Relevant de maladie (il fut toujours souffrant après ses trois blessures au cours de la première guerre mondiale et en à sans doute rapporté des cauchemars, voir page 218: « Réveil en pleurs d'un cauchemar que vous me dispenserez de vous raconter« ),
Jean-Richard Bloch embarque
sur un cargo. A côté des ragots de marins, des histoires de naufrage, de descriptions de la mer ou du mal de mer, des conditions de travail (dimanche payé double, page 189), il rapporte des réflexions que je n'aurais pas pensé trouver ici, comme une digression sur Marcelin Boule sur la Préhistoire, les hommes fossiles et Homo alpinus (p. 39 et suivantes), mais ce n'était visiblement pas un sujet qui lui était familier: « Une photographie me retient longtemps. Elle représente une vertèbre d'homme paléolithique du Cro-Magnon, percée d'une flèche néolithique » (c'est moi qui souligne…).. Il cite également Marcelin Boule, à replacer dans le contexte de la montée du nazisme et de l'antisémitisme et les discussions sur l'existence ou non de « races » [la suite sur mon blog]
Lien :
http://vdujardin.com/blog/bl..