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"Dis bonne nuit", une oeuvre de Christian Blanchard, est une tentative d'exploration de l'esprit humain qui, malheureusement, ne parvient pas à susciter autant de surprise et d'émerveillement que prévu. Je m'attendais à un tourbillon d'intrigues plus fascinant.

Le récit nous entraîne dans la vie complexe et mystérieuse de Leïla, une détective privée aux prises avec ses propres démons intérieurs tout en menant une enquête sur un cas d'adultère imprévisible. Tourmentée par des cauchemars incessants, elle est hantée par des souvenirs occultés de son enfance qui semblent refuser obstinément de rester dans l'ombre.

La trame narrative se déroule lorsque Leïla est contactée par une épouse trompée désireuse de faire éclater la vérité. S'engageant fidèlement dans cette mission, Leïla découvre des indices sérieux et solides. Cependant, peu après le début de son enquête, René - le mari infidèle - la contacte pour retrouver Hubert, son amant disparu brusquement sans laisser de trace ni nouvelle. Ainsi commence pour notre jeune inspectrice une enquête bizarre qui la conduira à croiser le chemin d'une organisation masculine extrémiste ; un panorama trouble où les récits glaçants de René au sujet D Hubert - féru d'aventures périlleuses - donneront froid dans le dos. Jusqu'où ces circonstances emmèneront-elles notre courageuse détective?

En parallèle du tumultueux voyage introspectif et professionnel de Leïla se déroule l'histoire poignante d'un père en pleine bataille pour obtenir la garde de son fils suite à une séparation déchirante. Petit à petit, on découvre les liens subtils qui unissent ces deux intrigues.

Ce thriller coule sans effort comme un ruisseau tranquille mais manque cruellement du bouillonnement sauvage des rapides ; il n'y a que peu d'éclats inattendus pour éveiller mon intérêt profondément. Bien que le personnage principal soit méticuleusement construit, je n'ai ressenti aucune affinité particulière envers elle. Les thèmes cruciaux du refoulement psychologique et des traumatismes enfantins sont abordés avec une légèreté décevante; j'aurais apprécié qu'ils soient explorés plus profondément pour ajouter plus de substance au récit. Les indices sont trop facilement discernables; l'effet recherché est ainsi dilué.

Comparativement aux oeuvres "Antoine" et "Iboga" - deux romans brillamment conçus par Blanchard que j'ai adorés jusqu'à chaque page tournée - "Dis bonne nuit" semble être un pas en arrière.
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Leïla le Menn, détective privée à Rennes, travaille pour une femme qui soupçonne son mari d'adultère. Et en effet, son mari, René le Gall, la trompe bel et bien, mais avec un homme, Hubert. le plus piquant est qu'après avoir été dénoncé, le mari fait appel à Leïla pour retrouver Hubert, qui a disparu. La détective va apprendre qu'Hubert avait une personnalité bien singulière et va se trouver entraînée dans une affaire complexe. Elle-même est aux prises avec des démons personnels qu'elle traîne depuis l'enfance. ● Ce n'est pas un mauvais polar, mais comme c'est convenu ! L'enquêtrice qui traîne des problèmes personnels, qui se met dans des mauvais cas mais parvient à s'en tirer in extremis… On a déjà vu tout ça bien mieux fait ailleurs, notamment par des auteurs américains… ● L'originalité réside peut-être dans cette association OLPH (Osons la Libération de la Parole des Hommes), organisation masculiniste et antiféministe qui comprend des membres à la fois homophobes et homosexuels (oui, ça existe, cf. l'église catholique…). ● le suspense est quasi-inexistant, tous les retournements de situation sont attendus, le style est d'une grande platitude.
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Il y a parfois des couchers que l'on redoute... Et si la nuit noire allait nous aspirer sans que nous ne puissions en ressortir indemnes ?

Leïla le Meen, détective privée, est bien loin de se douter du chemin que prendrait sa dernière enquête. Alors que la jeune Rennaise est missionnée pour une affaire d'adultère, elle se voit confier un travail de recherche d'une personne disparue dans des circonstances troublantes...

À mesure que son travail de recherche avance, Leïla était bien loin de se douter que celle-ci puisse avoir une telle influence sur sa propre vie personnelle. Mais pourquoi ? À vous maintenant de le découvrir !

En lisant Dis bonne Nuit, je découvre la plume très agréable et d'une grande fluidité de Christian Blanchard qui a su tout de suite m'emporter dans cette histoire en pays breton. J'ai trouvé les thèmes intéressants surtout à l'heure où la question des droits et de l'égalité entre les sexes se pose encore.

Je me suis très rapidement attachée au personnage de Leïla pour lequel j'ai ressenti instantanément beaucoup d'empathie et qu'on a plaisir à suivre.

En refermant ce livre que j'ai lu en seulement quelques heures, je me suis fait néanmoins une réflexion qui m'arrive que très rarement : j'ai regretté qu'il ne soit pas plus long, car je l'ai trouvé un poil trop court !

Je tiens à remercier les Éditions Belfond et Netgalley France pour la découverte du dernier livre de Christian Blanchard qui m'a offert un bon moment de lecture. Je vais maintenant pouvoir sortir Iboga de ma bibliothèque qui dort depuis plusieurs mois pour profiter un peu plus longtemps de la plume de l'auteur
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Si la tolérance grandit, si la société a appris à accepter et ne plus juger ou condamner l'homosexualité, notre esprit semble encore la percevoir comme une différence.
Johana Gustawsson l'avait bien montré dans sa magnifique nouvelle "Tout contre moi" dans laquelle deux amants se regardaient intensément, s'enlaçaient amoureusement, leurs peaux réciproquement électrifiées. Et contre toute attente, cette passion magnifiquement dépeinte liait deux hommes. L'auteure voulait ainsi nous montrer que même si nos esprits étaient moins étriqués que par le passé, les lecteurs, auraient encore ce réflexe d'imaginer une étreinte entre deux personnes de sexe opposé.
Vous pouvez retrouver cette nouvelle dans le recueil Regarder le noir, tandis que Christian Blanchard figurera au sommaire de Déguster le noir, à paraître le 08 juin et consacré au dernier des cinq sens : le goût.
J'ai eu la même réflexion au début de Dis bonne nuit. Leïla le Menn, détective privée, travaille pour surprendre le mari de sa cliente en flagrant délit d'infidélité.
"Un adultère n'est plus considéré comme un motif de divorce, sauf s'il porte préjudice à l'autre conjoint."
Et même s'il était écrit noir sur blanc dès le premier chapitre que les retrouvailles concernaient deux hommes, se dirigeant ensuite main dans la main vers un hôtel, je ne l'ai réalisé que plus tard comme si j'étais toujours conditionné à imaginer d'abord des couples hétérosexuels.
Est-ce que ça fait de moi quelqu'un qui manque encore d'ouverture d'esprit ?

A contrario, des esprits étriqués, il en regorge dans ce nouveau roman de Christian Blanchard. Ici représentés par des hommes, des vrais, poilus, machos, virils et profondément misogynes qui font partie de l'association OLPH ( Osons la Libération de la Parole des Hommes ). Des associations masculines dont j'ignorais alors jusqu'à l'existence, soutenus par les catholiques traditionnalistes et par des groupuscules d'extrême droite, et qui se dressent contre ce désir stupide d'égalité entre les hommes et les femmes et leur mouvement #MeToo, devenu symbole du mouvement social féminin du XXIème siècle.
Toutes leurs idées ne sont pas bonnes à jeter puisque pour faire parler d'eux dans les médias, ils feront intervenir un père près à prendre tous les risques pour retrouver son jeune fils qu'il aime profondément, après que la justice ait décidé de confier la garde à sa mère, partie vivre loin de son ex-conjoint désespéré qu'on le prive ainsi de son enfant.
"Je suis un papa. Rendez-moi mon enfant !"
Mais pour le reste, leurs ignobles idéaux donnent la nausée.
Ils sont évidemment contre le mariage homosexuel ou le droit à l'avortement. Leurs idéaux sont d'un autre âge.
"Donnons aux femmes un endroit où elles peuvent s'exprimer sans contrainte, la cuisine ! "
"Vous, les femmes, vous avez pollué notre atmosphère avec des revendications naïves et stupides."
"Seuls les pédés ne sont pas misogynes, mais sont-ils seulement des hommes ?"
C'est ce que certains d'entre eux vont s'acharner à prouver en tout cas, prenant tous les risques. Comme si se mettre en danger était un quelconque signe de virilité pour ces homosexuels à la personnalité refoulée.

Christian Blanchard fait partie des auteurs que j'apprécie énormément, et son roman Antoine demeure une de mes meilleures lectures 2021. Lisez-le si vous appréciez particulièrement les romans noirs, il secoue et je m'en souviendrai toujours.
J'espérais renouer cette année avec un livre qui m'apporterait autant d'émotions, mais force est d'avouer que Dis bonne nuit m'a beaucoup moins impacté. Je l'ai suffisamment apprécié pour en lire ses 250 pages quasiment d'une traite, mais si ce roman noir se lit aussi bien qu'un thriller, ce n'est pas le roman que je préconiserais le plus pour partir à la découverte du prolifique auteur breton. Ça faisait longtemps d'ailleurs qu'il n'avait pas repris sa région comme théâtre de ses intrigues, et celle-ci nous ramène à Rennes.
Avec ce nouveau livre, beaucoup de petites choses m'ont soit chagriné, soit échappé, et le plaisir s'en est forcément retrouvé impacté.
- le roman est d'autant plus court qu'il parle pour moitié de l'enquête de Leïla et de son compagnon Matthieu autour d'une disparition suspecte et de cette association machiste. L'autre moitié est quant à elle consacrée au traumatisme de Leïla, qui remonte à l'enfance, et qui prend ses origines bien avant le suicide de sa mère, quand elle avait dix-huit ans. Un passé trouble qui explique son besoin d'indépendance et de liberté, sa peur de l'engagement. Et sur lequel le voile sera progressivement levé.
Le lien entre les deux trames ? Ils sont si minimes qu'on pourrait les qualifier d'inexistants. Ils concernant uniquement l'héroïne, Leïla, certaines de ses connaissances, ou encore la bague qui sombre dans l'eau claire de la magnifique couverture. Les corrélations sont vraiment ténues et si le personnage de Leïla est extrêmement bien travaillé, les autres manquent un peu de profondeur à l'instar de l'ensemble de l'oeuvre.
- Que ce soit pour une intrigue ou pour l'autre, le roman se conclura sans surprise majeure.
- Et puis ce qui m'a le plus gêné je pense c'est que je n'ai pas vraiment compris où l'écrivain souhaitait en venir. Christian Blanchard est un auteur engagé, qui fait réfléchir, mais j'ai un gros doute sur la nature des messages qu'il a voulu transmettre cette fois. Violer et tuer c'est pas bien, jusque là je suis d'accord. Les homosexuels peuvent l'être par haine du sexe opposé ? Je ne crois pas qu'on choisisse son orientation ainsi. Une personne gay peut être à l'exact opposé de l'image maniérée et fragile qui a autrefois été véhiculée ? le rejet familial, celui de la société, est-il responsable de la violence et de la montée d'idéaux fascistes ?
"Il cherche à repousser toujours plus loin la frontière avec la mort."
Oui, un gay peut être dix fois plus viril et téméraire que moi, je ne fais pas un concours.
Les seules vérités qui m'ont sauté aux yeux ici sont :
- L'acceptation primordiale de la sexualité de son enfant, quelle qu'elle soit. Dans le roman c'était une autre génération mais il ne faut pas se voiler la face et pour certains parents la déception ou le rejet d'un enfant homosexuel est toujours d'actualité. Et les répercussions peuvent avoir lieu tout au long d'une vie. Ici, se mettre en danger constamment pour se prouver à soi-même comme aux autres que masculinité imaginaire et orientation sexuelle ne sont pas liées.
- le danger de chaque mouvement protestataire qui engendrera toujours son contraire, comme si l'harmonie, la tolérance ou l'égalité resteraient à jamais du domaine utopique dans notre belle humanité.

Dis bonne nuit est un livre qui se dévore, à la plume délicate qui sait insinuer les pires horreurs avec la plus grande délicatesse, avec des mots minutieusement choisis.
Mais je reste un peu sur ma faim : trop d'évidences dans des intrigue peu étoffées et très peu dans les dangers pointés du doigt par l'auteur.
Petit plus : les références à Glenn Affric de son amie Karine Giebel, ou à Sandrine Collette. Ainsi qu'à de nombreux groupes de metal qui parsèment souvent le genre du polar j'ai l'impression, et qui sont pour moi autant de clins d'oeil : ici Rammstein, Iron Maiden, Motörhead et même le groupe de black metal autrichien Summoning qui puise son inspiration dans l'univers d'un certain Tolkien.
Une petite déception donc, mais il était difficile d'égaler la qualité d'un roman tel qu'Antoine qui m'avait laissé pantois l'an passé, dans le meilleur sens du terme.

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Dis bonne nuit, une phrase anodine derrière laquelle se cache un drame. Christian Blanchard joue une partition à deux vitesses dans ce polar court mais intense.

Leïla est une jeune détective privée, cantonnée à des affaires d'adultères, mais qui chérit sa liberté, sa solitude, à travers son métier. Refusant de s'engager, même dans sa vie privée. Au delà de celle d'un de ses clients, ce roman sera autant son histoire, pimentée de rêves faisant ressurgir son passé enfoui.

L'écrivain va déployer son talent dans ce qu'il réussit le mieux, le roman noir social teinté d'histoires personnelles. Bien ancré dans son temps, avec une approche originale et intéressante de la guerre des sexes.

Bienvenue dans le « joli » monde des associations masculinistes défendant les hommes, brutalement ou en sous-main. Pour qu'ils retrouvent leur vraie place, selon eux. Et que les femmes reprennent la leur, celle des devoirs et non des droits.

Pour ceux, comme moi, qui sont particulièrement sensibles à l'égalité homme / femme, la radicalité de ce type d'organisation est une agression. C'est d'ailleurs une partie du but qu'ils recherchent.

L'approche du roman est habile et sert autant le propos social que le récit fictionnel. On est rapidement pris dans l'engrenage mystérieux d'une affaire issue d'un adultère dévoilant l'homosexualité du mari trompeur.

La disparition de l'amant va se transformer en enquête dans un milieu radicalisé que rien ne semble arrêter. D'autant plus qu'on ne parlera bientôt plus seulement de disparition…

Christian Blanchard ne craint pas d'appeler un chat un chat, sans pour autant jamais forcer le trait. Sa plume directe, écriture au présent sobre mais expressive, est parfaite pour raconter ce récit au plus près des ressentis de son héroïne, Leïla le Menn.

Elle va peu à peu perdre pied à cause de ses rêves devenant cauchemars, et de son enfance qui revient la hanter. La disparition dont elle s'occupe est une chose, sa vie bâtie sur des fondations instables est bien le second ventricule du coeur de ce roman. Il y a décidément mille manières de parler d'histoires de famille.

250 pages à coups de chapitres courts et souvent tendus, qui dévoileront peu à peu toute la profondeur d'un récit noir mais humain.

Christian Blanchard est un bel artisan du roman noir. Qu'il se penche sur le passé comme avec son précédent et excellent Antoine, ou sur un récit contemporain, il sait parler de la société à travers les émotions de ses puissants mais fragiles personnages.

Dis bonne nuit arrive à sortir du lot par son angle d'attaque. Et touche par les émotions transmises, sans chercher à les exagérer, au plus près de l'humain.
Lien : https://gruznamur.com/2023/0..
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Bonjour amis lecteurs,
Voici le nouveau livre de Christian Blanchard : « Dis bonne nuit ».
Préparez-vous à lire un roman noir, social dans le fond et percutant dans la forme. Vous suivrez les pas d'une jeune détective privée à Rennes spécialisée dans les enquêtes pour adultère. L'intrigue est bien rythmée, sans temps mort et des thèmes forts y sont abordés. le personnage principal est très attachant, son passé douloureux se dévoile au fil des pages. le dénouement est toutefois prévisible et même si l'histoire ne m'a pas transportée, elle séduira sûrement les amateurs du genre.
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Un père qui monte sur une grue pour dénoncer une justice qui lui retire son enfant, une association qui veut redonner sa juste place aux femmes dans la famille - à la cuisine -, et surtout notre détective privée qui croit enquêter sur un simple adultère et qui doit gérer un passé familial pesant. La fin se devine même si on se laisse surprendre par la façon qu'elle est dévoilée. Petit polar simple, pour vacance tranquille .
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Leila est une jeune détective qui enquête sur une histoire d'adultère. Sa mission accomplie elle est sollicitée par le coupable pour retrouver son ami disparu suite à son investigation.
Entre son enquête et ses cauchemars récurrents sur son enfance et la visite la nuit d'un monstre qui la poursuit, Christian Blanchard on emmène une fois de plus dans les méandres du mal qui sommeille en nous.
Efficace sans temps mort ni description inutile, un bon roman rapide à lire.
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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 210 pages sur ma liseuse.
Bon ça n'a pas été un grand moment de lecture mais c'est resté agréable. Une enquête quelconque tout en restant intéressante. La détective privée Leïla est attachante et doit faire face à ses démons. Tout est malheureusement prévisible dans ce roman assez plat je vais dire mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.
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Leïla le Menn, détective privée, fait la lumière sur une histoire d'adultère.
C'est un fait, René le Gall trompe sa femme…
Avec un homme…
Mais quand René fait lui-même appel à Leïla, c'est pour rechercher son amant qui a disparu.

On découvre Leila dans sa vie de détective, toujours très indépendante…
Dans sa vie privée…
Et dans sa vie passée d'adolescente au travers de chapitres en italique.

Mais où est Hubert, l'amant de René ?
Pourquoi mène-t-elle cette vie mi-en-couple, mi-solitaire ?
Et que s'est-il passé durant son adolescence ?

J'avance très vite dans ma lecture,
C'est addictif,
Des chapitres courts,
Des personnages clairement décrits,
Une intrigue bien mise en place,
Je me dis, ce livre devient excellent.

Et là le drame,
A partir de la moitié du livre,
Tout s'accélère,
On comprend tout tout de suite,
Tout est très vite dévoilé
Tout est simple, trop simple,
Que des facilités
Du déjà vu, revu et re-revu
Je suis très déçue, car clairement, ça partait très très bien, et la chute fût fatale, aucune surprise.
Je suis complètement passée à côté…

Ça arrive malheureusement, dommage, car à contrario, je viens de lire sa nouvelle dans le livre « déguster le noir », et c'est une belle prouesse, j'ai beaucoup aimé.
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