Nous suivons Lucia, une jeune femme qui adore avoir de nouvelles passion, mais qui les abandonnes tout aussi rapidement qu'elle les commences. Elle prend l'envie d'écrire un roman et donc s'achète une machine à écrire pour apprendre la Dactylographie. Ce qui va l'aidé pour les affaires de son père et surtout quand sa mère va ce remarié à un homme des plus ignoble. Elle va donc être forcé de fuir, ce qui va lui permettre de rencontré Ralph.
Le truc chiant, c'est qu'ils tombent tout deux amoureux au premier regard. Même si on est prévenu qu'il y a de forte chance que ça ce passe ainsi, c'est chiant. Mais bon quand on lit du Cartland, il faut s'attendre à ce genre de scénario. Il y a une chose que j'ai trouvé dommage, c'est que la relation est un peu courte pour une fois. Tout ce passe en trois jours quand ils ce rencontre. C'est pour dire qu'il y a pas beaucoup d'échange.
Du coté des personnages, je n'ai rien à dire, les deux son parfait. Seul la mère et le beau père sont ignoble. La mère, grande gamine, ne pense qu'à elle et dépense des cents et des milles dans des vêtements et bijoux. Surtout elle ce remarie moins d'un 1 après la mort de son mari, chose impensable à l'époque. Son beau père lui est celui qui à « causé » la mort du père de Lucia. de plus c'est un homme avare, cruel et imbu de lui même. A tel point qu'il va la vendre à un homme vieux et violent.
En conclusion : encore une bonne lecture. L'auteure est vraiment parfaite pour passé un bon moment. Les personnages sont agréable et Lucia vraiment attachante. Petit plus, l'histoire ce passe au début du 20éme siècle ce qui fait qu'on à le début des voitures, de l'eau courante et de l'électricité.
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Peut-être n'était-elle qu'une simulatrice, une mendiante qui avait inventé une histoire parfaite pour soutirer de l'argent aux hommes.
Peut-être, comme d'autres mendiants, n'était-elle qu'un objet de séduction, l'actrice qui jouait le rôle, mis au point par d'autres, de la pathétique jeune fille essayant de sauver son père de la mort.
Ne... ne m'en veuillez pas, mais vous donnez l'impression que rien ni personne ne vous résiste, et que le monde doit être à vos pieds. Ce doit donc être difficile, pour vous d'être... comme les autres hommes... jamais satisfaits... toujours à essayer d'atteindre ce qui est... hors de leur portée...
A quoi bon se leurrer? Les artistes, même les plus célèbres et les plus admirés, n'étaient pas acceptés dans son « monde » comme les égaux de ceux qui leur commandaient et leur payaient des tableaux.
Les peintres, même les plus grands, vendaient leur travail et acceptaient de l'argent en échange.
Les vieilles familles se battaient pour survivre et n'avaient que peu d'argent à dépenser pour les plaisirs et les fêtes extravagantes qui faisaient partie de leur patrimoine historique. L'arrivée d'un riche aristocrate anglais apparut donc aux Vénitiens comme un véritable cadeau des dieux.
Si vous ne voulez plus de moi, tout Venise en fera des gorges chaudes. Je ne veux pas devenir la risée de la ville! Vous allez payer, milord, oui, vous allez payer pour ce que vous avez fait à une femme qui vous avait donné son cœur!