AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,81

sur 425 notes
Pour continuer dans ma lignée de récit apocalyptique, j'ai lu un autre classique du genre: le Feu de Dieu. J'ai déjà été attiré par la couverture, si vous regardez bien on peut y voir un poisson, deux têtes et des pattes d'oiseau ! Par contre je me demande qu'elle est la signification de tout ça...



Le héros, Franx, est persuadée que la fin du monde est pour bientôt, alors il décida de se préparer: avec d'autres personnes qui pensent comme lui, Franx a construit un refuge indestructible qui résistera au froid et aux intempéries les plus violentes. Il est à Paris lorsque le cataclysme arrive, dommage pour lui, le Feu de Dieu est à des tas de kilomètres de sa position, je ne me souviens plus combien exactement. Alors qu'il essaye de se repérer dans la ville détruite, tout en évitant les pilleurs (à quoi ça peut bien servir d'avoir une télé s'il n'y a plus d'électricité dites moi ?), Franx va tomber sur un train qui a déraillé, et à l'intérieur se trouvent une femme et sa fille. La mère lui confie son enfant puisqu'elle sait qu'elle n'en a plus pour très longtemps. Comment alors un périple dans un froid extrême, sans nourriture et avec un enfant sous les bras, tout en sachant que sa famille est coincée avec un psychopate.



N'empêche, je me demande comment Franx a pu contruire son Feu de Dieu, déjà il faudrait être un peu fou pour croire un homme qui prédit la fin du monde, et encore plus fou pour investir énormément d'argent dans la construction d'un abri ! Mais bon, heureusement qu'il était là quand même ! J'aime beaucoup ce genre de livre car un part de nous sait que ça pourrait arriver, et on se demande comment on pourrait s'en tirer. Franchement, à la place de Franx je serais morte dès le premier tremblement de terre ! de côté de l'arche, la femme du héros se fait maltraiter par le psychopate, et les enfants vivent dans la peur qu'il leur tombe dessus.



Ce qui est original dans ce roman, c'est que certains personnages ont des pouvoirs qui leur permet de voir ce qu'il est en train de se passer dans un autre endroit, ce qui va sauver nos protagonistes plus d'une fois ! D'ailleurs j'ai pas envie de dire, mais sans la petite fille Franx serait mort depuis très longtemps... J'ai trouvé que la femme de Franx n'était pas très courageuse, elle aurait évité bien des ennuis si elle avait pu être plus courageuse.
Lien : http://lectures2dahlia.over-..
Commenter  J’apprécie          00
Présentation de l'éditeur

Franx a prévu le cataclysme planétaire qui détruira une grande partie de l'humanité. À l'aide de trois autres familles, il a réalisé une arche dans un coin perdu du Périgord, un domaine appelé le Feu de Dieu prévu pour une autonomie totale de sept ou huit ans, afin de passer les années difficiles. Mais les familles se sont lassées, disputées, et ont abandonné le projet l'une après l'autre. L'histoire commence quand Franx, à Paris pour quelques jours et apprend que ses amis les plus fidèles viennent à leur tour de quitter le Feu de Dieu, y laissant seuls sa femme et ses deux enfants. Seuls ? Pas tout à fait : Jim, un parasite, s'est incrusté dans la communauté et ne semble pas décidé à en partir. Quand le cataclysme se déclenche sous ses yeux à Paris, Franx comprend tout et décide derentrer immédiatement chez lui. Il entame alors son périple dans un pays dévasté, une obscurité perpétuelle et un froid de plus en plus intense. Au sortir de Paris, une femme mourante lui confie sa petite fille muette qui semble autiste mais n'est peut-être pas étrangère aux visions et aux perceptions étranges de Franx. À deux, ils vont entreprendre l'impossible voyage vers le Périgord, peinant à pieds dans des ténèbres perpétuelles. Pendant ce temps, dans le Feu de Dieu, Alice et les enfants transforment l'arche en bunker autarcique dont Jim se croit bientôt le maître…


Mon avis

Un excellent cru ! Ce livre me réconcilie avec cet auteur !
Pas que j'étais vraiment fâchée avec lui, mais après avoir beaucoup aimé « Porteurs d'âme » et « Les fables de l'Humpur », j'avais été très déçue par « Graine d'immortels », du coup, j'ai attendu un peu avant de me lancer à nouveau dans un de ses livres, mais je ne le regrette vraiment pas ! J'ai adoré !
Si j'avais pu, je l'aurais lu d'une seule traite tellement il est captivant, plus j'avançais, plus j'avais du mal à le poser, je voulais absolument savoir ce qui allait arriver aux personnages.

Même si le style est très différent, j'ai trouvé à l'histoire des liens de parenté avec « La route » de Cormac Mc Carthy, pour l'ambiance sans doute d'une part, ce cadre post-apocalyptique, gris, sombre, glauque, dépouillé de tout vie. Et puis ici aussi, il y a un homme et un enfant, qui marchent. Il nous interroge aussi de la même façon, sur ce que l'on ferait si…
Mais la comparaison s'arrête là, les deux livres sont très différents (ce qui n'empêche pas que j'ai beaucoup aimé les 2).

J'ai adoré suivre les personnages, c'était vraiment passionnant.
J'ai aussi aimé le fait qu'on alterne entre ce qui ce passait dans la « maison » et sur la route, ça rendait le suspens encore plus fort, et ça permet aussi que ça ne devienne pas monotone, puisque les deux récits sont en huit-clos d'une certaine façon.

On s'identifie forcément à un personnage (voir à plusieurs), ce qui rend l'histoire d'autant plus forte. Malgré leurs défauts, on s'attache à eux (enfin, sauf pour un…) et on souhaite que tout aille bien pour eux.
C'est aussi très intéressant de les voir évoluer au fil des évènements, certains vers le meilleur, d'autres vers le pire. On se rend compte à quel point un évènement comme celui-ci doit vous changer, forcément, que ce soit dans un sens ou dans l'autre, on ne peut pas en sortir en restant la même personne (si on s'en sort bien sûr). J'ai été particulièrement touchée par l'effet que ça a sur Franx, qui à priori n'avait pas l'air d'être quelqu'un de très sympathique, mais qui après ce qu'il se passe et aussi (et surtout) au contact de la petite, commence à voir la vie autrement et à s'ouvrir petit à petit.

Le livre nous pose aussi un tas de questions : Comment se comporterait-on face à la disparition de la civilisation telle que nous la connaissons ? Qui restera humain ? Qui sera prêt à tout pour sa propre survie ? Qui profitera de l'occasion pour laisser libre cours à ses pulsions les plus horribles ?
D'ailleurs, je pense qu'à la place de la femme, j'aurais très vite vu monter en moi des instincts meurtriers…

Bref, je m'arrête, je vais en dire trop ! En tout cas, c'est déjà un de mes livres préférés de l'auteur !
Lien : http://l-imaginarium.forumac..
Commenter  J’apprécie          70
C'est le premier livre de Pierre Bordage que je lis, et j'ai beaucoup apprécié son style. Une jolie écriture, qui sait nous tenir en haleine tout au long du livre.
J'ai moins aimé l'histoire : un homme a fortifié une ancienne ferme en prévision de la fin du monde. Mais celle-ci arrivant plus tôt que prévu, il se retrouve piégé à Paris et doit traverser toute la France (dévastée par le cataclysme) pour retrouver les siens.
Je ne suis déjà pas une grande fan des histoires de fin du monde, mais je trouve en plus que celle-ci pêche par son manque d'originalité. Sans parler de ses sursauts de morale bien pensante (si on s'entraide, on s'en sortira...), qui sont parfois pesants.
Cela-dit, ça reste néanmoins objectivement un agréable moment de lecture.
Lien : http://missplumette.canalblo..
Commenter  J’apprécie          00
J'ai lu d'autres romans de Pierre Bordage et celui ci n'est pas, à mon avis le meilleur.
"Porteurs d'âmes" par exemple m'avait plu davantage.

Cependant, j'aime cet auteur, et à chaque lecture je redécouvre son imagination si vive, et ses personnages toujours attachants.

Dans "Le Feu de Dieu", la fin du monde, est arrivée et seuls quelques êtres vivants pourront survivre à la disparition du soleil.

Franx, scientifique un peu illuminé, a tout prévu, et avec sa famille et quelques autres qu'il a persuadées de l'imminence de la catastrophe, il a élaboré et construit une forteresse afin de les abriter pendant la période sans soleil.
Or, Franx est loin de chez lui le jour où ses théories se vérifient, et les familles qui ont aidé à construire "Le Feu de Dieu" la fameuse forteresse, ont déserté une à une, lassées d'attendre.
La famille de Franx se retrouve seule: sa femme Alice, sa fille Zoé et Théo le microbe, son fils.
Seule avec un hôte inquiétant laissé par une des familles: Jim, jeune homme plutôt instable.

L'histoire, assez ironique finalement, est celle du périple de Franx, seul ou presque, de Paris jusqu'au "Feu de Dieu" situé dans le Périgord noir, à pied, dans la nuit et le froid glacial, pendant que sa famille doit affronter l'imprévu: un danger installé au sein même de la forteresse.

J'ai lu ce roman d'une traite, avec plaisir.

Mais il m'a manqué certains liens, des explications complémentaires. Certains évènements s'enchaînent trop vite: du jour au lendemain Alice se met à haïr le Grax....
Bon, ça encore, passe, on peut comprendre;mais comment expliquer que Franx et Alice acceptent tous deux sans que vraiment nous ayons jamais d'explication, les capacités des deux petits enfants Théo et Surya.
Et puis la réapparition de Ludo? Elle ne sert à rien....

J'arrête, car j'ai aimé ce roman qui répond chez moi à une légère paranoïa que j'essaie de réprimer mais qui me fera probablement amasser des conserves et construire des citernes d'eau sous la maison quand je serai une vieille dame....
J'ai bien compris Franx et son personnage est très crédible pour moi: il est prêt! A tel point que je me suis demandé si Franx est ou pas un avatar de Pierre Bordage.

Et puis pendant cette lecture j'ai repensé à "Ravage" de Barjavel et au "Mémoires d'une survivante" de Doris Lessing, et je crois que je vais les relire (nourrir mes envies de faire des réserves???)

En conclusion, je vais continuer à lire les romans de Pierre Bordage: son imagination débordante me plait beaucoup, et je comprends souvent très bien ses personnages. Enfin, son don de conteur est indéniable: une fois qu'on a commencé "Le feu de Dieu", difficile de le lâcher, de même que tous les romans de lui que j'ai pu lire.
Commenter  J’apprécie          80
Bof bof, vraiment pas terrible, une pale copie de Sur la route de Kerouac
Commenter  J’apprécie          00
Comme souvent avec Bordage, l'idée est orginal et me donne envie de connaître la suite de l'histoire. le thème de ce livre est plus sur un sujet catastrophe avec 2 histoires parallèles d'un couple séparé qui tente de se rejoindre....
Commenter  J’apprécie          30
Tout d'abord, une chose à savoir : j'adore les bouquins traitant de la thématique du cataclysme et de la survie post-apocalyptique. Mon tout premier du genre a sans doute été La Trilogie des Tripodes, un livre pour ado de John Christopher - que je conseille vraiment par ailleurs- qui raconte comment un groupe de rebelles tente de mettre dehors de la Terre les extra-terrestres qui tiennent les humains en esclavage. le Feu de Dieu n'est donc pas le premier du genre que je lis, ne sera certainement pas le dernier … et n'est certes pas le meilleur qui m'ait été donné de lire.

Cela dit, ce récit “road trip” se laisse lire. L'intrigue tient en haleine de bout en bout. L'histoire n'est certes pas des plus originales pour ce thème déjà abordé par nombre d'auteurs, au hasard maître Barjavel et son Ravage qui décrit également la chute de Paris dans ses premières pages.

Tant en livre qu'au cinéma, les scènes de destruction de villes (c'est encore mieux quand on vit réellement) et de dévastation de monuments plus ou moins célèbres m'ont toujours fascinée. Un début prometteur donc. le reste du livre parle du voyage interminable de Franx pour rejoindre le Feu de Dieu, où se trament en parallèle de sordides histoires. Sordides histoires qui m'ont bien dérangées, tant l'emprise de cet homme détestable - surnommé le grax - sur la famille était forte et tant la passivité de la mère était ahurissante. J'avais envie de prendre le couteau et de tuer le gars à sa place ! du côté du voyage de Franx, outre sa rencontre avec cette étrange fillette, qui prend une place de plus en plus considérable dans la réussite de son retour, la scène que j'ai trouvée la plus intéressante est celle du cannibalisme. Encore du sordide, sorti tout droit d'Hansel et Gretel cette fois. Ces deux vieux capturant de pauvres bougres cherchant toit et pitance afin de les mitonner en ragout sont remarquablement décrits, à la fois humains et monstres.

Un livre à lire donc, pour lequel je garde cependant un goût de trop peu. Et après ? Avais-je envie de dire en refermant le livre. Ont-ils rencontré d'autres gens ? Que s'est-il passé après le retour de la lumière ? Comment les enfants ont grandi en étant ainsi coupés de tout contact avec l'extérieur ? Bon, je ne vais pas me plaindre c'est un one shot, ce qui est un atout non négligeable et plus que rare pour un livre de SF …
Lien : https://dragongalactique.com..
Commenter  J’apprécie          10
Un parfum de fin du monde qui semble mener à une indubitable fin dans un univers qui s'écroule et se meure… Douce senteur d'apocalypse dans une atmosphère de fatalité… Voici ce dont Pierre Bordage annonce d'emblée dans son roman catastrophe.

Franx a tout pour être heureux: une femme, des enfants, de l'argent… oui, mais voilà, il est en proie à d'étranges songes et autres pressentiments qui lui donnent se sentiment que la fin du monde est imminente. Sa famille l'a suivi dans ses idées de survie depuis quelque temps afin de se préparer au mieux au grand changement. La solution : se protéger à tout prix grâce à la transformation d'une vieille masure du Périgord en véritable citadelle sobrement intitulée “Le Feu de Dieu”. le temps passant, la famille se disloque peu à peu, se lassant des délires de Franx : sa femme Alice s'éloigne de plus en plus et se rapproche de Jim, pseudo ami de la famille ; ses enfants Zoé et Théo ne sont pas en reste et sont trop bien conscients de ce qu'il advient malgré leur jeune âge. Et si Franx se trompait ?

Du jour au lendemain, les évènements vont pourtant lui donner raison. Tandis qu'il se trouve à Paris, que les catastrophes s'enchaînent et qu'un froid polaire s'installe peu à peu ; Alice et les enfants vont se retrouver rapidement sous l'emprise de Jim qui dévoile dès lors un visage tout autre.

Ambiance de fin du monde et d'anarchie totale au rendez-vous, description des comportements humains qui évoluent complètement jusqu'à la folie, ou au contraire, des démonstrations d'action désintéressées et solidaires. Pierre Bordage démontre ici la part d'animal qui ressort de l'homme tôt ou tard lorsque les principes fondamentaux dont s'enorgueillissent les plus grandes démocraties disparaissent. Dans la panique, les comportements irrationnels et la loi du plus fort deviennent la règle.

Tandis que Franx tente de revenir par tous les moyens dans le Périgord dans un monde chaotique qui ne ressemble à rien de ce qu'il a pu connaître – recueillant au passage une jeune survivante sous son aile, on assiste à des huis clos saisissant entre Alice, ses enfants et Jim qui se positionne au final comme véritable tyran. Les écrits du Feu de Dieu ne sont pas sans rappeler René Barjavel et son ravages.

Entre récits apocalyptiques et thriller psychologique angoissant, les points de vue et les ressentis se mélangent en toute efficacité. Tandis que le père cherche à survivre et à rejoindre les siens ; les autres vivent cloîtrés, se sentant menacés constamment par un indésirable.

Il s'agit également d'une véritable démonstration qu'avec du bon sens et une volonté de fer : l'homme est capable de s'adapter et de se conditionner pour sa survie dans les situations les plus extrêmes. Se battre pour vivre, ne pas céder à la tentation de s'attarder dans un refuge, de guerre lasse, qui certes protégera quelque temps, mais qui au final deviendra un véritable tombeau. Revenir aux besoins essentiels : manger, dormir et se loger. Un soupçon de fantastique et le tour est joué.

Il semble que les sujets traitant de la fin du monde soient dans l'air du temps : entre catastrophe écologique internationale, Jugement dernier, la fin du calendrier Maya en 2012… ne soyons pas mauvaise langue… il s'agit d'un roman tout en efficacité, et au suspense haletant.

Rédigé par AuréHylien, le vendredi 12 juin 2009 - http://www.actualitte.com/dossiers/490-deu-dieu-Pierre-Bordage-catastrophe.htm
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
Commenter  J’apprécie          10
Le dernier roman de Pierre Bordage se lit... comme du petit lait.
Maître dans le domaine des mondes imaginaires, un des chef de file de la SF « à la française », il se lance dans un scénario catastrophe digne des grands maître du genre.
Rythme et suspense se mêlent et s'entremêlent. Les sentiments naissent et se croisent, s'affrontent parfois dans cette lutte pour la vie dans un monde en déliquescence.

Franx et la fillette sont deux figures de proue dans un paysage qui tient du lunaire, où la température chute jusqu'à des – 50°c. et où l'obscurité règne. Neige et cendre tombent de concert et le lecteur suit les péripéties de ce voyage complètement fou avec avidité.
Dans le Feu de Dieu, l'ambiance n'est pas moins électrique. le Grax est le nuisible de service. Nécessaire dans quelques situations désespérées mais un fléau social dès qu'il n'a plus de but. Alice, Zoé et Théo, la femme et les enfants de Franx, sont eux aussi en pleine recherche d'eux même. Entre une fille en passe de devenir femme et qui tente d'égaler Anne Franck et un jeune garçon qui n'arrive pas à prendre sa place d'homme, Alice doit maintenir la cohésion familiale et s'efforcer de croire malgré tout, malgré sa conviction profonde que tout est fini. Alice, où l'art d'aller au bout de soi et du sacrifice pour les siens.

L'écriture est toujours un véritable régal à lire. Les chapitres s'enchaînent sans que l'on s'en rende compte et le doute s'insinue au cours de la lecture. L'identification à Franx a pour moi été complète. Et le doute. Sur la réussite du périple, sur la nécessité de se battre quand il serait tellement plus simple de fermer les yeux... Et subtilement, le message d'espoir que Bordage distille dans tous ses ouvrages prend place. Et subtilement on y croit, on s'accroche, on est avec Franx et la fillette, les encourageant à aller plus loin, toujours. Jusqu'à la fin.

Un roman fort, servi par un style fluide et très profond, amenant les thèmes chers à Bordage qui sont l'amour, le sexe, la compassion, le don de soi... l'humanité en quelque sorte. Un roman coup de poing qui nous met face à nous même. le tout dans un décor apocalyptique.
Commenter  J’apprécie          101





Lecteurs (1009) Voir plus



Quiz Voir plus

Mort d'un clone de Pierre Bordage

Quel âge a Martial Bonneteau ?

47 ans
48 ans
49 ans
50 ans

15 questions
28 lecteurs ont répondu
Thème : Mort d'un clone de Pierre BordageCréer un quiz sur ce livre

{* *}