Le Livre sans nom

Un roman totalement barré qui m'a fait penser à un un mixe avec des dialogue digne d'un film de Tarrantino et une ambiance façon the preacher. C'est complètement déjanté et j'ai beaucoup aimé. Des moments épiques. Des personnages hauts en couleurs, l'auteur ne se refuse rien. Apparemment il y a une longue suite. Que demander de plus.

Déjanté, mordant (dans tous les sens du terme !), jouissif, voilà comment je qualifierais "Le livre sans nom" De Anonyme.

Le pitch: une pierre aux pouvoirs légendaires est volée aux moines d'Hubal. Une chasse à l'objet va alors être lancée dans la ville de Santa Mondega, une ville remplie d'habitants dignes du grand banditisme.
Les balles fusent, les combats s'enchaînent dans cette ville où on sort son flingue plus vite que son ombre.

C'est simple j'ai adoré ! L'écriture est fluide et très visuelle, le rythme entraînant, les dialogues sont mitonnés aux petits oignons.
Les personnages ne sont pas en reste. Ils sont assez nombreux, mais vu leur espérance de vie, il fallait renouveler 😂
Même s'ils sont tous très peu recommandables, on ne peut s'empêcher de s'attacher à certains (Sanchez, Dante et Kacy, nos deux moines...) et être très intrigué par d'autres, notamment le Bourbon Kid.

Dès le début, on rentre dans le vif du sujet du livre qui nous met directement dans le bain pour la suite du roman.
L'auteur manie avec brio l'humour noir ainsi que les très nombreuses références cinématographiques qui parsèment le récit.
Si vous voulez un parallèle, on se croirait dans un film de Tarantino avec l'élément surnaturel en plus.

C'est certain je continuerai cette série De Anonyme qui signe un gros coup de coeur chez moi !

Lien : https://www.instagram.com/es..

Personnellement, j'adore. Je dois bien confesser que je suis un grand fan des "films de genre", et que je prends part depuis des années (pré-covid) au BIFFF, c-à-d le festival du film fantastique de Bruxelles. Surtout à la nuit du film fantastique, avec 4 films à la suite, de 23h00 à 5h00 du mat' ... Rôliste impénitent, je voue un culte au superbe JdR INS/MV ou à KULT, beaucoup plus gore.

Tout cela pour dire que l'atmosphère, l'univers, les rouages du Livre sans Nom percutent, rebondissent et font écho en moi, au plus profond.

J'aime tout, y compris les excès, les blagues à deux balles, les rebondissements qui se voient à des kilomètres, etc. Il y a de la violence, effectivement, mais énormément de dérision, d'humour et de fun, de références croisées. C'est jouissif... en ce qui me concerne.

Ce côté déjanté, où "tout peut arriver, y compris l'impossible", peut rebuter pas mal de lecteurs, tout comme ces films en carton pâte façon Jean Rollin, Russ Meyer ou Ed Wood, dont je suis également fan.

Il est impossible de résumer le Livre sans nom. Sachez seulement qu'il relate les aventures du Bourbon Kid, le tueur le plus impitoyable que la terre ait jamais porté. Et qu'il est considéré comme le plus rock'n'roll et le plus jubilatoire des thrillers. Quant à l'auteur, il est tout aussi mystérieux. On a évoqué Quentin Tarantino et le prince Charles. Tout est possible.
Ce roman diffusé anonymement sur Internet raconte l'histoire de l'unique victime rescapée d'un tueur en série, qui, après cinq ans de coma, se réveille, amnésique.
Attention, une fois ouvert ce bouquin, il vous sera impossible de la lâcher.
Il n'est pas seulement totalement déjanté, il est aussi un fabuleux vecteur de sensations fortes. On devient vite accro.
A a fois, polar, thriller fantastique, roman horrifique, roman noir et tellement d'autre genre encore, ce livre est un OLNI comme vous n'en avez jamais lu !
(OLNI, objet littéraire non identifié)
Vous êtes prévenus, vous risquez fort d'être mordu par ce Bourbon Kid et toute sa clique !
Lien : https://collectifpolar.com/

Je ne savais pas du tout de quoi parlait ce livre avant de le débuter, je m'étais juste fiée aux bonnes critiques vues par ci par là...et j'ai été très surprise (dans le bon sens du terme) par la tournure prise par l'histoire !

L'histoire est loufoque et complètement barrée. Alors oui, les scènes sont gores, les personnages grossiers, alcooliques, violents et clichés mais je trouvé que c'était tellement bon à lire ! Les scènes sont très visuelles et comme déjà dit dans d'autres commentaires, je me serait cru dans un film de Tarantino ou Robert Rodriguez (la scène d'ouverture m'a énormément fait penser à la scène d'ouverture du Desperados).

Les scènes s'enchaînent rapidement, les (petits) retournements de situation aussi. Il y a beaucoup de personnages, mais ceux-ci sont tellement hauts en couleurs, qu'on les retient bien. Aucun temps mort dans l'histoire, par contre on ne prend (presque) pas le temps d'approfondir les personnages (ce qui fait qu'on ne s'attache pas vraiment à eux).

Néanmoins, je redoute un peu de lire la suite car l'effet de surprise passé sur le style du livre, j'ai peur de moins aimé...A suivre.

C'est un roman qui se lit comme on regarde un film. Agrippé à son siège, les yeux aspirés par l'écran, les sens aiguisés par une avalanche d'images, de sons, de sensations.
Sauf que c'est un roman.
En bref, en ouvrant ce livre, attendez-vous à vous en prendre plein la tronche. On ne sait pas qui en est l'auteur, mais il aurait très bien pu être Tarantino, tant le sens du rythme est là, ainsi que le goût des réparties bien senties. Et bien sûr, ça trucide à tout va, et les cadavres pleuvent en veux-tu en voilà.
Pour tout ça, il fallait une histoire spéciale. Une histoire qui emporte dès les premiers mots et qui vous fait avaler les 461 pages sans vous en rendre compte. Cette histoire, c'est celle de Santa Mondega, une petite ville d'Amérique du Sud qui affiche sans doute le taux de mortalité le plus haut du monde. Dans cette ville, il y a un bar, et dans ce bar, il y a un paquet de types louches et violents. Il y a cinq ans, un autre type louche est venu, et après avoir bu un verre de bourbon, il a dégommé toutes les personnes qui ont eu le malheur de se trouver dans le bar à ce moment-là.

Un massacre. Qui lui a valu la célébrité, et le surnom du Bourbon Kid. Or, il semblerait qu'après cinq ans d'absence le Bourbon Kid soit de retour dans la ville... La rumeur dit qu'il serait à la recherche d'une pierre précieuse très spéciale, une pierre convoitée par des personnages aussi divers qu'un tueur à gages, deux moines et le chef de la mafia locale. Et au milieu de tout ça, il y a le patron du bar, qui tente tant bien que mal de ne pas se faire buter. Ah, oui, et il y a aussi deux flics qui s'échinent avec héroïsme à mettre la main sur le Bourbon Kid avant qu'il ne soit responsable d'un nouveau massacre...
C'est au final un super thriller, qui se paie le luxe d'intégrer du fantastique tout en étant très réaliste (notamment dans les scènes d'action), avec juste ce qu'il faut d'humour et de grotesque. Bien sûr, il faut aimer être secoué, et ne pas s'effaroucher des grossièretés qui pleuvent comme l'alcool dans un bar (c'est à dire autant que les cadavres). C'est un roman jubilatoire qui décoiffe, qui amuse et qui vous envoie plein les yeux rien que par les mots.
Je n'ai jamais rien lu de pareil.
Lien : http://surlestracesduchat.bl..

Il y a un moment que je me tâte (mais soft hein le tatage) pour lire ce livre. J'ai entendu de bonnes et de mauvaises choses... Mais voilà que ma belle soeur qui a sensiblement les même références culturelles que moi m'a dit qu'elle avait adoré. Alors ok, je saute le pas et je me dis que l'été pointant son nez, ça sera une bonne occasion de découvrir ce qui s'annonce comme une lecture divertissante.



Grâce soit rendue à Marie (ma belle soeur, pas la maman de qui on sait), car ce livre est une tuerie! Pour peu que comme moi l'on aime (ou plutôt on vénère) le cinéma de Robert Rodriguez et Quentin Tarentino, alors ce bouquin devient tout simplement culte dès la première scène (hommage à Desperado)



Le livre est truffé de clin d'oeil et de références au cinéma, et plus particulièrement aux deux génies cités plus haut. L'histoire en elle même rappelle fortement "Une nuit en Enfer" Sans trop spoiler, et tout comme dans ce superbe film, l'histoire démarre comme un thriller relativement classique, puis tout part en cacahuète façon série B qui s'assume et qui en met plein les mirettes.



Les personnages sont tous excellents, tout droit sortis des meilleurs films d'actions teintés d'humour second degré. Et surtout, l'auteur a fait un effort considérable pour leur trouver à tous un nom qui claque grave (mention à Rodéo Rex et Bourbon Kid). On pense bien sur à Sex Machine et Pendemonium Satanico dans Une Nuit en Enfer.



Mais ce film n'est pas le seul à servir de référence à ce livre, et on trouvera avec amusement des points communs avec Kill Bill, Planète Terreur, Desperado (notamment pour le personnage de Sanchez le barman), Machete, Reservoir Dogs, True Romance (pour le couple en cavale avec le magot)...Bref, que des grands classiques.



Plein d'humour, bourré d'action, vulgaire à souhait, sans aucun temps mort, ce livre est à conseillé à tous, y compris ceux qui n'aiment habituellement pas lire tellement c'est fluide.



J'ai d'ores et déjà sauté sur la suite qui envoie du diot comme on dit chez moi.
Lien : http://zerojanviersworld.blo..

J'attendais avec impatience l'occasion de lire cette histoire que tout le monde encense depuis quelques temps. C'est donc avec beaucoup d'excitation, et en sachant à peu près à quel genre de scène m'attendre (du gore à la Tarentino) que je pars à la rencontre du Bourbon Kid.

L'histoire prend place à Santa Mondega, une ville tellement corrompue qu'on se demande rapidement s'il y existe des habitants honnêtes... Santa Mondega est quotidiennement le cadre de meurtres gratuits et tous plus horribles les uns que les autres, de vols, de viols et autres méfaits en tous genres. Mais un nom réussit à faire trembler même les plus durs à cuire de la ville, le Bourbon Kid. On raconte que lorsqu'il boit du bourbon, il devient fou et tue tous ceux qui se trouvent sur son passage, lui-même étant invincible bien sûr. Et ce n'est pas une légende.

L'intrigue du Livre sans nom gravite autour d'une pierre bleue, L'Oeil de la Lune, que tout le monde s'arrache tout au long de l'ouvrage, et qui aurait entres autres la capacité de rendre immortel celui qui la porte, mais elle possède bien plus de pouvoirs encore... On va donc assister sans répit à une succession de meurtres horribles, de magouilles, de poursuites, dans l'unique but de s'approprier cette pierre, également convoitée bien sûr par le Bourbon Kid.

Entre les crapules qui veulent en tirer le plus d'argent possible, ceux qui veulent l'utiliser pour eux-mêmes, les moines qui veulent récupérer cette pierre qui leur appartient de droit, les flics qui tentent d'élucider les nombreux (et c'est peu dire) meurtres disséminés tout au long de ces pages, c'est une épopée sanglante et jouissive, teintée de fantastique, que l'auteur nous offre dans ce 1er tome. Lire le livre sans nom est un régal, un vrai défouloir, à savourer encore et encore ! D'ailleurs je vais me jeter d'ici peu de temps sur le 2e tome, L'Oeil de la Lune...

Ce livre, écrit par un auteur anonyme est une petite claque bien sympathique. La couverture sombre avec le visage en très gros plan d'un homme buriné qui fume une cigarette au coin de sa lèvre annonce un polar ou roman noir. L'auteur a voulu rester dans l'ombre lui aussi. Enfin, ce livre n'a même pas de nom.
Tout porte à croire qu'il s'agit encore d'un effet de pub pour attirer le chaland que nous sommes et nous plonger dans des silences digne d'un Far-West.
"Que dale" si vous me permettez cette expression grossière mais qui colle parfaitement à l'ambiance de ce livre. La première scène est à savourer, elle donne le ton, elle met en jambe et nous chauffe juste ce qu'il faut pour qu'on veuille lire la suite. Ce livre est une petite merveille pour ma part.
Un tueur en série sévit dans une petite ville mexicaine. Il semblerait qu'il soit à la recherche d'une pierre appelée l'oeil de la Lune. Cette même pierre, un chasseur de prime la recherche également, ainsi que deux moines venus d'une île paumée on ne sait où, un malfrat super caïd de la ville, et bien d'autres qui croiseront le chemin de cette pierre. Pendant ce temps-là, les morts s'accumulent, des cadavres pas beaux à voir, massacrés.
Les dialogues truculents et les scènes de massacres sont dignes d'un bon film de Tarantino ou de Robert Rodriguez. C'est même à se demander si ce n'est pas l'un ou l'autre qui se cache derrière l'anonymat. Car tous les ingrédients de leur film se retrouvent, mais je n'en dirai pas plus au risque de vous gâcher le plaisir. On s'en délecte à souhait, sans qu'ils occultent pour autant l'histoire bien menée et bien ficelée de ce polar dit "cinéphile" qui se déroule dans la ville de Santa Mondega où il ne fait pas bon y traîner ses guêtres, surtout quand une éclipse s'annonce dans les jours qui viennent.
J'ai adoré, je l'ai dévoré et j'en redemande. Vivement le prochain ! À lire absolument !

Attention ce livre est un ovni !
A Santa Mondega, ça se bat, ça jure, ça saigne beaucoup et ça picole pas mal aussi... Il faut dire que des barons du crimes sont les habitués des bars comme des fêtes de village. Mais on rencontre aussi deux moines novices fraîchement débarqués d'une île lointaine et un mystérieux livre sans nom. Ah, et il y a des vampires aussi. Et une pierre magique. Attendez , vous trouvez qu'il manque encore un petit quelque chose ? Alors laissez-moi vous présenter la pièce maîtresse. Un tueur en série débarque régulièrement dans la ville - un whisky descendu annonce toujours le massacre, ce qui lui vaut le surnom de Bourbon Kid.
Pour le reste, je ne sais pas quoi vous dire. C'est gore comme un Tarantino, ou un western qui n'aurait choisi que les brutes et les truands, en débauchant quelques acteurs de Twilight et du nom de la rose.... Et je dis bien "acteurs" car j'ai rarement lu un roman aussi visuel donc pour moi c'est "un film sur papier". Et si vous ne vous figurez pas bien la chose, c'est normal, moi non plus j'ai rien compris. Enfin ça reste épatant, sacrément tordu mais ça fonctionne du tonnerre. Et c'est même complètement addictif. Complètement perché mais complètement jouissif. Alors si tout vous énerve, vos voisins, l'hiver qui arrive ou votre café froid ; ou que vous êtes d'humeur maussade n'hésitez pas ça défoule.... Même que si vous appréciez, il reste 8 tomes à lire. Et même que le deuxième se passe la nuit d'Halloween, pour le petit bonus.