Insatiable, tome 1

J'ai beaucoup aimé ce premier tome.
Meena Harper est attachante. Pas seulement parce qu'elle a le don de prédire la mort des gens qu'elle croise. Pour moi, elle est un peu la mademoiselle tout-le-monde : des problèmes au boulot, une collègue casse pieds (et je reste polie) qui lui vole le poste dont elle rêve, un frangin pas très futé qui squatte son canapé, mais tellement sympa et toujours prêt à rendre service... bref.
Lorsqu'elle rencontre Lucien Antonescu, le prince des ténèbres, il est tellement beau et attentionné qu'on n'a même pas envie de lui dire de se méfier.
Meena va traverser de nombreuses épreuves et son histoire avec Lucien sera chaotique. En tant que prince de tout les vampires, il l'a choisi elle, pour régner avec lui... sans lui demander son avis. Et la demoiselle a d'autres projets.

La fin est surprenante. C'est d'ailleurs ce qui m'a plu et qui pousse le lecteur à aller vers le tome 2.

Bonne lecture de détente.

Après une magnifique campagne publicitaire et un gros battage dans les medias, nous sommes en droit de nous demander si ce livre est un énième livre sur les vampires ?

Jeune femme moderne qui exerce le métier de scénariste pour un feuilleton américain, Meena est contrainte par la chaîne qui l'emploie, d'intégrer un vampire dans le scénario pour moderniser la série devenue trop classique. Or, Meena déteste les vampires.

Lucien Antonescu, Prince des Ténèbres Roumain, décide de se rendre à New York afin de rechercher le vampire qui sème le trouble dans la ville en vidant des jeunes filles de leur sang et par conséquent de révéler ainsi au grand jour la présence des vampires.

La rencontre de ces deux êtres va être plus que sulfureuse.

D'une écriture beaucoup plus mûre que ce que l'on lit dans les romans Young Adult, ce livre risque de surprendre plus d'un habitué de la collection Black Moon. le style, sans être compliqué, risque de dérouter par les tournures de phrase, le vocabulaire et les expressions employées. Les héros eux aussi sont différents. Ce sont des adultes bien installés dans la vie et qui couchent (oui oui j'ai bien dit sexe^^) et non pas les éternels adolescents qui découvrent leurs premiers émois sentimentaux. Nous avons là un roman adressé à un lectorat de + 15 ans.

A mi-chemin entre la chick-lit et la bit-lit, c'est un roman un peu à part. le ton est léger, les personnages, que ce soient les voisins de Meena, vampires vieillissants et aristocratiques, sa copine enceinte et bavarde, son frère chômeur qui est limite niais, ou même son chien appelé Jack Bauer, ils sont tous décrits avec une bonne dose d'humour à laquelle tout le monde n'adhèrera sûrement pas. Cet humour un peu lourdaud ajouté à quelques scènes cocasses de combat avec les vampires nous donne un mélange qui est parfois à la limite du grotesque. Mais ce style permet d'alléger un peu le rythme qui traîne parfois en longueur et cela tout au long de presque 600 pages ! Evidemment on n'échappe pas non plus aux clichés habituels du genre : Lui, vampire beau ténébreux, riche et Elle, la belle, subjuguée dès le premier regard mais j'avoue que certains passages entre Lucien et Meena sont particulièrement croustillants
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Avant de vous parler du livre, il faut que je vous parle de l'auteur. Meg Cabot est l'écrivaine préférée de toute mon adolescence. Elle fait partie de ceux qui m'ont donné envie de lire. J'ai dévoré des livres un à un, et l'avantage étant qu'elle en a écrit beaucoup, j'ai toujours eu de quoi lire.
En pleine "petite panne de lecture", j'ai décidé s relire Insatiable, un livre que j'avais lu il y a assez longtemps pour avoir oublié un grand nombre de détails, mais étant une valeur sûre car Meg Cabot.

Insatiable raconte l'histoire de Meena, qui écrit des dialogues pour une émission télé qui dure depuis une vingtaine d'année. Jusqu'au jour où des boss veulent rajouter des vampire dans le senario, ses montres que Meena déteste par dessus tout et qui sont omniprésents dans tous les livres, séries, etc (c'est un peu ironique).
Elle mène sa petite vie tranquillement, vivant avec son chien et son frère au chômage, bavardant avec sa voisine dans l'ascenseur, rêvant que sa rivale au boulot disparaisse, essayant de vivre avec un don qu'elle voit comme un malheur et qui lui permet de voir comment les gens vont mourir...
Jusqu'au jour où elle rencontre Lucien, le Prince des Vampires.

J'ai bien aimé Meena, qui est une femme que j'ai trouvé vraiment courageuse et qui a un grand coeur. Elle cherche toujours la meilleure des solutions pour tout le monde et croit qu'il y a du bon même dans les ténèbres. Même si les romans de Meg Cabot et ses personnages sont bourrés de clichés, j'ai trouvé que le personnage de Meena s'en eloignait un peu car ce n'est pas le gène de demoiselle en détresse maladroite qui n'aspire qu'à être sauver.
Lucien, lui par contre, est vraiment cliché et il Na pas su me séduire particulièrement. Mais il est quand même mignon dans le genre sombre. Je lui ai préféré Alaric, un chasseur de vampire macho mais qui m'a fait beaucoup rire (même si je lui aurais sûrement donné un ou deux coups si je l'avais vu en vrai car il est unsuportable). le frère de Meena m'a également fait rire car il est vraiment à l'ouest parfois et pas très doué.

J'aime beaucoup l'écriture de l'auteur, qui est légère et marrante, pas dans le genre fou-rire, mais dans un sens plus calme, plus sumpatique. La trame de l'histoire ma rappelle Queen Betsy que j'avais aussi adoré mais qui est plus marrant car plus cliché. Il y a également plein d'action surtout à la fin. Certain des romans sont plus ado alors que celui là est plus adulte.

J'ai déjà entamé la suite !
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J'avoue qu'au premier abord j'étais peu convaincue par ce livre : Meg Cabot qui se met aux vampires... j'étais sceptique... et bien j'avoue avoir été agréablement surprise. Ce premier tome est génialissime.
Le début du livre est quelque peu déstructuré: les chapitres sont très courts ce qui coupe l'action et complique la présentation des personnages.
En revanche l'écriture est honnête et juste. Les noms de personnages ne sont pas très originaux : Lucien me rapelle Lucius dans " Comment se débarrasser d'un vampire amoureux" de Beth Fantaskey. Meena Harper me fait penser à Mina Harker dans "Dracula" de Bram Stocker et Alaric, le chasseur de vampire me fait penser à Alaric Saltzman dans "Le journal d'un vampire" ...
A part ça j'ai franchement adoré. Il est facile à lire. Meena est un personnage avec du caractère et l'histoire d'amour a du mordant pour une fois !!!
J'ai envie de lire la suite à sang pour sang !

Très bon livre de Meg Cabot,célèbre écrivaine américaine.
Ce livre mêle l'univers de la télé et les vampires.
Je le conseille au ado .:-)

J'ai bien aimé ce livre :) Les personnages m'ont plu, l'intrigue également... Seul chose que je regrette : je n'ai pas reconnue la plume de Meg Cabot. Avec cette auteure, je m'attendais à un roman écrit à la première personne, léger, fin. Or, ici, l'atmosphère est lourde dès le départ, et c'est écrit à la troisième personne. Ce dernier point m'a gênée, surtout que ça n'apportait rien de plus à l'histoire. Bref, bien, mais sans plus. :$

J'ai attaqué ce livre en me disant : "oh non, encore un truc sur les vampires..."
Ben oui, c'est sur les vampires, mais que c'est drôle ! Parce que l'héroïne déteste les vampires, n'en peut plus des vampires, et surtout est une adulte et non une adolescente, ce qui donne un peu plus de maturité à l'ensemble.

L'abondance de Omondieu et de Merdalors m'a quelque peu tapé sur le système en avançant dans le livre, mais c'était pour la bonne cause...

Parce que oui, il y a de la romance, romance pour adultes, hein, je ne parle pas de chastes câlins, et en plus il y a de l'action.


Et, ô joie, la fin n'est absolument pas prévisible ! Me donne envie de lire la suite, tiens...

J'avais très envie de découvrir ce roman, le premier pour moi de cet auteur. Malheureusement, je n'ai pas beaucoup aimé comme ce fut le cas pour d'autres, je me suis ennuyée et j'ai du me faire violence pour le terminer.



Le ton est léger et le style agréable à lire, mais je n'ai pas accroché plus que ça. Je ne me suis pas attachée à l'héroïne. Ni à son frère avec qui elle vit. Ni à ce pseudo prince des ténèbres, qui m'a laissée de marbre. Je l'ai trouvé trop froid, trop hautain, trop distant pour que j'éprouve quoi que ce soit pour lui.

D'ailleurs, j'avoue que j'ai du mal quand un homme et une femme continuent de se vouvoyer après avoir passé la nuit ensemble. le ton employé entre eux m'a dérangé et ne m'a pas du tout aidé à me sentir proche. Au contraire. J'ai trouvé que tout ça était peu crédible, trop loufoque, voire caricatural, et parfois même ridicule.



Je dois tout de même bien reconnaitre qu'il y a de bonnes choses dans ce roman, sinon il ne serait pas si populaire, et je suis certaine qu'il plaira encore à beaucoup. Peut-être le côté chick-lit est-il trop présent, n'étant pas une grande lectrice de ce genre.

J'ai aimé le don de Meena, qui même s'il n'est pas inédit, n'est tout de même pas banal. Et j'ai plus apprécié les moments où elle se sert de ce don et tente de sauver les gens que le reste. Malheureusement, ça passe un peu au second plan.



Il est rare que je n'accroche pas à une lecture que j'ai choisie, mais là, vraiment, je n'ai pas du tout adhéré. J'ai trouvé ça trop creux, trop long (les dialogues sont coupés par des réflexions interminables de l'héroïne), et je ne lirai pas la suite.



En bref, je suis passée complètement à côté de cette lecture, qui n'a eu aucun effet sur moi, si ce n'est cet impression de longueur presque insupportable, alors qu'il a tant de succès ! Comme quoi, ça ne marche pas à tous les coups, et je vous invite tout de même à vous faire votre propre opinion :)
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Meena a un lien étroit avec la mort : elle est capable de savoir où, quand, comment une personne va mourir. Elle travaille pour un soap télévisé pour qui elle rédige les dialogues des divers protagonistes. Aussi, quand la direction décide d'intégrer des vampires dans l'intrigue, Meena est consternée : qu'est-ce qui attirent autant le public dans ces êtres surnaturels ? En parallèle, quelqu'un est en train de tuer des filles à New York en laissant leurs corps vidés de leur sang au vu de tous. C'est contre les règles des vampires. Lucien, le Prince des Ténèbres, décide de se rendre à New York pour enquêter. Il rencontre Meena, notre héroïne, tard dans la nuit et la sauve d'un essaim de chauves-souris. Meena conclut que Lucien est différent des autres hommes. Voilà comment elle se retrouve au centre d'un conflit vampirique malgré elle.
Dans l'ensemble, ce fut une bonne lecture. Sur certains points, l'histoire était un peu prévisible. Et sur d'autres, les références diverses et variées sont nombreuses tout au long du récit : à commencer par l'ouvrage de Bram Stoker avec le nom des personnages : Meena et Jon... L'histoire est un peu lente à démarrer, l'intrigue se posant doucement sur les cents premières pages, pour ensuite se lire facilement. On découvre le récit sous le regard de différents personnages et pas seulement sous celui de Meena. Une fois que je suis entrée dans le roman, je n'ai pu m'empêcher de souligner toutes les références à d'autres histoires de vampires pour deviner quel livre ou série l'auteure prenait en grippe. Je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire, mais pourquoi pas ? L'écriture est déliée, ce qui permet d'aborder l'ouvrage de façon amusante et frivole. Meg Cabot revisite agréablement les vampires plus pour nous faire rire que pour nous proposer quelque chose d'originale, avec son lot de rebondissements, d'actions et de coeurs en émoi.
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Insatiable, c'est le nom d'un soap opéra sur lequel travaille Meena comme dialoguiste. Seulement voilà, la mode est aux vampires et on lui demande d'introduire ceux-ci dans sa série. Mais Meena en a marre des vampires, marre de cette mode qui porte au nue des personnes mortes. Et la mort elle connait bien puisqu'elle est incapable de croiser quelqu'un sans connaitre aussitôt le moment de sa mort et dans quelles circonstances. Alors son but c'est d'aider comme elle peut les gens par de petits conseils et des cartes de visites distribuées après quelques mots.
L'autre souci de Meena c'est que dans sa ville des femmes sont tuées, abandonnées exsangues et mordues. Ah, oui et puis ses voisins sont collants. Tellement collants qu'ils veulent la caser à tout prix, notamment avec un certain Lucien Dracula, Fils de l'illustre Vlad Tèples, le Dracula historique. Celui-ci étant de passage à New York pour trouver le responsable des meurtres qui attirent un peu trop l'attention sur leur communauté alors que la consigne est de faire profil bas.
Voilà que dans cette affaire qui n'est déjà pas simple, vient débarquer tel Conan le Barbare armé de sa grande épée, un paladin de la garde secrète du Pape dont la mission est de débarrasser le monde des sangsues à deux pattes.
Humour, d'abord dans cet histoire mais aussi une intrigue bien fournie, de la romance, un vampire bien vampire qui ne cherche qu'à transformer celle qu'il aime par tous les moyen, Meena amoureuse mais qui n'est pas prête à abandonner son humanité, société secrète, méchants vampires (c'est-à-dire des vampires avec un fond sadique et dominateur, bref des vampires !), vampires modérés, et guerre entre les deux clans, le tout sur un fond historique exploitant la légende de Vlad Dracul, Bram Stoker et… Jeanne d'Arc ! Agréable à lire avec un vrai suspense. A suivre