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En ces temps de confinement, rien de plus idéal pour s'évader que de lire les récits de Nelly Blye !
Alors qu'elle fait encore l'objet d'un véritable culte aux États-unis (pièces, livres, prix qui porte son nom décerné aux journalistes), il faut bien dire que Nelly Blye était peu connue en France avant que Pénélope Bagieu ne lui consacre un chapitre dans Culottées. (C'est d'ailleurs grâce à la lecture de Culottées que j'ai découvert ce personnage).
Les Editions Points ont eu la bonne idée de regrouper les reportages de Nelly Blye dans un poche dont la couverture s'orne du portrait de la demoiselle croqué par la talentueuse Pénélope Bagieu.
Enfermée volontaire dans un asile d'aliénés de New York, première femme à faire le tour du monde, taupe dans une usine ou fausse domestique, sur le front pendant la guerre 14-18, Nelly Blye avait de la trempe, c'est sûr, mais aussi et surtout de la curiosité et le désir de dénoncer toutes les injustices et préjugés.
Si les reportages de cette fougueuse jeune femme sont aujourd'hui très rétros, parfois empreints de poncifs et d'inexactitudes, il n'en reste pas moins qu'ils constituent un formidable témoignage d'une pionnière de l'émancipation des femmes et du journalisme .




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Ce livre est un recueil de reportages réalisés par Nellie Bly, une des premières femmes journalistes, pionnière du journalisme d'infiltration devenue modèle de nombreuses féministes.

Parce que tous les textes rassemblés ici ne présentent pas le même intérêt et n'abordent pas les mêmes thèmes, je vous parlerai de chacun séparément.

10 Jours dans un Asile. 1887.

Ce reportage a été demandé à Nellie Bly par son rédacteur en chef. La mission: se faire interner dans un asile public de la ville de New York, afin d'enquêter sur les conditions de vie des femmes qui y sont détenues.

Le récit est glaçant. Non seulement les internées doivent subir des privations et un traitement inhumains, mais elles supportent également l'incompétence et la cruauté du personnel, qui n'hésite pas à allier les tortures morales aux brimades physiques. Ne parlons pas des patientes emprisonnées dans ce prétendu hôpital alors qu'elles ne souffrent d'aucun problème psychiatrique. Les explications et détails fournis par l'autrice font réellement froid dans le dos.

Une lecture très intéressante, un indispensable selon moi.

La suite sur mon blog:
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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L'avantage quand tu es insomniaque, c'est que du coup, tu as toute une nuit devant toi pour réfléchir à des problématiques existentielles.

Citons pêle-mêle :

- Si j'épile mon cactus, est-ce qu'il meurt ?
- Si José Bové ne portait pas la moustache, le vénèrerais-je comme je le fais déjà ?
- Si j'avoue à Bonne-Maman que c'est moi qui ai mis des gommettes sur les touches en ivoire de son vieux piano, est-ce qu'elle me tue ?

Mais en journée, tu penses à autre chose.

Sauf que là, quand tu es cloué au lit à cause d'une fièvre impromptue qui te donne l'impression de te projeter dans le futur quand tu auras l'âge de Monsieur Kerdoncuff – la vigueur physique et sexuelle en moins –, là, tu es bien dans la merde parce que tu as toute la journée pour ressasser ces questions. Et donc, quand tu arrives en pleine nuit, tu ne sais plus à quoi penser pour attendre que le sommeil vienne te prendre.

Donc, il m'a fallu trouver un moyen pour me divertir tout en restant dans mon lit.

Mon moyen-frère de 11 ans me dit :
- Laisse-moi t'humilier à Mario Kart !
- Les carapaces bleues me donnent le tournis.

Ma grand'mère me dit :
- Laisse-moi t'humilier au Scrabble !
- Si je vois encore une planche de Scrabble, je lance la boîte par la fenêtre.

Ma mère me dit :
- Laisse-moi t'humilier au concours de celle qui fera le plus vite la vaisselle !
- Nan, Maman, ça marche pas sur moi, ça.

Mon copain Caillou me dit :
- Bah, lis un livre.

Caillou – Pierre, de son petit nom, mais l'humour est mon point fort –, Caillou, dis-je, non content d'être doté d'un talent rare pour imiter Laurent Gerra qui imite DSK, a aussi cette perspicacité qui le distingue de ses congénères.

- Mais, mon Caillou, qu'est-ce que j'peux lire ?
- Bah, j'sais pas, demande à une main innocente de tirer au hasard dans ta bibliothèque.

Une main innocente, il est mignon lui. Une main disponible, surtout : Ma mère s'extasie devant les photos de son neveu qui bave, mon beau-père écume le site FaitsDivers.org, et mon moyen-frère s'entraîne à esquiver les carapaces rouges.

Reste mon tout-petit-frère, celui qui a 8 ans.

- T'as lu Cavanna ? me demande-t-il tout de go, lui qui est au fait de mes opinions politiques.
- Tout ce que j'ai de lui pour l'instant, oui.
- Et ça, c'est quoi ?
- C'est un dictionnaire Allemand-Français.
- Tu parles allemand, toi ?
- Ja, Ich bin eine große Kartoffel.
- Ah. Ben, et ça ?
- Un dictionnaire de l'argot militaire.
- Et ça ?
- « Mieux vivre avec les plantes ». Une lubie de ma belle-mère. Celle qui écoute Feu!Chatterton, vote En Marche et est devenue intolérante au gluten du jour au lendemain parce que c'est stylé.
- Bah, au pire, t'as qu'à lire ce livre-là.

Il sort, à ma grande stupeur, un bouquin que j'avais acheté jadis sur les conseils de Monsieur Chabance, mon prof' de lettres brassensophile et sosie de Yann Arthus-Bertrand à ses heures perdues, si Yann Arthus-Bertrand portait des vestes en velours côtelé.

- Ouais, t'as raison. Je vais lire ça.

« Ça », c'est un recueil des chroniques de Nellie Bly, parues dans le New York World du temps qu'elle y travaillait.

Nellie Bly, était une de ces personnes à détenir le privilège de figurer sur le « Mur des Gens qui Redonnent Foi en l'humanité » du père Chabance, aux côtés de Zola, Brassens, Blum, Jaurès (prof communiste, tu penses...), et autres gens qui ont marqué l'Histoire à leur échelle.

Positivement, hein, je précise.

Exemple : Pol Pot : A marqué l'Histoire, mais pas dans le bon sens, et est un argument que servent les fachos aux communistes => pas le droit de siéger sur le Mur.
Léon Blum : A instauré les congés payés et la semaine de quarante heures, entre autres choses bien sympathiques, et en plus avait une jolie moustache => devient un membre V.I.P. du Mur.

Mais si Nellie Bly n'a pas instauré les congés payés et était pour ainsi dire dépourvue de pilosité bacchantogène, elle n'en resta pas moins une privilégiée aux yeux de feu Monsieur Chabance.

- Et pourquoi donc ? me demandes-tu.

Bonne question à vingt francs. Tu as un esprit pertinent, toi. Je t'aime bien.

Quand tu es une nénette de quinze ans mal dans sa peau qui regarde les photos de jolies filles en enviant leur poids plume, tu te dis toujours que :
- Soit elles sont très belles mais très niaises.
- Soit elles sont très belles mais très malheureuses.
Hors, toi, tu es malheureuse et même pas belle – enfin, c'est ce que tu penses.

Cela dit, perso, ce genre d'état d'âme ne m'est jamais arrivé, car tout le monde sait que si mon phantasme masculin, c'est Philippe Martinez, la seule femme qui saurait faire frétiller mon petit coeur, c'est Françoise Sagan déguisée en canette de Kronembourg. Donc les mannequins, c'est pas trop ma came. Baste.

Or, Nellie, non seulement elle est très jolie, mais elle est aussi super intelligente.

Exemple pratique :

Nellie, elle se fait passer pour folle afin d'entrer dans un asile psychiatrique et dénoncer ensuite les conditions de vie lamentables des aliénées.
Et elle réussit tellement bien que, spoiler alert, grâce à son article, la ville de New York débloque un million de dollars pour que les malades bénéficient de meilleurs soins.
Nellie, c'est aussi une fille qui va accessoirement faire le tour du monde en 72 jours pour faire la nique à Jules Verne.

Voilà.

Raisons pour lesquelles le Père Chabance a mis une photo de Nellie Bly sur son Mur. Parce que c'est une femme qui est devenue une figure du féminisme et l'emblème du journalisme infiltré, le vrai et intéressant, parce que Bernard de la Villardière il ne compte pas.

L'Obs – journal dont je ne lis en général que la première de couverture quand je passe devant le kiosque à journaux –, l'Obs, dis-je, chante les louanges du livre en disant, je cite : ‘‘Partir à l'aventure sans quitter sa chaise longue, c'est possible. La preuve avec les [aventures] de Nellie Bly.''

Eh bien, pour paraphraser Perceval, c'est pas faux. Moi, dans mon lit en train de me dire que la pire chose qui peut t'arriver dans la vie après se prendre une carapace bleue à 5 mètres de la ligne d'arrivée (comprend qui peut), c'est se décrépir, je peux t'assurer que je suis tout de même partie en aventure avec Nellie.

Bien calée dans mes coussins, Maurice couché contre moi – Maurice, c'est le chat, hein, pas le Père Kerdoncuff qui fait un dodo post-chose... –, j'ai eu le temps de visiter le Mexique, découvrir la vie des aliénées du XIXe, me convaincre un peu plus que la guerre, c'est pas ouf, en me retrouvant auprès des soldats britanniques de la Guerre de Quatorze qui commence tout juste, bref, j'ai eu le temps de vivre quinze vies en une journée.

En somme, les Aventures de Nellie Bly, c'est le livre parfait pour les mises en quarantaine.

Alors, avis aux intéressés...
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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Fabuleuses Aventures de Nellie Bly ?
"Encore un livre que j'ai vu passer chez différentes copines blogueuses et qui m'intriguait beaucoup, bien qu'il ne s'agisse pas d'un roman. La jolie couverture a fini de convaincre."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Nellie Bly était une journaliste américaine ayant vécu à la fin du 19ème siècle et au début du vingtième. On retrouve ici compilés quelques-uns de ses reportages, que ce soit en voyage, en infiltration ou sur le front..."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Cela vous est déjà arrivé d'avoir le coup de coeur dès les premières pages d'un livre pour finalement avoir beaucoup de mal à la finir ? Ici, c'est un peu particulier parce qu'il s'agit de différents reportages. J'ai adoré ceux d'investigation, et particulièrement celui où Nellie Bly se fait interner dans un hôpital psychiatrique pour en dénoncer les dérives. C'est courageux, passionnant et cette femme était sans conteste en avance sur son temps. En revanche, j'ai beaucoup moins aimé ses deux récits de voyage. Son tour du Monde commence bien, avec un défi, du suspense et une rencontre avec Jules Verne, rien que ça. Mais très vite, deux éléments vont ralentir ma lecture et ce sera encore plus évident pour ses six mois au Mexique. D'abord, les descriptions du voyage sont très méticuleuses, s'adressant à des lecteurs qui n'auront peut-être jamais l'occasion de voir ces paysages, pas même à la télévision qui n'existe pas encore. Mais pour le lecteur d'aujourd'hui, j'ai trouvé ça légèrement fastidieux. L'autre point qui m'a posé problème est la condescendance, pour ne pas dire pire, avec laquelle la journaliste décrit les peuples qu'elle découvre. Une condescendance à remettre certes dans le contexte de l'époque et patinée d'une bonne dose de mentalité américaine mais parfois dérangeante à lire malgré tout."

Et comment cela s'est-il fini ?
"J'ai eu du mal à terminer le dernier reportage mais je conseille malgré tout cette lecture. Rien que pour son séjour en asile psychiatrique cela vaut le coup, même si j'aurais aimé en savoir plus sur le triste destin de ses compagnes d'infortune."
Lien : http://booksaremywonderland...
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Voilà un livre très intéressant dans lequel Nellie Bly nous narre ses aventures.
« Dix jours dans un asile » est le récit qui m'a le plus plu car Nellie Bly fait preuve de courage et supporte les mauvais traitements par les infirmières sur les patientes, nombre d'entre elles ne sont même pas folles, ce qu'elle dénoncera alors dans son journal. En le lisant, on ne peut être que stupéfait que cela a pu se produire.
« Dans la peau d'une domestique » et « Nellie Bly, esclave moderne » dénonce la difficulté de trouver un emploi et quand on en trouve un, il n'y pas de choix que de le garder malgré que ça ne paye pas beaucoup et qu'en plus il faut travailler sans relâche et dans des conditions pas très correctes.
« le tour du monde en 72 jours » m'a littéralement fait voyager, et Nellie Bly nous raconte même sa rencontre avec Jules Verne et sa femme. Je vous en dis pas plus sur celui-ci mais c'est vraiment dépaysant et distrayant.
Quant à « 6 mois au Mexique » est de loin celui que j'ai le moins aimé, j'ai trouvé dans ce récit qu'elle ne parle pratiquement pas de sa mère avec qui elle a fait ce voyage, je trouve aussi qu'elle se plaint pas mal : notamment de l'inconfort et de la nourriture. Je me serai également bien passée des détails sur la corrida et autres « sports » avec les taureaux. Bref, j'ai abandonné ce récit sur le Mexique bien qu'il y ait des choses au début qui sont intéressantes sur les mexicains et leurs traditions entre autres.
En ce qui concerne la dernière partie « Nellie Bly sur le champ de bataille », j'ai trouvé que c'était un peu court mais cela décrit bien l'horreur de la guerre.
Pour conclure, dans l'ensemble ce livre est une belle découverte et nous permet de mieux connaître cette journaliste hors du commun.


Lien : https://meschroniquesdelectu..
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Titre niais qui fait penser à un ersatz d'Alice au pays des merveilles et qui ne rend pas justice au contenu. Nellie Bly, c'est une icône, un petit bout de femme à couper le souffle: internement volontaire en asile, travailleuse dans une usine de boîtes, tour du monde en moins de 80 jours, 6 mois au Mexique, front de la Première Guerre mondiale: une des premières journalistes à ne pas avoir eu peur de se mouiller et qui a donné toutes ses lettres de noblesse au journalisme d'immersion à une période (fin 19e/début 20e) où l'on demandait surtout aux femmes de savoir faire la popotte. Passé le petit ton condescendant typique de l'époque sur les étrangers, l'écriture est fluide et dynamique. Tellement mieux pour découvrir le monde d'alors que n'importe lequel des romans d'époque.


Lien : https://tsllangues.wordpress..
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Nellie Bly (1864-1922) est une journaliste américaine connue pour avoir repris le voyage de Phileas Fogg, mais elle savait aussi travailler sous couverture!

Dix jours dans un asile:

Par exemple, en 1887, son journal le World lui donne pour mission de se faire interner dans un asile de fous. Elle réussit sans encombres (ce qui est bien effrayant) à être envoyée à l'asile d'aliénées de Blackwell. Médecins incompétents ou inattentifs, infirmières et aides soignantes maltraitantes, nourriture rare et de piètre qualité, peu de chauffage et de vêtements chauds, voilà le quotidien des internées, dont une bonne partie n'est pas plus dérangée que Nelly Bly, au départ en tout cas, car ce séjour a de quoi faire craquer la personne la plus saine d'esprit.

Son séjour durera peu, et une conséquence sera que la ville de New York octroiera un million de dollars supplémentaires aux hôpitaux psychiatriques.

Un texte très fort, quasi insupportable, où l'on sent bien l'empathie de l'auteure pour ces femmes maltraitées.

Dans la peau d'une domestique, Une étrange expérience dans deux bureaux de placement:

La voila, sans talents particuliers dans le domaine, s'inscrire à une agence de placement, et lier connaissance avec des femmes vivant peu ou prou de ces métiers de domestique, et abandonner rapidement toute ambition dans ce domaine.

En revanche, dans Nellie Bly, esclave moderne ,Une immersion dans une fabrique de boites, elle sera embauchée comme ouvrière, et rendra compte des conditions de vie (salaire, logement) des ouvrières.

Passons sur 6 mois au Mexique , un séjour avec sa mère, qui m'a positivement ennuyée, d'où abandon, et sur Goodreads mon désintérêt pour cette partie est partagé; dommage, le Mexique en 1886, c'était attirant de lire cela.

En revanche, Nellie Bly sur le champ de bataille, compilations d'articles écrits sur les fronts russes et serbes, côté austro-hongrois, où elle découvre l'horreur des combats et des tranchées n'ayant rien à envier à celles françaises demeure un témoignage très fort, qui mérite lecture!
Lien : https://enlisantenvoyageant...
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Ce bouquin regroupe des textes publiés dans des journaux américains. Ils sont le reflet de la société de l'époque, le regard que porte une jeune femme sur ses contemporains. Si "Le tour du monde en 72 jours" est plutôt distrayant et léger, "10 jours dans un asile" est un texte fort, qui met en lumière le traitement inhumain réservé aux femmes internées. Bien loin du rose bonbon de la couverture donc...

Cet ouvrage se picore. On lit un texte, on le repose. On se replonge dans une époque, on découvre le regard que portait à l'époque cette femme qui détonne dans son milieu sur le monde. Un regard parfois naïf, ethnocentré, mais plutôt intéressant.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Quelle vie intrépide que celle de la reporter d'investigation Nellie Bly ! A l'aube du XXe siècle, d'enquêtes infiltrées en tour du monde, la voilà qui nous entraîne dans ses aventures, pour la première fois compilées dans un seul volume ! Des articles brûlots aux accents de roman d'aventure et de thriller psychologique.
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Quelle incroyable femme que Nellie Bly. le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle force le respect. La journaliste d'investigation, pionnière du genre, a su relever des défis que peu d'entre-nous n'auraient entrepris...
Cependant, malgré son humour, sa plume sincère et délicate et ses trésors de témoignages, la forme journalistique est pour moi vite lourde et monotone. C'est avec difficulté que j'ai lu le tour du monde en 72 jours et les 6 mois au Mexique. Son expérience au sein d'un asile et la dénonciation des dysfonctionnements de celui-ci, m'ont bien plus tenu en haleine. Ce livre plaira très certainement aux personnes curieuses des us et coutumes pratiqués dans les pays visités par l'auteur mais aussi aux lecteurs intéressés par la condition de la femme, la politique économique et sociale de l'époque et bien d'autres sujets dont on apprend multiples détails. Mais attention il faut aimer la forme, apprécier 500 pages de récit.
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