Les manuscrits se consument moins que leurs lecteurs. Et ici, je veux parler de l’éclat lumineux des manuscrits et de l’obscurité qui les menace toujours et dire ma passion des manuscrits, ou plutôt de l’activité manuscrite.
J’aime l’unicité fragile des manuscrits, sans leur vouer l’adoration ou la convoitise suscitées par des trésors, que j’évoque d’abord avant de livrer mon expérience des rapports incommodes entre les institutions détentrices, les lecteurs ...
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