Balzac ne sut que dire. Marie était sans doute en plein délire. Mais comment Balzac pouvait-il la convaincre de quelque chose dont lui-même n’était pas certain ?
— Il m’appelle tout le temps, dit encore Marie. Il appelle, je l’entends respirer et il raccroche. Je sais que c’est lui. Il est vivant. Il n’en a pas fini avec moi.
— Ce ne sont sans doute que des appels téléphoniques obscènes ou des farces, dit-il en feignant le calme. Mais j... >Voir plus