Ces nouvelles ne sont pas des nouvelles de fin DU monde, mais plutôt des moments, parfaitement incarnés, qui constituent des petites morts, des adieux, des abandons, des deuils.
Flirtant parfois avec la science-fiction mais pas uniquement, le nouvelliste Baillargeon provoque la réflexion autrement cette fois-ci : par des outils littéraires et une maîtrise narrative qu’on ne lui soupçonnait pas.
J'adore Normand Baillargeon, mais je n'ai pas accroché cette fois. Je l'ai lu en entier, ce n'est pas si mal. Ça se lit tout de même bien puisque c'est court (moins de deux heures). La nouvelle du milieu de l'oeuvre; « l'école de la rue Sainte-Anne » demeure ma préférée. C'est celle qui va chercher les deux étoiles et demi.
Normand Baillargeon – Regard sur l'économie participative (1/2) Extrait du documentaire L'encerclement, la démocratie dans les rets du néolibéralisme de Richard Brouillette.