AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,5

sur 27 notes
5
1 avis
4
14 avis
3
6 avis
2
0 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je trouve que c'est une très bonne idée de nous présenter un couple mythique au regard des positions qu'ils ont prises face à L Histoire. C'est vrai que pris séparément, Simone Signoret et Yves Montand sont des stars populaires mais ensemble, ils deviennent une conscience politique pour le pays.

L'épisode historique qui sera traité sera l'invasion des troupes russes en Hongrie à Budapest en 1956 suite à des manifestations pacifiques réclamant plus de libertés politiques. Les russes n'hésitent pas à envoyer (déjà à l'époque) leurs chars de destruction dans des pays tiers si ces derniers veulent un peu se rapprocher de l'Occident (peut-être pour son modèle de libertés et de richesses).

Il faut savoir que ce couple prenaient des positions en faveur des communistes et étaient plutôt hostiles à ceux qu'ils dénommaient les fascistes ou les réactionnaires. Yves Montand va faire en vers et contre tous une tournée en Russie ainsi que dans les pays de l'Est malgré ce qui s'est passé en Hongrie à savoir une répression terrible contre le peuple. Cela sera l'occasion d'une prise de conscience de ce qu'est véritablement le communisme politique.

J'ai bien aimé les auteurs qui sont loin de dresser un portrait magnifié de ce couple mythique. On verra un Yves Montand, très caractériel, qui refuse d'aider quelqu'un qui voulait fuir la Russie. On verra également que Simone rejette sa cousine tchèque dont le mari est emprisonné. En épilogue, on apercevra le célèbre romancier Louis Aragon dire que ce qui se passe en Hongrie ne le regarde pas au sujet d'un ami poète emprisonné. Bref, ces intellectuels, ces gens du spectacles plein aux as qui se rachètent une bonne conscience et qui finalement dans les faits ne font rien concrètement pour aider le petit peuple qui souffre. Comment peut-on se réclamer communiste quand ils se passent des choses aussi horribles ? Telle est la thématique induite de cette BD aux accents très politiques.

Pour autant, on verra tout de même un Yves Montand apostrophé le dirigeant communiste de l'époque à savoir Khrouchtchev pour lui demander de justifier sa position en Hongrie. Ils n'arriveront pas à être d'accord mais cela se passera bien pour se donner une bonne figure. Et puis, il y a Simone qui sait faire la distinction entre les peuples et les politiques qui les gouvernent.

J'ai aimé cette biographie très spéciale, très originale par son approche différente. J'ai appris des choses même si je connaissais bien le contexte historique. Parfois, on peut avoir des désillusions. Il faut savoir qu'un régime dans lequel une personne ou un groupe de personnes, disposant d'un pouvoir absolu, s'y maintient de manière autoritaire et l'exerce de façon arbitraire est une dictature aussi communiste soit-elle.

Dans les dictatures, les pensées des citoyens sont contrôlées. Si une personne ou un groupe de personnes ne pense pas de la même manière que le dictateur et ses amis, il risque d'avoir de gros problèmes, voire être assassiné. Les dictatures veulent donc empêcher l'apparition de la liberté de pensée. Elles veulent imposer à tous les citoyens un modèle de pensée. En général, ces pays usent de propagande et de censure pour contrôler leurs populations et sont fermés à toute influence étrangère. Encore une fois, la population russe n'était pas vraiment au courant de ce qui s'est passé avec l'insurrection dans un pays frère.

La Hongrie en a payé durement le prix. Il faut dire qu'elle n'a pas bénéficié de l'aide de l'Occident qui n'a pas osé intervenir pour ne pas risquer une troisième guerre mondiale. Cela me rappelle étrangement quelque chose d'actuellement similaire.

Derrière le rideau de fer, ce couple a pu voir réellement ce qui se passait et cela a dû les marquer. Quelques années plus tard, le couple allait partir aux USA pour faire la rencontre avec une certaine Marilyn Monroe.

Enfin, je tiens à remercier l'éditeur Steinkis ainsi que Babélio pour l'acquisition de cette BD au demeurant très intéressante.
Commenter  J’apprécie          570
J'ai reçu ce livre il y a 30 jours, j'en ai lu 3 pages à sa réception avant de le refermer ayant déjà quelque peu le bourdon pour ne pas vouloir en lire plus face à une actualité bien assez triste et déprimante avec cette guerre qui dure déjà plus de 8 mois.

Mais bon face à la mention “Vous avez 0 jours de retard sur la publication de votre chronique” il était plus que temps que je me plonge ce matin dans cette BD reçue dans le cadre d'une masse critique privilégiée que j'ai acceptée par pure curiosité. Merci aux éditions Steinkis et à Babelio pour l'envoi de cette dernière.

Je ne regrette pas ma lecture, ce fut à défaut d'être une lecture joyeuse, une BD que j'ai vraiment trouvée très intéressante. On y suit le couple Simone Signoret et Yves Montand en 1956, ces derniers s'apprêtent à quitter Paris pour une tournée de music-hall en URSS quand l'actualité sur place va les rattraper : le 23 octobre 1956 plus de 300 000 Hongrois manifestent dans les rues en réclamant des réformes économiques et plus de liberté politiques. Les chars de l'Armée rouge envahissent Budapest, la répression est sanglante, des milliers de morts…

Une question alors pour le couple alors fervent communiste : annuler la tournée, y aller quand même ? Lui hésite, son frère le pousse à s'y rendre, Simone y est fermement opposée. le choix n'est pas évident pour des raisons de notoriétés, politiques dans un climat tendu, de convictions personnelles.

Finalement la tournée est maintenue, le couple y verra deux tableaux de l'URSS : un accueil inoubliable mais aussi l'inacceptable, de quoi relativiser leur vision du communisme en URSS. La BD se veut neutre dans les faits, j'ai apprécié qu'elle ne présente pas une vision idéalisée que l'on peut avoir de ces artistes. Ils n'étaient pas parfait, pas des monstres non plus.

Concernant les dessins en noir et blanc, j'avoue ne pas avoir été très fan du coup de crayon pour le coup. Dommage mais pas si grave car je retiendrais surtout ici le fond que j'ai trouvé très intéressant par une présentation assez neutre de ces deux artistes dans le cadre de cet épisode historique et du rôle politique que pouvaient avoir les artistes durant la période de la guerre froide. Je jetterai un coup d'oeil curieux aux prochaines sorties de cette collection Dyades de l'éditeur Steinkis.
Commenter  J’apprécie          372
Merci à babelio et aux éditions Steinkis de m'avoir permis la lecture de ce roman graphique.
L'idée de la collection Dyades est excellente : Réunir un couple, ici Simone Signoret et Yves Montand, et mettre en images leurs biographies respectives - mais partielles, le temps de leur idylle - démontrant que leurs choix et leurs actes ont rayonnés et retentis bien au-delà du dipôle amoureux.
De la même façon qu'une dyade est la réunion de deux principes philosophiques se complétant réciproquement de manière à amplifier l'effet cumulatif [1+1>2], la rencontre à Saint-Paul de Vence en 1952 de ces deux géants du showbiz n'a pas été seulement la réunion de deux êtres, mais une fusion capable de former une conscience politique au point d'entrainer avec eux des peuples et d'infléchir certaines décisions de dirigeants politiques.
A l'aube du 4 novembre 1956, une vaste offensive soviétique était lancée pour écraser la révolution hongroise qui avait débuté 15 jours plus tôt ; une horde de chars soviétiques (plus de 1500, dont les funestes T-34) déferlèrent dans Budapest. La répression s'avéra terrible, sanglante, et conduira très rapidement à l'anéantissement des aspirations d'indépendance et de liberté du peuple hongrois.
Au même moment Yves Montant partait faire une tournée de gala derrière le Rideau de Fer…

Tout avait commencé neuf mois plus tôt, le 25 février 1956 alors que le secrétaire général du Parti communiste d'Union soviétique, Nikita Khrouchtchev, dévoilait devant les délégués au XXe congrès du PC, les crimes perpétués par Joseph Staline. L'incrédulité allait peu à peu gagner et gangréner les milieux populaires et les sphères des intellectuels à un tel point que le communisme ne s'en remettra jamais.

Et nos artistes dans tous cela ?

Le dessin, réalisé au crayon et ombré à l'aide de hachures, est parfaitement maîtrisé. le graphite est l'un des médiums les plus simples à utiliser mais aussi l'un de ceux qui se prêtent le mieux aux études de valeurs tonales ; et quoi de mieux pour disserter de société et de politique ?
Une large gamme de tons est produite par les hachures, du gris le plus clair au noir le plus profond ; l'obscurcissement permettant de représenter et d'accentuer les contrastes. Comme pour la photographie, le noir est blanc est souverain et adapté à la période (les années 50) et à un travail relevant du journalisme d'enquête.
Les personnages sont toujours bien reconnaissables et cela permet de vérifier l'adage que : « moins égale plus ! »

J'ai hâte de découvrir les prochaines Dyades de la collection parmi lesquelles : Simone de Beauvoir & Nelson AlgrenSusan Sontag & Annie Leibovitz, Patti Smith & Robert Mapplethorpe

Je terminerai sur la citation d'Isaac Newton choisie par les Editions Steinkis ponctuant le livre, juste à la suite des références de couverture, de réalisation, ISBN et dépôt légal :
« Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts. »
Si ce n'est pas un acte politique…
Commenter  J’apprécie          170
Merci à Babelio et aux éditions Steinkis de m'avoir permis la lecture de ce roman graphique .On y retrouve le couple Simone Signoret et Yves Montand qui se sont rencontrés à St Paul de Vence ,ils sont l'un et l'autre au sommet de la gloire et décident de faire une tournée en URSS et les pays de l'Est en communistes confirmés .Seulement les chars russes à Budapest pour mater les manifestants qui rêvent de plus de liberté vont leur faire prendre conscience que le communisme n'est pas la panacée .
Commenter  J’apprécie          130
Cette BD n'a pas pour vocation d'être exhaustive au niveau historique, elle retrace en partie le voyage de Simone Signoret et Yves Montand dans les anciens pays du bloc soviétique (Hongrie, Russie, Pologne et République Tchèque). La lecture de cette BD est très intéressante et nous pousse à vouloir en savoir plus sur ces deux personnages et le rôle qu'ils ont joué dans la politique en France et par extension en Europe.

En déplacement officiel pour se représenter, Yves Montand doit aussi composer avec le climat politique et social ambiant tout en agissant de manière diplomatique pour ne froisser aucun interlocuteur. Rien n'est jamais dit de manière très claire, on sent néanmoins la tension constante ainsi que la notion de vivre dans une période charnière de l'Histoire.

Le couple des deux artistes est dépeint de manière sommaire et on voit clairement le lien qui existe entre eux pour le côté politique et la volonté de changer les choses. La collection de cette nouvelle série de BD (Dyade) se veut présentatrice de couples qui ont eu un impact à un instant précis.

On a également le rôle de l'art dans L Histoire. Un artiste transmet le coeur de son métier mais est aussi une figure qui peut changer les choses et entrer dans le débat. Il est toujours difficile pour une figure publique d'être hybride en prenant position tout en étant détaché du rôle qu'on lui attribue (ici, sur la scène politique). Une lecture qui amène des interrogations et nous pousse à développer notre curiosité.
Lien : https://delivresendecouverte..
Commenter  J’apprécie          20
1956. le coupe formé par Simone Signoret et Yves Montand est au sommet de sa gloire. Tous deux communistes depuis leur jeunesse, ils participent à une tournée de gala derrière le rideau de fer. Mais alors que l'insurrection de Prague vient être étouffée par le pouvoir soviétique, leurs convictions se trouvent fortement remises en question.

La bande-dessinée nous immerge au coeur du couple avant et pendant cette tournée. Elle retranscrit très bien leurs états d'âme, pris entre les mensonges du pouvoir soviétique, la révolte occidentale faisant écho aux massacres de Prague et leur foi dans un communisme qu'ils ont chevillée au corps depuis toujours. Entre prise de conscience, faux semblants et affirmation et défense de leurs convictions, c'est un exercice pour le moins délicat qui s'offre à eux. L'album nous éclaire à travers ça sur leur couple lui-même, son fonctionnement et sa capacité à se soutenir mais également à s'aiguillonner Avec l'objet en filigrane ne pas se voiler la face et rester lucide sur l'environnement qui les entoure. « Derrière le rideau » est un bel album graphiquement sans fioritures. Il est porté par des dessins en noir et blanc très épurés qui font ressortir les lignes de dialogues et semble nous renvoyer directement au coeur des années 1950.
Commenter  J’apprécie          20
Lecture intéressante de ce roman graphique sur le couple mythique Signoret & Montand. Je connais assez peu finalement ce couple qui a pourtant brillé sur les tapis.

On passe assez rapidement sur leur enfance pour n'en garder que des moments importants qui nous permettent de les comprendre par la suite. Malgré l'invasion de la Hongrie par Moscou, le couple décide de poursuivre sa tournée en URSS. Favorable au communisme, ils n'en découvrent pas moins la dure réalité sur place.

J'ai bien aimé ce premier livre d'une collection sur les couples qui ont marqué l'esprit car tout n'est pas rose. En effet, les auteurs n'hésitent pas à montrer les défauts de ce couple glamour. Et c'est bien ce qui rend ce récit vivant et humain. Mais quand on connait assez peu cette période historique, il n'est pas toujours simple de faire le lien entre l'actualité et ce qui se passe à travers les pages.

J'ai bien aimé les graphismes même si je suis habituellement une adepte de la couleur. Ce noir et blanc colle très bien avec l'atmosphère angoissante du bloc soviétique.

Merci à Babelio et à Steinkis pour l'envoi de ce beau roman graphique.
Commenter  J’apprécie          10
Deux artistes engagés

Xavier Bétaucourt et Aleksi Cavaillez nous propose d'assister à la tournée d'Yves Montand dans les pays de l'est que la violente répression des évènements de Budapest remis un temps en cause…

Sa compagne, Simone Signoret, se montrera rapidement critique quant aux sorts que les gouvernements de l'est réservaient au peuple alors que Montant s'accrocha longtemps aux idéaux communiste qu'il avait chevillé au corps depuis sa plus tendre enfance, ses parents, militants communistes, ayant dû fuir l'Italie fasciste…

S'adossant à la Grande Histoire, Simone Signoret - Yves Montand - Derrière le Rideau esquisse le portrait complexe de deux monstres sacrés du cinéma…

Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
Commenter  J’apprécie          10
Décembre 1956, au sommet de leur gloire et le communisme ancrés en eux, Yves Montand et Simone Signoret acceptent une tournée en URSS. Malheureusement pour eux, au même moment, l'armée soviétique réprimande brutalement un soulèvement en Hongrie. Celle-ci ne sera que la première de leurs désillusions...

Je ne connaissais le couple Montand-Signoret que de nom et dans leur dimension artistique. Dans cette BD on découvre surtout leur engagement politique.
Idéaliste, empreint de la vision occidentale du communisme, j'ai trouvé que le point fort de ce livre était de vraiment montrer la déception, les doutes qui s'installent chez le couple au fil de leur périple. Loin de l'idéal de l'ouvrier heureux, de la richesse justement répartie, Simone et Yves découvrent un monde où tout est uniformisé et où les voix dissidentes sont vite étouffées. Aussi, on ressent bien le côté "grande gueule" du duo qui n'hésite pas à poser des questions qui fâchent et à dire ce qu'il pense. On sent à quel point ce voyage à ébranler leurs certitudes.
Autre point que j'ai apprécié, les auteurs n'idéalisent pas les protagonistes. Yves Montand apparaît caractériel et Simone Signoret assez froide. Aujourd'hui ils seraient qualifier de "bobos". C'est difficile à définir mais cela leur donne un côté détestable qui est un vrai plus dans l'histoire.

Si cette BD a un apport historique clair et intéressant, sa lecture m'a un peu frustrée car je l'ai trouvée très synthétique. Les faits sont là mais les émotions, les ressentis ne sont qu'esquissés. Les événements s'enchaînent très rapidement, j'ai souvent été gênée par des sortes d'ellipses temporelles. On a parfois l'impression de sauter du coq à l'âne dans le voyage. J'aurais aimé entrer davantage dans les sentiments des personnages et avoir des transitions plus marquées entre les différentes étapes.

Concernant le graphisme, petite déception. Les dessins en noir et blanc ne m'ont pas emballée plus que cela. Je pense que la couleur aurait plus rendu justice au trait.

Malgré certains bémols, le bilan est positif tout de même car le texte est clair, accessible et aborde un sujet original. Une lecture que j'ai su apprécier malgré quelques défauts.
Je remercie Babelio pour ce service presse.
Commenter  J’apprécie          10
Je connaissais Simone Signoret et Yves Montand de nom, mais séparément. Avec Derrière le rideau, les auteurs nous parlent de leur vie à deux, engagé politiquement. Je m'imaginais découvrir une belle romance dans laquelle ils seraient unis envers et contre tout, ce n'est pas le cas. de l'amour, il y en a, mais leur romance est tout sauf idyllique. Je trouve que c'est génial qu'ils aient pris le parti de raconter les choses telles qu'elles se sont passées. J'aime quand les récits sont au plus près de la réalité, je pense qu'ici, c'est le cas.

Au-delà de leur histoire, ce titre nous montre surtout leur engagement politique, la force avec laquelle ils veulent défendre leurs idées, notamment grâce à l'art. Ce titre se passe au temps de l'URSS dans laquelle les habitants vivent dans des conditions terribles alors que les politiques s'en fichent. Pour eux, ce qui compte ce sont les profits. Nous les suivons aussi tout au long de la tournée d'Yves Montand, à travers ces pays sous le joug de l'URSS. Nous découvrons ainsi les différences de mentalité, de confort de vie entre tous ces pays.

Ce qu'il nous est raconté est une part d'histoire que je connais très mal, j'ai aimé qu'il y ait des passages qui nous remettaient l'histoire dans son contexte avec quelques explications. En revanche, malgré cela, j'ai quand même été perdu à certains moments. Je pense qu'il aurait été profitable que ce titre soit étendu sur deux tomes afin de prendre plus de temps pour mieux expliquer ce que l'on nous racontait. Là les choses avancent un peu vite pour moi. C'est le seul point négatif que je peux trouver.

Sinon, il s'agit d'un bel objet, avec des graphismes qui correspondent très bien à ce que nous est raconté, qui inaugure une collection de cette maison d'édition. Je compte bien suivre les prochaines sorties.
Je remercie Babelio et les éditions Steinkis pour cet envoi dans le cadre d'une masse critique privilégiée.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (40) Voir plus



Quiz Voir plus

La septième fonction du langage (BD)

Quand Roland Barthes est-il percuté par une camionnette ?

Le 25 février 1970
Le 25 février 1975
Le 25 février 1980
Le 25 février 1985

26 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : La Septième Fonction du langage (BD) de Créer un quiz sur ce livre

{* *}