Partageons nos petits malheurs!
Ce petit ours nous confie ses "petits" malheurs:
- aller à l'école,
- les mercredis où l'on s'ennuie,
- les dimanches aussi,
- passer une mauvaise nuit,
- les injustices....
Mes petits élèves ont retenu quelques formules amusantes et s'y sont retrouvés.
Cela fait du bien quand on est petit d'entendre que d'autres que nous éprouvent les même malaises, cela soulage et aide à vivre.
Les dessins qui remplacent parfois quelques mots, inutiles me direz-vous, car qui lit le reste est capable de tout lire, représentent un point d'accroche et une pause qui retiennent quelques petits.
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Je trouve que ça ne devrait pas être [interdit] de faire des trucs sans [queue] ni [tête] avec ses copains.
La vie ce n'est vraiment pas du [gâteau] ! Je suis triste d'aller au lit sans [bisous], sans [lecture], sans avoir fait la paix.
(p. 23)
« N’attendez pas qu’il soit trop tard, vous m’entendez ? Il vous reste beaucoup à vivre. On ne sait quoi ni comment, mais beaucoup. J’en suis sûre. »
En ce mois de juillet parisien, Pierre, veuf et ancien libraire du quartier Mouffetard, doute de sa capacité à redonner du sens à sa vie.
Mais, c’est compter sans les irrépressibles dérives de la mémoire, les élans du cœur, le hasard des rencontres et surtout sans Léa, sa fantasque belle-mère. C’est compter sans l’amour.
Il lui faudra remonter aux sources obscures de son enfance, exhumer des blessures inavouées pour se libérer de ses entraves.
Pour vivre, enfin.
Élisabeth Brami a publié chez divers éditeurs une centaine d’ouvrages en littérature jeunesse, primés et traduits dans différents pays. Après Je vous écris comme je vous aime ( Calmann-Lévy, 2006), lauréat du Festival du premier roman de Chambéry, et Mon cher amour ( Éditions du Rocher, 2009), Les Heures secrètes est son troisième roman.
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