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Encore un bon moment de lecture avec l'inspecteur gourmand et gourmet, héros d'un allemand amoureux de la Bretagne!

J'avoue ne pas autant faire attention aux “erreurs” qui me feraient tiquer sur des livres purs polars car ce que j'aime le plus et fait passer la pilule de l'intrigue parfois faiblarde, c'est la visite touristique et gourmande de ma région préférée !!

Les habitants de l'île sont un peu caricaturaux mais sans trop d'insistance alors tout passe.

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Un corps est retrouvé accroché dans des câbles et filets à Concarneau, il est identifié : il s'agit de Patrick Provost, riche éleveur sur Belle-île.
Homme très puissant dans la petite communauté insulaire, il était reconnu pour être mauvais et unanimement détesté.
Le commissaire Dupin va découvrir cette île encore préservée, choyée et chérie par ses habitants, mais où malheureusement les mêmes travers que sur le continent sévissent.

Très bon roman policier, très bien amené, dépaysant et donnant follement envie d'arpenter cette magnifique région.
J'ai été très étonnée d'apprendre que derrière l'auteur Jean-Luc Bannalec se cache un auteur allemand passionné par la belle Bretagne, ses romans ont un succès fou outre Rhin, des circuits touristiques sur les traces de Dupin sont même organisés.

Il est temps que je m'attelle à lire les premiers tomes.
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Que tous les bretons lèvent le doigt ! Ce roman policier est écrit pour eux !
Cette enquête du commissaire Dupin, Georges de son prénom, met la Bretagne à l'honneur et sublime l'une de ses plus belles îles : Belle-île. Tout n'est que superlatifs, les couleurs, la lumière, les parfums, l'océan atlantique, les bateaux, les coutumes bretonnes, la culture bretonne, le parler breton, le côté sauvage des paysages magnifiques, le délice d'un café artisanal, les noms et prénoms locaux. Il y fait même beau et chaud durant les deux jours que passe Dupin sur l'île. Un endroit paradisiaque où pourtant un meurtre, puis deux ont été commis, en plus de chantages et d'un enlèvement. L'enquête se ressert rapidement sur une partie de l'île, Islonk (l'abîme en breton, nom prédestiné ?) ou se trouvent seulement 7 habitations, et où tout le monde se connaît, se côtoie, boit ensemble, travaille ensemble, fait partie d'association ensemble. Un huis clos, où le commissaire Dupin a bien du mal à démêler l'affaire. On se croirait dans un Agatha Christie, plus exactement dans « Mort sur le Nil ». Patrick Provost, odieux personnage, avare, cruel, méchant, solitaire mais très riche, se fait assassiner. Tout son entourage a une bonne raison de le supprimer. Son ex-femme, ses voisins, ses locataires, son berger les tenanciers du bar local et de la distillerie de Whisky, la maire, l'archéologue, l'ancienne institutrice fan/groupie de Sarah Bernhardt. Tous on vous dit. Alors l'enquête piétine, même si les gens sont très collaborateurs, on est loin de l'omerta corse. A la « Colombo », c'est un détail qui finit par donner la puce à l'oreille à Dupin.

Avec une écriture qui marque son attachement à la Bretagne et tous ses dérivés, Jean-Luc Bannalec nous livre un roman agréable, facile à lire, où le personnage principal est bel et bien Belle-île. L'enquête policière sert son texte élogieux, avec un commissaire Dupin bien campé dans son rôle de « nouveau » breton (10 ans seulement qu'il habite Concarneau), des collègues chaleureux, accueillants, pas avares pour raconter les histoires du coin ou nous apprendre les coutumes et mythes de la Bretagne.

Comment ne pas adhérer à son engouement, son enthousiasme pour cette belle région française ! Impossible, l'auteur nous embarque en Bretagne où il nous fait vivre deux jours de bonheur liés à la beauté du site. Même le double meurtre ne parvient pas à ternir le décor. Alors foncez vous aussi, et allez découvrir cette nouvelle enquête du commissaire Dupin, la 10e écrite par JL Bannalec. Et comme on dit là-bas : Ken emberr.

Je remercie Babelio et les éditions « Les Presses de la cité » pour ce beau roman policier de l'été, à emporter sur toutes les plages et le littoral français. Il fera également un bon livre de vacances à l'étranger, puisqu'il vous parlera de la France.
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Un bon polar comme je les aime, et une superbe balade sur Belle-Île.
Si après ça, vous ne partez pas rapidement visiter, c'est que vous connaissez déjà (ou que comme moi vous ne pouvez plus voyager qu'en livres)

Une enquête difficile bouclée en deux jours.
Dans ce dixième roman, le commissaire Dupin s'apprête à fêter ses dix ans en Bretagne.
Un corps retrouvé dans l'eau le conduit sur Belle-Île. Qu'il va découvrir et nous faire découvrir pour notre plus grand plaisir. Avec aussi un de ses inspecteurs qui rappelle quelques légendes et un peu d'histoire.
Un commissaire accro au café, à la bonne chère, mais aussi à la découverte de la vérité.
Qui aime se baigner mais déteste se déplacer en bateau, ce qui n'est pas idéal en Bretagne.
Le mort avait réussi à se faire détester par à peu près tout le monde. Ça n'empêche pas de devoir trouver la vérité, et ça ne simplifie pas la tâche.

Très cinématographique, autant l'enquête que la Bretagne, j'imaginais souvent voir se dérouler un film.

J'ai hésité à me lancer dans cette lecture, commencer par le tome 10.
Mais j'ai vraiment bien fait, ce n'est pas gênant du tout, même si il y a une certaine suite dans la vie du commissaire, d'un tome à l'autre.
J'ai tout aimé, un bon polar où on cherche le coupable, un commissaire plutôt sympathique, et toute son équipe aussi, la splendide découverte de Belle-Île.
Une enquête menée en deux jours, le troisième étant juste la conclusion
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Quelle jolie couverture colorée digne d'un tableau de Monet ! Une vraie invitation au voyage sur les côtes bretonnes ! Très bon moment d'évasion pour les vacances !

Pour sa dixième enquête avec le Commissaire Dupin, Jean-Luc Bannalec (auteur allemand dont le vrai nom est : Jörg Bong !) nous emmène sur la plus belle île de Bretagne grâce à son dernier roman policier intitulé "Piège Mortel à Belle-Ile".

Afin de prolonger un peu le voyage, pourquoi ne pas ajouter une carte géographique au début du roman pour que le lecteur puisse découvrir un peu mieux cette belle région ? Je précise que l'auteur a été élu "Mécène de Bretagne" en 2016 et qu'il est devenu Citoyen d'Honneur de Concarneau.

La scène s'ouvre le mercredi 3 août. L'inspecteur le Ber vient soudain perturber la baignade matinanle de son chef, le Commissaire Dupin, qui nageait tranquillement (avec un phoque !) sur la plage de Concarneau. le corps d'un riche propriétaire vient d'être repêché dans le port de Doelan : il porte des marques de strangulation...

La victime est Patrick Provost. Il habitait le petit hameau d'Islonk, composé de sept maisons, situé sur la côte ouest de l'île. Tous ses voisins étaient aussi ses locataires. Tous le détestaient. Tous sont suspects. Mais, alors que l'enquête piétine, dès le lendemain un autre cadavre est découvert...

La structure narrative est composée de trois parties suivant l'ordre chronologique du déroulement de l'enquête au cours de trois jours : mercredi, jeudi et vendredi. La première partie permet de découvrir le portrait des différents suspects : sa femme, Agnès Griffon, en instance de divorce ; son berger, Tudi Trotter, désirant avoir son propre élevage ; l'institutrice retraitée, Micheline Corbel, voulant créer un grand musée célébrant Sarah Bernhardt ; les époux Fidelin, souhaitant agrandir leur distillerie ; la Maire, Monette Mégret, rêvant de concrétiser son projet écologique d'envergure...

Dans cette longue première partie, l'auteur décrit avec beaucoup de sensibilité cette région aux paysages sublimes, comme les tableaux impressionnistes de Monet. Il donne aussi de nombreuses explications (grâce au personnage secondaire breton le Ber) sur les mythes et légendes bretonnes, ce qui donne une atmosphère mystérieuse à l'intrigue. Ce roman policier est aussi un roman de terroir car il est bien documenté sur la culture bretonne.

Dans la deuxième partie, le rythme finit par s'accélérer car elle débute par un second meurtre à élucider. C'est le coeur de ce "cosy mystery". Enfin, dans la troisième partie, l'enquête est résolue et le Commissaire Dupin fête ses dix ans de services en Bretagne avec ses collègues. Dommage que le mot de la fin ne soit pas prononcé en breton par Nolwenn, comme "Yec' hed mat !" ("Santé!")

Je tiens à remercier les éditions @pressesdelacite et Nathan de @Babelio qui, par le biais de l'opération Masse Critique Spéciale Lectures d'Eté, m'ont permis de découvrir cet auteur que je ne connaissais pas. Une très belle découverte qui donne envie de lire ses autres romans !
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Où j'ai retrouvé le Commissaire Dupin à Concarneau, prenant des bains matinaux en cet été caniculaire, et au fil des jours, nageant en compagnie d'un phoque qui semble l'avoir adopté ... 

Mais de retour au port, c'est un cadavre qui l'attend, entortillé dans des cordages, et rapidement identifié comme un résident de Belle-Île.

Après une traversée compliquée - le commissaire n'a pas le pied marin - l'enquête révèlera toutes les particularités de l'île : anciens acadiens, élevage ovin, souvenirs de Sarah Bernhardt et alimentation électrique.

Quelques jours au milieu des îliens seront nécessaires pour tirer au clair ce meurtre d'un avare détesté par tous ses voisins, entre secrets de famille, faux témoignages, alibis trompeurs et nouveau cadavre.

Ce roman offre une balade dans les splendides paysages immortalisés par Claude Monet. Une balade vivifiante dans les embruns bretons.

 Un 'cosy mystery' bon enfant ... en attendant une prochaine diffusion de la série, je me laisserai certainement tenter par la lecture d'un autre des romans de JEan Luc Bannalec :) 

Je remercie NetGalley et les Presses de la Cité 

#PiègemortelàBelleÎle #NetGalleyFrance
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Alors qu'en ce début août le commissaire Georges Dupin se baigne en mer (près de la plage de Concarneau) en compagnie – peu banale ! – d'un phoque, Nolwenn (sa fidèle assistante) et l'inspecteur le Ber viennent brusquement le sortir de l'eau. Un cadavre a été découvert dans le port de Doëlan (à une vingtaine de kilomètres). Sur place, le reste de son équipe : l'inspecteur Labat et deux policières (Le Menn et Nevou) l'attendent de pied ferme …

La victime a été étranglée. Il s'agit de Patrick Provost, un résident de Belle-île. Venu fêter l'anniversaire de son vieil oncle Jean à Doëlan … L'homme (très riche) était notamment propriétaire de moutons bretons, dont la race est réputée pour sa viande – et sa laine – de grande qualité …

Le commissaire Dupin apprend rapidement que le susnommé (Patrick Provost) était copieusement détesté sur l'île, tout particulièrement par ses congénères du hameau de Islonk où il demeurait. Nolwenn rappelle (avec insistance) à son patron qu'il va devoir régler cette affaire promptement … En premier lieu parce qu'il est le « héros » de la soirée prévue vendredi (on fêtera ses dix ans d'ancienneté !) Ensuite, parce qu'il doit se préparer ce week-end, afin de prendre part le plus sereinement possible à son examen de langue bretonne, lundi matin …

Ce dixième opus des enquêtes du commissaire Dupin est ma première lecture de l'auteur. Grande fut donc ma surprise (le roman indiquant une traduction allemande) de constater que, sous le pseudonyme de Jean-Luc Bannalec, se cache un ressortissant germanique (Jörg Bong) totalement amoureux de la Bretagne (et qui la connait comme sa poche !) Il nous fait d'ailleurs découvrir les particularités de chaque ville dans ses divers polars bretons, aussi bien sur le plan touristique que culinaire ! Cette fois, il nous décrit merveilleusement Belle-île (fort prisée par de célèbres peintres ainsi que par la non moins fameuse actrice Sarah Bernhardt …)

C'est agréablement écrit, rondement mené ! Bref : voilà une intrigue divertissante et plutôt instructive ! Nul doute que je tenterai la découverte des neuf volets précédents, ce qui me permettra d'en savoir un peu plus sur la Bretagne que je connais peu ! Un grand merci à la Masse Critique Spéciale (sélection lectures d'été) et aux Éditions Les Presses de la Cité pour ce bien sympathique envoi !
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Pour sa dixième affaire, nous retrouvons le commissaire Georges Dupin sur la bien nommée Belle-Ile, où il enquête sur le meurtre de Patrick Provost, personnage particulièrement déplaisant, qui s'est mis à dos la majorité de la population, multipliant le nombre de suspects. L'examen du bateau de Provost, riche propriétaire terrien, dont la famille descend directement des Acadiens venus se réfugier sur l'île, n'ayant rien donné, le commissaire et son équipe envisagent que le crime s'est déroulé quelque part sur l'île, et que le cadavre a ensuite été jeté à la mer dans l'espoir que la marée ferait disparaître son corps.
Mis à part les lettres de menace retrouvées à son domicile, l'enquête de proximité ne dévoile aucun indice qui dévoilerait une piste sérieuse. Après le second meurtre, le commissaire comprend qu'il a affaire à un assassin déterminé et sans scrupules et qu'il va lui falloir mettre les bouchées doubles s'il veut résoudre cette affaire au plus vite .

Mener une enquête sur une île, même assez grande, représente une gageure: le seul moyen d'y accéder ou de la quitter étant le bateau, il est difficile de surveiller chaque port ou chaque digue. Ce qui rend le concept intéressant est que la victime est propriétaire de six maisons des sept qui composent le hameau dans lequel il vit, notamment celle de son ex-femme.
Au fil des pages, Jean-Luc Bannalec, allias Jörg Bong, éditeur allemand, laisse libre cours à l'amour profond qu'il voue à la Bretagne, où il vit une partie de l'année. Ses couleurs, ses odeurs, sa faune et sa flore, ses paysages aussi somptueux que changeants, ses traditions et son histoire. Au point que parfois l'intrigue semble reléguée au second plan.
A mon sens, Piège Mortel à Belle-Ile est moins abouti que les tomes précédents, l'enquête menée de façon moins rigoureuse: le manque de fermeté du commissaire quand il interroge Micheline Corbel après le second meurtre, est peu crédible. La boulangère qui l'interrompt pour lui proposer du chocolat, des biscuits, de la crème caramel, me paraît bien fantaisiste...
Cela dit, ce dixième tome de la série vous fera passer un agréable moment de lecture et découvrir de magnifiques paysages. Sans doute, après avoir fermé la dernière page, aurez-vous envie de découvrir ce joyau qu'est Belle-Ile, si vous ne la connaissez pas encore.
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Grâce à l'opération Masse Critique estivale, j'ai le plaisir de découvrir le Commissaire Dupin, petit phénomène éditorial et télévisuel sur fond de granit et beurre salé. Je remercie donc les Presses de la Cité et Babelio pour cette ballade bretonne.

Le cadre insulaire offre aux intrigues policières un huis clos particulièrement séduisant et cette ficelle est exploitée à fond par l'auteur, et la Bretagne apporte sa touche rugueuse et mystérieuse au projet. Sur cette veine j'avais lu l'île au rébus du britannique Peter May, qui m'avait à moitié convaincue.

Jean-Luc Bannalec, nom de plume du chercheur allemand en littérature Jorg Bong, est amoureux de la Bretagne, c'est un fait et c'est sûrement le principal moteur de son projet littéraire. Il prend son temps pour la révéler dans ses mille couleurs, pour plonger avec son lecteur dans la contemplation des paysages et de leurs contrastes, pour partager les traditions et l'art de vivre local.

Cet ancrage breton, une forme de maladresse et les manifestations d'épicurisme (assez classiques du genre), sont les principales caractéristiques du personnage du Commissaire Dupin qu'on peine à appréhender. Il est vrai que j'arrive après 9 épisodes mais cet aspect évanescent du personnage m'a surprise. J'ai été encore plus troublée en découvrant le visage de l'auteur qui incarne le Commissaire dans la série éponyme, qui ne correspondait pas du tout à l'image que je m'étais faite! C'est souvent le cas.

C'est peut être l'originalité de cette série d'utiliser un personnage principal relativement transparent pour mettre en valeur le cadre et le décor qui sont apparemment les vrais stars du récit. C'est un ressenti que je devrais confirmer en lisant d'autres épisodes.
De la même façon, l'intrigue policière est assez classique et on comprend vite les tenants et aboutissants. Malgré cet aspect prévisible, le récit est bien ficelé et on prend plaisir à suivre le fil du dénouement.

Un petit polar dépaysant où la lumière des paysages prime sur la noirceur des crimes. À offrir aux amateurs du genre et à tous les amoureux de la Bretagne, un petit plaisir bien moins calorique qu'un kouign amann à savourer sans complexe !
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L'auteur a-t-il voulu s'inspirer d'Andrea Camilleri tout en exprimant l'attachement qu'il a développé pour la Bretagne, sa patrie d'adoption? Ou a-t-il aspiré à transmuer son engouement de résident secondaire en une veine de reconnaissance littéraire? Hélas, avec ce roman policier dont le fade héros est le commissaire Dupin, nous sommes bien loin de l'habileté littéraire, de la finesse psychologique et du talent de narrateur de Camilleri. Dupin n'a rien d'attachant, il est à cent lieues des réflexions de son subordonné, l'inspecteur le B....d'ailleurs , pour faire breton, que de noms fleurant bon le folklore celte appréhendé d'outre-Rhin! Au fil du récit, les lourdeurs pittoresques et les poncifs s'enchaînent, on a tout, les toponymes, les menhirs, la mer qui emporte, les descriptions indigestes et attendues, les recettes de cuisine....Quant au projet éolien (technophile....) c'est un peu le sommet des élucubrations insulaires pour trouver à tout prix un ressort à l'enquête. Celle-ci se traîne d'une bretonnisation à la suivante, Dupin toujours aussi insipide jusqu'à la caricature. Seules les rencontres initiale et finale avec un animal marin portent une émotion et une sincérité ailleurs totalement absentes de ce roman. Je remercie vivement Masse Critique pour cet envoi qui m'a conduit à faire cette curieuse expérience de lecture. L'auteur doit sans doute être beaucoup plus convaincant dans l'écriture de livres de cuisine, car il témoigne d'une verve particulière en décrivant des plats, des vins et des ingrédients.
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