman La Belle Amour Humaine, Lyonel Trouillot nous invitait à nous interroger: qu'avez-vous fait de votre présence au monde?
Dans une bande dessinée poétiquement douce-amère, deux jumeaux brésilien nous convient à mordre le présent en raison de l'absurdité de notre condition. Allez, il est temps d'aller esquisser quelques pas de samba en hommage à ces deux auteurs funambules. Et célébrer la vie.
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Brás a 32 ans. C'est le jour de son anniversaire et son père l'a encore oublié. Alors qu'il travaille pour la rubrique nécrologique d'un journal, son père est un célèbre écrivain qui l'écrase de sa supériorité et de son succès. Mais on ne choisit pas sa famille et ce soir-là, Brás décide tout de même d'aller assister au gala donné en l'honneur de son père. le détour par le café du coin pour acheter des cigarettes lui sera fatal. Il mourra par balles quelques minutes plus tard.
Brás a 21 ans. Il a toute la vie devant soi. Avec son ami Jorge, il est parti au Salvador où il rencontre la belle Olinda. Mais il y rêvera de la déesse de la mer qui prendra bientôt sa vie. Il mourra noyé dans les festivités qui célébreront la déesse.
Brás a 28 ans. .... et ainsi de suite, tout au long des 10 chapitres qui constitue cet album.

Vous l'aurez compris, le héros de cette histoire est Brás. Nous le suivons à travers les chapitres, à des âges différents et de manière non chronologique. Et si notre personnage meurt à chaque fin de chapitre, se profile pourtant le portrait d'un homme à travers ses possibles.Si vous supprimez toutes les morts et que vous remettez dans l'ordre le fil de vie du personnage, vous pouvez redessiner le parcours d'un homme, à travers les moments clés de son existence.

Car c'est bien de cela qu'il s'agit : de ses petits moments insignifiants qui construisent votre vie, de ces choix pris plus ou moins consciemment qui peuvent déterminer une vie entière.
A travers ce procédé original de faire mourir le protagoniste principal à chaque chapitre, les auteurs mettent l'accent sur le pouvoir de la vie à travers la mort. " La mort fait partie de la vie" comme le dit un des personnages. Et de fait, c'est elle qui donne de l'importance à ces moments précieux, rares et éphémères que l'on vit tous. La mort peut surgir à tout moment et il est important de profiter du moment présent, voilà ce que nous disent en substance les frères Moon et Bá.

Daytripper est tout simplement un chef d'oeuvre. La perle de l'année que j'attendais !
Sous l'apparence d'une fausse simplicité, cet album se penche sur l'existence toute entière. Il y sera question de filiation, de l'amour, de l'amitié, mais aussi de l'écriture et de la transmission. Il y sera question de nos choix de vies, ceux qu'on prend un peu par hasard et les autres, mûrement réfléchis. Il y sera question de la vie et de la mort, la notre, celles de nos proches. de ce que nous transmettons à nos enfants. de la façon dont tout cela nous construit et nous permet d'avancer. du fait qu'accepter la mort est une manière d'accepter la vie, et inversement.
La qualité graphique n'est pas en reste mais je n'ai même pas envie de vous en parler !

Daytripper est un album extrêmement fort qui parlera à chaque lecteur de façon différente. C'est un de ses albums précieux qui, par une construction intelligente, hors-norme et des dialogues soignés et réfléchis, atteint à une sorte d'universalité tout en touchant à l'intime, à l'émotionnel du lecteur.
C'est un album vibrant qui m'a personnellement bouleversé, comme tant d'autres avant et après moi.
Un album qui, entre tristesse, nostalgie et joie de vivre donne envie de VIVRE tout simplement.

"La vie est belle, mon pote"
Oui, la vie peut être belle. Profitons en.

On ne s'étonnera pas du parrainage de Pedrosa, qui signe la préface, et de Craig Thompson, qui s'est chargé de la postface, deux auteurs qui ont mis l'humain au coeur de leur travail.
Lien : http://legrenierdechoco.over..
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Si nombreux sont les blogs qui en disent énormément de bien de cet album qu'il m'est impossible d'être originale et d'apporter un éclairage nouveau sur ce roman graphique qui mérite largement les éloges qu'il reçoit et son prix aux Eisner Awards. C'est une belle réussite qui va de la très belle couverture à la postface de Craig Thomson sans oublier la préface de Cyril Pedrosa. Tout est soigné, inspiré, créatif. Tout me touche! Des différentes histoires de vie maintes fois réinventées autour du personnage de l'écrivain raté - ou non - qu'est Brás, jusqu'aux dessins et à la couleur, tout me plaît. Ce livre est un vrai plaisir.

Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Etonnant, sombre, profond. L'histoire d'un rédacteur de nécro, écrivain potentiel ou en devenir ou reconnu selon les chapitres, est découpée en 10 chapitres. A chaque fois il meurt : à 11 ans, à 28 ans, à 32 ans, à 41 ans etc. On ne ressort pas intact de cette oeuvre qui pousse à vivre, à s'engager, à réaliser ses rêves, à accepter ce que l'on est, à trouver sa place dans sa famille.
C'est profond, émouvant, perturbant. de la très grande bande dessinée, de la grande littérature.
A lire absolument, car cela montre jusqu'où la BD peut aller.
Un summum.
Merci pour ce beau cadeau.
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A travers l'histoire de vie de Brás de Oliva Domingos, un journaliste spécialisé dans les nécrologies nous allons (presque) toucher le paradis !

Car, c'est de sa vie et de sa mort qu'il s'agit dans Daytripper. Et, dans un ordre décousu du à un procédé narratif subtil, le chemin de cet homme ordinaire se déroule, marqué par des moments qui comptent, des rencontres, des petites morts et des renaissances, des malheurs, des bonheurs...

Daytripper ou la vie d'un homme. C'est résumer un peu vite cet album dans un titre accrocheur...

Daytripper est le résultat de la vie de deux hommes, les deux frères jumeaux brésiliens Fábio Moon & Gabriel Bá. Amateurs de fanzines et de comics, les deux frangins ont toujours travaillés ensemble. Leur complicité s'ajoute et ne fait plus qu'un sur l'histoire de cet album, qui as reçus un Will Eisner award 2011. Cette bande dessinée est donc arrivée en France, déjà précédée par son succès critique. Mais c'est bien normal. Mature et profonde, elle aborde des questions importantes de la vie d'un homme. Entre comics et roman graphique, Daytripper de Fábio Moon & Gabriel Bá touche l'instant présent de la vie de tous les jours de chaque êtres humains et nous rappellent qu'on as qu'une vie. Côté dessin, c'est encore un travail à quatre mains même si sur cet ouvrage, c'est Fábio Moon qui as qui dessiné la majorité de l'album. Il en résulte un aspect plus proche du roman graphique que du comics, avec des personnages simples, comme toi et moi en fait !! de la couleur, il en sort une palette assez pale, mais pleine de candeur et de pudeur.

Les auteurs signent donc une histoire d'une grande et touchante sensibilité, tout simplement poignant et qui se définit en une affirmation par le verbe : Vis !

A n'en pas douter, je relirai ce Daytripper, un jour... à moins que le temps ne me soit pas donné !
Lien : http://alamagie-des-yeux-dol..
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« Je m'appelle Brás de Oliva Domingos et je suis un rêveur. Je ne pourrais pas dire quel âge j'ai, seulement que je suis trop jeune pour me demander si j'ai posé les bonnes questions dans le passé et trop vieux pour espérer que le futur me donne toutes les réponses. Dans mes rêves, je suis l'auteur de ma propre histoire, même si je n'ai jamais écrit sur moi-même. Cette nécrologie est la première et dernière exception. Tous les endroits où m'emmèneront mes rêves, peu importe si je n'y suis jamais allé et si je n'irai jamais… m'aident à comprendre d'où je viens et où je veux aller. Ce que me montrent vraiment mes rêves est ce que pourrait être ma vie une fois les yeux ouverts. Mes rêves me disent qui je suis. Je m'appelle Brás de Oliva Domingos. Ceci est l'histoire de ma vie. Respirez profondément, ouvrez les yeux et fermez le livre » (extrait de Daytripper, au jour le jour).

Et si le héros a lui-même rédigé ce qui, selon lui, le définit le mieux, je vous fais également profiter de la présentation de l'éditeur : « Les mille et une vies d'un aspirant écrivain… et ses mille et une morts. Brás de Oliva Domingos, fils du célèbre écrivain brésilien, passe ses journées à chroniquer les morts de ses contemporains pour le grand quotidien de São Paulo… et ses nuits à rêver que sa vie commence enfin. Mais remarque-t-on seulement le jour où notre vie commence vraiment ? Cela commence-t-il à 21 ans, lorsque l'on rencontre la fille de ses rêves ? Ou au crépuscule de sa vie… » (source éditeur).

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Je préfère vous prévenir tout de suite : mon objectif est de vous faire lire cet album.

Seulement, il m'est difficile d'en parler tant ce récit touche à l'intime, à des valeurs et des émotions très personnelles. Cela est en grande partie dû à l'utilisation régulière des métaphores dans la narration. Cette histoire a résonné en moi, elle est parvenue à me faire vibrer comme les récits de cette trempe : Portugal, Local, Elmer… Et si je cite Portugal, ce n'est pas innocent tout comme il n'est certainement pas innocent que Cyril Pedrosa soit le préfacier de cet ouvrage ; Craig Thompson signe quant à lui la postface. Deux talentueux ambassadeurs pour ce travail des frères Fábio Moon et Gabriel Bá. Daytripper aura nécessité deux ans ½ de travail avant d'être finalisé. Publié en 2010 aux USA, il a été récompensé en 2011 d'un Will Eisner Award (Meilleure série).

Cette album est une bombe, j'espère qu'on en entendra retentir les déflagrations jusque dans le foyer le plus isolé.

S'il m'est difficile d'en parler, c'est parce qu'il touche à l'intime et que chaque lecteur y trouvera l'écho de sa propre expérience. Ce roman graphique nous emmène aux côtés d'un homme simple, humble. Il aspire, comme tout un chacun, à pouvoir profiter des petits bonheurs de la vie. Il se confronte, comme tout un chacun, aux accidents de la vie, aux joies, aux peines, aux doutes… La mort, une naissance, une amitié, une rencontre qui donne un sens à la vie, le rapport aux pairs et aux aînés…

La vie de Brás est développée en 10 chapitres qui ne respectent pas la linéarité chronologique habituelle. Ainsi, on prend progressivement – et par bribes – connaissance de la vie du personnage. La narration effectue des va-et-vient permanents entre passé, présent et futur, comme si ces trois ères temporelles n'étaient qu'un tout d'ailleurs… ne le sont-elles pas ? le scénario s'assemble comme un puzzle et sa composition originale annihile toute impression de monotonie, de redondance et de lenteur que pourrait avoir un tel témoignage. Et comme on situe mal l'âge « réel » du personnage principal, cela renforce l'impression que la vie est un tourbillon où se mélangent pêle-mêle des émotions d'une intensité et d'une richesse certaine. Je défie quiconque de parvenir à ne pas pleurer durant cette lecture. Enfin, le fait de côtoyer ce héros sans âge donne presque l'impression qu'il est éternel, ce qui accroît la portée du message qu'il souhaite nous délivrer.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Brás de Oliva Domingos est un petit miracle. Né dans les ténèbres d'une panne d'électricité générale de la ville, sa maman, prise de désespoir de ne pas entendre son enfant pleurer, s'est mise à chantonner. le gamin, que personne ne voyait ni n'entendait, lui a alors répondu. le courant est alors revenu.
Enfant, cette histoire lui donnait l'étoffe d'un super-héros. Adulte, le petit miracle avait besoin d'autre chose, cherchant au fond de lui à se frayer son chemin dans la vie, à trouver son identité... la sienne, pas celle du fils de son père, écrivain brésilien connu et reconnu.

Daytripper nous fait voyager au gré des époques et nous fait partager le quotidien de Brás, journaliste pour le compte des rubriques nécrologiques.
Un métier qu'il n'aime pas et qui pèse lourd sur sa conscience, torturée par le fait qu'il prendra le même chemin un jour ou l'autre.

« Je voulais écrire sur la vie, Jorge, et regarde-moi...
... tout ce que j'écris, c'est la mort. »

Comme dans le film Un jour sans fin, l'histoire est un éternel recommencement. Sauf qu'il ne s'agit pas de recommencer la même journée jusqu'à en trouver la clef, mais de mourir à chaque période clef de sa vie, peut-être pour mieux la comprendre... ou au contraire nous faire prendre conscience que nous ne sommes rien face à la fatalité, et que c'est l'ami Jorge qui détient la voix de la raison :
« La vie est belle, mon pote. »


La suite à lire sur BenDis...
Lien : http://bendis.uldosphere.org..
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Même si Daytripper est un ouvrage excellent, je me détache des chroniques dithyrambiques que j'ai pu lire à droite ou à gauche. C'est très bon, c'est poétique par moments, c'est rarement convenu, c'est toujours juste, la construction se démarque par son originalité, la mise en page est très chouette. Mais voilà, je n'ai pas eu le déclic-coup de coeur qui me fait dire que "waow, c'est un chef d'oeuvre !!". Attention, je ne veux pas que vous quittiez cette chronique en vous disant "moué, bon, on verra, le gros monsieur, il a dit que c'était pas terrible, si ça se présente, pourquoi pas...". C'est un excellent ouvrage et j'ai déjà commencé à le recommander à celles et ceux qui cherchent des ouvrages un peu originaux sur la vie et le sens qu'on pourrait lui donner. Parce que la Page Blanche, c'est sympa deux minutes mais c'est quand même violemment creux et ça n'arrive pas à la cheville de Daytripper.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Voila un album qui devrait connaître un joli succès, au moins critique. Il possède tous les atouts possibles et imaginables pour générer un bouche à oreille très positif.
Tout d'abord les éditions Vertigo nous livrent un très bel objet à la finition soignée. Et pour bien montrer que "Daytripper" n'est pas n'importe quoi, il y a une préface de Cyril Pedrosa (Portugal ) et une postface de Craig Thomson (Habibi), excusez du peu... On sent que la compagnie et la lecture seront bonnes.
Fabio Moon et Gabriel Bà, les deux auteurs brésiliens (une rareté en BD), nous proposent une réflexion sur la vie particulièrement originale et intéressante. le héros de l'histoire est Bràs, fils d'un écrivain célèbre, qui travaille dans un journal à la rubrique chroniques nécrologiques. Lui aussi rêve de suivre les traces de son père dans l'écriture mais hésite à se lancer.
Au lieu de traiter cette histoire de façon linéaire, les auteurs ont choisi un montage très particulier à partir des rêves du héros qui, tous, se terminent par sa mort à différents âges de sa vie. Cela peut paraître déroutant (ça l'est au début) mais cela se révèle au final une formidable idée narrative qui crée une atmosphère fort réussie. L'éclairage de la personnalité des différents personnages se trouve ainsi densifiée au fil des pages, rendant la lecture de plus en plus attachante. L'espace temps est complètement éclaté car nous prenons le héros à différents âges de sa vie mais jamais dans l'ordre chronologique.
Ouh là ! me direz-vous, encore un concept intello genre nouveau roman... Peut être, mais pas sûr car le coup de crayon des auteurs, leur imagination, les situations proposées, la qualité de la mise en page jouant magnifiquement avec les couleurs et les silences, font de l'ensemble une lecture exigeante certes mais vraiment stimulante.
Le seul bémol pour moi...
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