Nul doute que Françoise Pascal ne traverse un peu plus tard une crise qui lui fera délaisser ses tableaux et ses vers, et qui la plongera « dans la mélancolie » : peut-être est-ce le secret de la détermination qui la conduit vers 1667 à Paris, où elle poursuit ses travaux de portraitiste; elle ne tardera pas à y publier une série de Cantiques spirituels, de paraphrases bibliques, de Noëls surtout, qui marquent dans sa carrière, et sans doute dans sa vie, une nouvelle période.