Un avion sans elle

Le 23 décembre 1980 à 0H37, l'Airbus 5403 Istanbul-Paris s'écrase sur le Mont Terrible, un petit sommet du Jura à la frontière de la Suisse et de la France. Une seule survivante, un bébé âgé de quelques semaines.
2 bébés étaient à bord de l'avion avec leurs parents : Lyse-Rose de Carville née le 27 septembre 1980 et Emilie Vitral née le 30 septembre 1980.
Laquelle a survécu ?
Deux familles : d'un côté les de Carville, une famille riche et puissante et de l'autre les Vitral d'une condition plus modeste.
Ces deux familles vont se déchirer pour cette enfant. Un juge va finalement trancher et remettre l'enfant au Vitral.
Les de Carville vont engager un détective privé – Crédule Grand-Duc, celui-ci a pour mission prouver que la survivante n'est pas Emilie Vitral mais bien Lyse-Rose de Carville.
18 ans plus tard, Crédule Grand-Duc fait remettre à Emilie un journal où il a consigné toute son enquête. Après l'avoir lu, Emilie décide de disparaître. Elle a confié le journal à son frère Marc Vitral qui va à son tour mener l'enquête afin de prouver que ce n'est pas Emilie qui a survécu au crash…

Un avion sans elle est un polar addictif, l'intrigue est bien construite, l'auteur sait nous tenir en haleine, il n'y a pas de temps mort et le suspense est maintenu jusqu'à la fin.

génial!
beaucoup de difficultés pour arrêter de lire, la narration est hyper bien menée avec changements d'écrits et de points de vue (le journal de bord du détective privé, Marc, Libellule, la patronne du café...) ce qui fait qu'on a sans arrêt envie de connaître la suite. et puis c'est vraiment très riche en rebondissements, on est sans arrêt surpris et la psychologie des personnages se tient tout à fait, bref, je suis très emballée.

l'histoire de départ est originale (un avion s'écrase, un seul bébé survivant, deux familles le réclament)

à lire!!!

Lily-Rose ou Emilie ?
Elles ont trois mois, une seule est rescapée du vol Istanbul-Paris !

Deux familles se disputent la parenté de cette petite, l'une riche et influente,
l'autre beaucoup moins.

S'en suit une longue enquête dans laquelle le détective qui en est chargé s'est juré d'aboutir.

Un suspense époustouflant tout au long d'un thriller dont la chute vous stupéfiera.
A sa lecture j'ai été complètement absorbé par ce roman, du début à la fin rien n'a pu m'en distraire !

1er mai fête du travail, du muguet...une belle journée plutôt pluvieuse parfaite pour entamer un nouveau roman au coin du feu avec un bon petit thé. Un roman reçu d'une copine "Tiens lis celui là, tu m'en diras des nouvelles" avec un petit sourire malicieux satisfaite de son choix.
Je m'installe, allez c'est parti, première page, deuxième page, je lis, je lis...je suis happée par un tourbillon, impossible de m'arrêter c'est comme si j'étais au coeur d'un cyclone.
D'abord nous sommes sur le vol 5403 Istanbul-Paris la nuit du 23 décembre 1980. Une succession de trous d'air de plus de mille mètres surviennent, les passagers s'affolent, cris puis c'est le crash. Voilà une entrée fracassante.

Lyse-Rose ou bien Emilie qui a survécu? Deux familles se disputent la garde. La justice tranchera pour eux. Crédule GRAND-DUC, détective privé, embauché par l'une des familles, doit faire la lumière sur cette affaire. Une enquête de 18 ans est consigné dans un carnet de note. Au fil des chapitres, on est captivé, tantôt par la course folle de Marc (peut-être le frère de la miraculée) en quête de la vérité. Malvina qui avait 6 ans, ne se remet pas de la disparition de sa soeur, elle vie avec son fantôme et fait un refus de grandir selon les psychiatres.

Je ne connaissais pas l'auteur, j'étais ravis par cette découverte, auteur de nombreux polars qui ont reçu plusieurs prix. le style est simple fluide, les intrigues s'enchaînent sans relâche on a la sensation d'être pris au piège par ce suspense intense. Un vrai moment de bonheur.

Ce roman est tout simplement excellent. L'auteur nous perd dans les dédales d'une intrigue diabolique qui ne tombe jamais dans l'invraisemblance. Et puis, la franc-comtoise que je suis n'a pas boudé son plaisir de voir une partie de l'action se situer dans ma région, à quelques dizaines de kilomètres de chez moi. J'ai pu apprécier le degré de documentation de l'auteur, et cela m'a plu. Seul petit bémol à ce sujet, à la période où se déroulent les faits, la fusion des hôpitaux de Belfort et de Montbéliard n'était pas encore réalisée… Mais c'est vraiment chercher la petite bête, je le concède volontier.

L'articulation des chapitres est redoutable. Michel Bussi est un grand pervers qui prend un malin plaisir à clore chaque chapitre de façon à laisser le lecteur sur sa faim, et cela fonctionne à merveille, puisque ce livre fait partie de ceux que l'on n'arrive pas à lâcher une fois que l'on en a commencé la lecture, aspiré que l'on est par l'univers torturé des personnages. J'ai souffert à chaque page avec eux, dans cette quête éperdue d'identité.

L'auteur fait un très beau tableau de l'amour filial et fraternel mais aussi du deuil impossible. Jusqu'où peut-on aller pour l'amour d'un enfant, d'une soeur, telle est finalement la question.

Ce roman a obtenu le Prix des Maisons de la Presse 2012, et il est amplement mérité. Michel Bussi, un auteur que j'ai découvert, et dont je ne manquerai pas de lire les autres ouvrages.
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Un avion sans elle traînait dans ma PAL depuis un peu plus d'un an quand j'ai décidé de l'en sortir en organisant une lecture commune avec des copines sur Booksta. Je suis bien contente de l'avoir sorti de ma PAL car j'ai très vite accroché à l'intrigue !

Le 23 décembre 1980, l'avion qui relie Istanbul à Paris se crashe sur le Mont Terrible dans le Jura. Parmi les 169 personnes à bord de l'avion, seule une survit : un bébé de 3 mois, une petite fille blonde aux yeux bleus. le problème, c'est qu'il y avait deux petites blondes aux yeux bleus de 3 mois dans cette avion. Est-ce Lyse-Rose ou Émilie qui a survécu ? L'identité de l'enfant est difficile à établir et les deux familles se déchirent pour obtenir la garde de la petite. À l'issue du procès, l'enfant est remise à l'une des familles mais la seconde ne s'avoue pas vaincue et engage Crédule Grand-Duc, un détective, pour prouver que l'enfant appartient bien à leur famille.

L'intrigue se déroule 18 ans après l'accident. Lylie (fusion des prénoms Lyse-Rose et Émilie) est devenue majeure et découvre dans le détail l'enquête menée par Crédule puisqu'il lui a transmis son cahier d'enquête des 18 années qui viennent de s'écouler. Lylie est une jeune adulte qui m'a beaucoup touchée : elle est complètement perdue et se demande qui elle est réellement vu les découvertes qu'elle fait dans le cahier de Crédule. Marc est lui aussi un personnage qui m'a plu, malgré quelques comportements un peu étranges. Les personnages prennent de l'épaisseur au fil des chapitres, ce qui les rend attachants.

J'ai été complètement bluffée par le déroulement des événements et surtout par la fin, à laquelle je ne m'attendais absolument pas. Michel Bussi nous mène complètement en bateau et il sait parfaitement quand clôturer les chapitres pour nous donner envie de lire la suite. C'était une lecture addictive, j'avais du mal à respecter le nombre de chapitres à lire par jour tant je voulais connaître le fin mot de l'histoire. L'intrigue est parfaitement construite, avec des rebondissements surprenants mais qui fonctionnent.

Je suis contente de m'être plongée dans ce polar car j'ai déjà été déçue de Michel Bussi. Ce n'est pas du tout le cas ici et ça me donne envie de découvrir tous ses romans que je n'ai pas encore lus.
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Si vous êtes à la recherche d'un polar addictif et immersif, je vous recommande bien celui-ci. J'ai trouvé que l'histoire de base était bien pensée : un crash d'avion, une unique survivante. Une petite fille de seulement quelques mois. Problème : deux bébés se trouvaient parmi les passagers et les grands-parents des deux familles vont donc se déchirer pour récupérer leur petite fille.

Pour la justice, ce miracle de la catastrophe du Mont-Terrible va se révéler être un casse-tête sans nom. Alors, comme moi, vous vous direz peut-être dès le début : mais, il suffit juste de faire un test ADN ! Fin de l'histoire ! le hic ? Bingo, l'auteur à même pensé à se justifier à ce sujet. Retour à la case départ. Nous sommes dans les années 80 et la science n'a malheureusement pas les mêmes moyens qu'aujourd'hui.

Va s'ensuivre un véritable combat pour les deux familles qui n'auront de cesse de croire en la vie de leur petite-fille. Les armes ne seront pas égales. Les riches contre les pauvres. La classe supérieure contre la classe ouvrière. Tous les coups sont permis. Argent, Relations, détective privée pour les uns contre faveur des médias pour les autres. Une situation qui, nous allons le voir va détruire à petit feu les deux familles au fil des années. Car même si la justice aura fini par trancher, les doutes et les rancoeurs, elles, subsistent. Les coups tordus aussi.

Lyse-Rose ou Émilie ? Un point d'interrogation qui n'aura de cesse de nous titiller jusqu'à la fin du livre. Finalement, aux yeux de la loi, ce sera Émilie, Émilie Vitral, une jeune fille qui devra apprendre à se construire malgré ce lourd passé, au milieu de ces doutes. Mais es-tu vraiment Émilie ?

C'est à travers les pages d'une enquête de près de dix-huit ans, qu'à l'aube de la majorité de la jeune fille, nous allons découvrir son histoire. Mais est-ce vraiment la vérité ? Comme à son habitude, Michel Bussi nous aura réservé quelques surprises, des fausses pistes et quelques contre-vérités.

Ce thriller est véritablement addictif. Ce qui fait aussi son charme selon moi, c'est le sentiment de réalité de l'histoire. Après tout pourquoi pas ? Alors, c'est vrai c'est dommage d'avoir cherché à casser ce côté terre à terre par l'utilisation d'accessoires de récit totalement farfelus, comme le patronyme du détective privé par exemple, Crédule Grand-Duc ? Qui pourrait croire que quelqu'un s'appelle vraiment comme ça, même dans les années 80 ? Dommage, je trouve, même si cela n'enlève rien à la qualité du récit. C'est vrai, que le côté caricatural de certains personnages, peut aussi fortement enlever de la crédibilité au livre. Je pense notamment à la prétendue grande soeur de la survivante.

À noter, que cette fois-ci, je suis fière d''avoir résolu en amont, à moi seule un bout d'énigme. Ceci-dit, Michel Bussi nous a habitués dernièrement à des clés bien plus tiré par les cheveux. Et justement, je trouve que cela fait du bien, pour une fois, de lire un thriller qui reste, autant qu'il peut, dans le réalisme.

Moi, j'ai beaucoup aimé, je trouve que c'est bien écrit et bien mené ? Et vous ?

Chronique complète : www.placedesbouquins.com

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Quand on veut lire un polar au suspens implacable mais écrit dans un style simple et néanmoins prenant, il faut se tourner vers Michel Bussi. Jusqu'à présent, "Nymphéas noirs" était celui que je trouvais le plus diabolique, mais je n'avais alors pas encore lu "Un avion sans elle". Le 23 décembre 1980, un avion s'écrase dans le Jura. Aucun survivant, si ce n'est un bébé de trois mois. Or à l'embarquement, en Turquie, deux petites filles aux yeux bleus ont été enregistrées. Emilie Vitral, issue d'un milieu modeste et Lyse-Rose de Carville, petite-fille d'un magnat de l'industrie. Impossibilité de différencier l'une de l'autre et à l'époque, les tests ADN n'existent pas. 18 ans plus tard, Crédule Grand-Duc, détective privé, s'apprête à refermer le dossier de l'enquête et celui de sa vie. Engagé par les Carville, il a échoué dans sa mission et veut se suicider, mais il a une révélation de dernière minute. Et le lecteur n'aura cette révélation qu'à la fin du roman qui, alternant entre le journal de Crédule et le récit heure par heure, minute par minute, de la première journée de la majorité d'Emilie/Lyse-Rose, le tiendra en haleine, voire à bout de souffle. Epatant !

Voilà un livre qui me faisait de l'oeil depuis quelque temps dans les rayons de ma librairie. Je suis ravie d'avoir succombé parce qu'Un avion sans elle fait, sans nul doute, partie des petites pépites de mes lectures 2015.

- Un récit comme on n'en fait plus ! -

Il faut dire que Michel Bussi est un maître dans l'art du suspense. Cela faisait bien longtemps d'ailleurs que je n'avais pas ouvert un livre qui me passionne autant. C'est ça "l'effet Bussi" : des fins de chapitres insoutenables qui provoquent un besoin irrésistible de continuer et un épilogue comme une claque, vous n'avez rien vu venir !

L'écriture est simple, fluide, sans fioriture et on pourrait utiliser les mêmes adjectifs pour parler des personnages. Ce roman peut avoir l'air d'un déjà vu mais bonne surprise, cette histoire - bien que difficile à résumer - révèle très très vite son potentiel !

- Directement plongé dans une histoire passionnante ! -

Ici, il se passe beaucoup de choses mais autant vous prévenir, tout est important ! Chaque élément apporte la nuance nécessaire à la bonne compréhension de l'histoire et de ses rebondissements. Assez vite, je me suis prise au jeu de l'enquête. Celle de Marc - le frère de la Libellule -, qui est bien décidé à comprendre pourquoi sa soeur vient de s'enfuit. Et sincèrement, j'ai eu la sensation d'être à ses côtés, de marcher dans ses pas et de participer à chaque évènement. J'ai rencontré les mêmes personnes, visité Dieppe et survolé le Mont Terrible.

Ce roman, c'est une course folle, impossible de s'arrêter ! Marc le comprend vite, il ne dispose que de peu de temps pour comprendre le comportement d'Emilie, sa soeur. Il sent que son destin, que LEUR destin, repose sur sa capacité à comprendre ce qui se trame. Au coeur de cette étourdissante aventure, quelques moments de pause où l'auteur nous parle un peu de ses personnages. Qui sont-ils ? Pourquoi sont-ils comme ça ? Qu'ont-ils vécu ? Des secrets de famille sont sur le point de se révèle et Marc est aux premières loges.

- Êtes-vous sûr d'avoir résolu l'enquête ? -

Voilà, le roman est presque terminé et vous croyez avoir la clé de cette fameuse histoire. Détrompez-vous, il n'en est rien. Tellement happé par le récit, vous en oubliez les plus importants détails et tous les indices dispersés au fil des pages.

Mais vous savez quoi ? Au fond, j'ai adoré me faire avoir.
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D'abord , je trouve cette couverture assez attirante.
De plus, ce livre me tentait depuis longtemps car des lecteurs étaient assez enthousiastes.
Donc, cet été, je l'ai sorti de ma Bibliothèque pour mon plus grand plaisir...
Dès les premières pages, j'ai été embarquée par le sujet.Je ne pouvais plus lâcher ce livre bleu avec un bébé sans prénom dedans!... J'y suis bien obligée pour des raisons familiales mais je n'attendais qu'une chose : savoir!
Dès le départ, le lecteur assiste au crash d'un avion.C'est terrible,les pages se tournent et il apprend qu'il y a une petite fille qui a survécu. Ah, oui , mais il y avait deux petites filles du même âge à bord. Alors qui est qui? Sachant qu'en 1980, "les analyses ADN étaient de la science-fiction"!
Un suspens incroyable se tisse petit à petit mettant les certitudes du lecteur à rude épreuve.
Les personnages sont intéressants et bien travaillés.
Tous les détails ont leur importance,chaque fait est utile. C'est incroyable!
Bref, une histoire qui se lit comme on lit une enquête.
572 Pages qui filent entre les mains sans s'en rendre compte et avoir les larmes aux yeux sur la dernière ligne,ce n'est pas tous les jours que je trouve un roman pareil.
Merci Monsieur Bussi car ,par vos mots et votre talent d'écriture,j'ai pu m'évader avec beaucoup de plaisir.
Je vais continuer à vous lire.

Un roman qui mérite un embarquement immédiat.