Les Enquêtes d'Enola Holmes, tome 1 : La Double Disparition (BD)

J'ai adoré ma découverte d'Enola Holmes, jeune soeur de Sherlock. La BD est l'adaptation des romans.
La BD bénéficie d'un très beau graphisme, d'une belle police de caractère et d'une histoire bien construite aux multiples rebondissements.
Enola n'a pas l'intention d'être une jeune Lady sans cervelle, a suivre des ordre, elle compte bien s'émanciper et être libre.
Dans ce 1er tome, elle se demande où est passé sa mère, et va également nous montré ses talents sur une autre affaire de disparition.
Cette édition bénéfice en plus d'un bonus très sympa qui nous immerge encore plus dans l'histoire.

Adaptation ultra fidèle et efficace du roman de Nancy Springler mais dont le scénario semble très rapide sans réelle transition ni approfondissement sur certains aspects dû au format de bande-dessinée. Mais le fait de mettre des images et des visages sur les personnages découverts brièvement dans le roman est très agréable, cette personnification les rendent ainsi plus attachants.
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Après avoir apprécié le premier tome du roman, j'ai eu envie de découvrir l'adaptation en bande-dessinée. Ma lecture est loin (2010) donc je ne me souviens plus des détails de l'histoire. Mais dans l'ensemble, l'esprit du roman est là. Peut-être que les descriptions sur la vie à Londres et la condition féminine sont moins développés dans la BD toutefois.

Au début j'ai eu un peu de mal avec le graphisme, et notamment le nez en trompette d'Enola. Et puis on s'habitue vite et finalement j'ai bien apprécié l'univers.

Comme pour le roman, l'enquête sur la disparition du jeune garçon est menée -trop- rapidement. Par contre l'enquête sur la disparition de la mère est plus sympa, notamment avec le langage des fleurs et les codes secrets qui donnent envie au lecteur d'aider Enola dans sa recherche.

Le deuxième tome est déjà disponible. Et si je n'ai eu aucune envie de découvrir la suite du roman, la BD m'a laissé sur ma faim et j'ai très envie de connaître la suite de l'histoire, en BD du coup !
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Un véritable enchantement, les dessins sont très agréables, cette bande dessinée m'a subjuguée. Serena Blasco signe un sans-faute pour ce premier tome d'Enola Holmes que je conseille vivement.

J'ai découvert Enola Holmes l'an dernier, par l'intermédiaire du film Netflix, avec l'excellente Millie Bobby Brown. J'ai donc été tentée de me lancer dans sa version BD et cela a été un vrai plaisir de découvrir ce premier tome. La narration est dynamique et l'héroïne, intelligente et affirmée. J'ai aimé ces belles planches à l'aquarelle. Je vais poursuivre la série avec plaisir et la recommander !

J'ai été attirée dans un premier temps par la jolie couverture de cette BD qui est vraiment superbe.
Et comment refuser de retourner à l'époque de Sherlock ?

J'ai bien aimé les illustrations à l'aquarelle, la mère de Enola étant une aquarelliste, j'ai trouvé que c'était un chouette clin d'oeil.

La bd est l'adaptation du roman Enola Holmes, les choix des dialogues et des actions ont été bien choisi et on retrouve l'essentiel pour suivre cette histoire.

On retrouve parfaitement le message féministe dans la liberté que va s'octroyer Enola dans une époque où la femme en avait peu et c'est très rafraîchissant. C'est avec plaisir que je lirais les albums suivants.

Serena Blasco est illustratrice, dessinatrice de bandes dessinées et peintre. A la suite de son Bac STI Arts Appliqués et de son BTS Graphisme et Pub, elle intègre les studios Gottferdom. Après plusieurs collaborations sur des projets dont « SnoopBook » (des romans interactifs), elle publie son premier album de BD. En 2015, elle travaille sur l'adaptation en livre graphique de la série jeunesse « Les enquêtes d'Enola Holmes ». Je viens de lire le premier tome « La Double disparition ».
Enola Holmes, 14 ans, est la soeur cadette de Sherlock qu'elle n'a pas vu depuis plus de dix ans. Lorsque sa mère disparaît le jour de son anniversaire, il débarque avec son autre frère, Mycroft pour la rechercher. Il décide de mettre Enola dans un bon pensionnat mais elle s'enfuit pour rechercher sa maman. Elle va découvrir qu'un jeune noble a lui aussi disparu. Ses deux disparitions sont-elles liées ?
Cet album nous fait découvrir la société du XIXème siècle et la place qu'y occupe la femme. En fin d'ouvrage, le carnet secret d'Enola, nous permet d'apprendre plein de belles choses, comme le langage des fleurs.
Les dessins faits à l'aquarelle sont superbes. Je regrette juste que le côté sombre de cette société avec sa pauvreté, ne soit pas représenté par des couleurs un peu moins gaies.
C'est une magnifique lecture pas forcément destinée aux plus jeunes ; j'en suis la preuve. Et j'ai déjà prévu de lire le second tome !

Bien qu'il n'avait rien de transcendant, j'ai trouvé que le film Netflix "Enola Holmes" était assez sympathique. J'en garde pas un souvenir mémorable mais juste le résultat d'un simple divertissement frais et bien fait. du coup, lorsque j'ai vu que ma femme possédait quelques tomes en bande dessinée adapté des romans de Nancy Springer qui ont inspiré le film, j'ai voulu les découvrir.

J'ai trouvé que ce premier tome était assez plaisant. Il nous plonge vite dans le coeur du sujet. Je ne connais pas les romans d'origine donc je n'ai aucun point de comparaison mais en bande dessinée, je trouve que ça fonctionne bien. On va à l'essentiel ce qui fait que l'intrigue se déroule très vite et qu'on a pas le temps de s'ennuyer.

Dès ce premier tome, on nous présente les personnages principaux, on nous fournit une double enquête de disparition et on laisse la porte ouverte pour de nouveaux tomes à venir. Ca va vite, peut être un peu trop vite d'ailleurs certaines choses méritant sans doute qu'on s'y attarde davantage mais c'est la règle du jeu en bande dessinée et en l'état, le cahier des charges est respecté.

Ce qui est dommage pour moi, c'est qu'ayant vu le long métrage, ce premier volet ne m'a réservé aucune surprise. J'ai trouvé ça frais et agréable mais une fois que l'on sait ce qu'il va se passer, ça perds un peu de son charme. Il manque je trouve un peu plus de consistance dans l'intrigue. La jeune Enola Holmes est sympathique, on s'attache vite à elle mais même en bande dessinée, son personnage à quand même un peu de mal à s'imposer face à ses deux frères et notamment l'aura mythique de notre imaginaire que peut posséder Sherlock Holmes.

La dessinatrice Serena Blasco qui adapte ici Nancy Springer fournit en tout cas un travail remarquable. J'ai bien aimé son coup de crayon avec ses couleurs très claires qui donne du charme à l'époque dans laquelle on se trouve. Pour plus de profondeur, je n'aurais rien eu contre plus de noirceur (même face aux méchants, l'histoire et les différentes cases font un peu lisse et gentillette) mais cela reste lisible et plaisant.

Pour résumer, ça m'a fait plaisir de découvrir en bande dessinée "Les enquêtes d'Enola Holmes - Tome 1 : La double disparition". J'ai d'ailleurs était suffisamment pris pour pousser ma découverte en lisant les autres tomes. Ceci dit, j'aurais aimé qu'on pousse le concept un peu plus loin car une fois que l'on sait ce qu'il va se passer, ça reste quand même très calme.
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Après avoir vu l'adaptation par netflix, l'histoire d'Enola Holmes apparait un peu rapide dans ce premier tome. Un peu déçue de la brièveté de l'histoire mais qui doit tenir compte certainement de l'adaptation.
Néanmoins les dessins en aquarelle apportent une douceur et une nouveauté par rapport aux bd classiques que je lis parfois. Tout un charme désuet qui adoucit la noirceur du Londres de Sherlock Holmes, des enquêtes et autres disparitions.

Une incursion dans le mode de Sherlock Holmes via l'histoire de sa petite soeur.
Et une chose est sûre, elle ne démérite pas face à son frère!!
Cette Bd se lit rapidement. le dessin est sympathique. Il est mieux de pouvoir le lire en couleur.
J'ai découvert cette BD suite à la visualisation du film sur Netflix, et si ça diffère un peu, le style est bien là. C'est une héroïne qui choisit de prendre son destin en main et elle se révèle très douée.
Un sympathique moment de lecture.