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4,39

sur 1850 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je suis le fils de Willow , j'ai 12 ans , je viens malheureusement de finir « MAX ». Max est un très bon livre qui en satisfera plus d'un. Âme sensible s'abstenir ! Max est un allemand né dans un « heim »  (hôpital allemand) le 20/04/1936 ( date d'anniversaire du Führer Hitler). Il sera baptisé par le directeur du heim « MAX » puis sera considéré comme ARYEN , puis rebaptisé par le Führer en personne KONRAD VON KEBNERSEL .
Il nou raconte son histoire pendant 10 ans à peu près.
J'ai été surpris par la puissance des mots des nazis quand ils évoquent le terme race.
Comment peut-on traiter certaines personnes comme ça en fonction de leurs religions?? Pourquoi tant de haine envers les autres ??
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Est-ce qu'il vous est déjà venu à l'esprit qu'on pouvait raconter le nazisme, la Shoah et la Seconde Guerre mondiale à travers les yeux d'un enfant qui a grandi avec les discours d'Hitler – convaincu de leur véracité ?
Moi non. Mais c'est pour ça que je n'écris pas de livre.

En réalité, Max n'est pas le nom du protagoniste. Il se nomme Konrad von Kebnerson. Max n'est le nom d'aucun des personnages de ce roman. Max, c'est le prénom que la mère du narrateur souhaitait lui donner. Malheureusement, elle a signé pour faire partie du programme Lebensborn, qui consistait à faire naître autant de bébés aryens que possible. Ses enfants appartiennent au Reich, elle n'a aucun droit sur eux. Très vite, d'ailleurs, elle est séparée de son fils.
Et le petit Konrad grandit sans mère, sans amour et sans chaleur. Mais peu lui importe ! Konrad est persuadé de ne pas être un nourrisson comme les autres. Il n'a pas besoin d'amour pour grandir puisque – comprenez – il est le premier représentant d'une race supérieure. Sa volonté est d'acier, son corps est sans défaut : il sera un parfait petit soldat, l'Aryen au sens le plus strict – fierté de l'humanité. Il a donc une crainte terrible de voir ses yeux et ses cheveux se foncer avec l'âge, que son crâne dolichocéphale s'arrondisse et que ses sens de guerrier ne soient pas assez aiguisés. Il n'est jamais trop tôt pour s'entrainer, alors hop ! À quelques mois, le voilà à faire le cochon-pendu sur les barreaux de son lit, et quatre-cinq ans plus tard, il remplit des missions pour le Reich (ouais, ouais), se fait passer pour un petit Polonais pour recruter des enfants blonds, dénonce des mères de famille pour sa patrie… En d'autres termes : le petit Konrad est l'Enfant du Führer.

Ce livre est choquant et dérangeant. Pas seulement parce qu'il parle du nazisme en des termes élogieux, mais parce que c'est un BÉBÉ qui en parle avec une voix d'adulte. Konrad-Max n'a pas peur d'utiliser des mots vulgaires, ni de parler de sexe, ni même de songer à la guerre avec grande impatience. Les chants patriotiques l'exaltent, son antisémitisme est sans fond, ses idées préconçues sont plus fausses les unes que les autres – mais elles servent d'excuse à sa vision du monde. Sa pensée est complètement formatée par les discours politiques.
Et ses actes sont encore plus terribles : il est parfaitement conscient de ce qu'il fait quand il envoie des parents à Auschwitz, mais c'est « pour le bien de l'humanité. » Car on lui a appris, à ce petit, qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Alors s'il faut tuer quelques millions de personnes pour purifier l'humanité… pourquoi pas ?

En grandissant, en agissant, en observant, en rencontrant d'autres garçons, Max va apprendre à réfléchir un peu plus comme un enfant de son âge. Parce que la mémoire est très faillible à cet âge-là, les mots d'Hitler qu'il a entendu dans le ventre de sa mère lui sortent de la tête et sa façon de voir le monde évolue. La réalité finit par le rattraper et il est contraint de constater que les choses ne sont pas si simples que le déclare le Führer. Il n'y a pas de noir, il n'y a pas de blanc. Pas de bon ou de mauvais peuple. Il n'y a que des nuances de gris – même les Juifs peuvent parfaitement correspondre aux critères de sélection des aryens.

Il ne se passe pas grand-chose dans ce roman – surtout dans les deux premières parties. Et pourtant c'était passionnant ! Voire même bouleversant. Je n'ai littéralement pas pu le lâcher avant d'avoir tourné la dernière page – Dieu sait que ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé ! Max-Konrad a une façon de raconter les choses (une vision cynique et mordante) qui ne m'a pas laissée indifférente. On s'attache à ce petit protagoniste, même s'il prouve à plusieurs reprises qu'il est une véritable ordure. Ou peut-être à cause de ça. Parce qu'il a beau se cuirasser et prétendre que l'amour est une faiblesse, parce qu'il a beau provoquer la mort de centaines de personnes (et j'exagère à peine !), il reste un enfant en mal d'affection.
Je regrette seulement que les êtres qui l'entourent soient à la fois proches de nous et distants, dans le sens où on s'attache rapidement à eux mais on est conscients qu'ils peuvent disparaître très rapidement. Max-Konrad vit dans une gangue de solitude dans laquelle il se complait, ne s'attache à personne (à une exception près, mais je ne vous en dit pas plus) et ne regrette pas les êtres qu'il perd.

C'est un livre très déstabilisant qui m'a laissée songeuse quand je l'ai refermé.
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Basé sur des faits historiques ce roman nous raconte l'histoire de Max premier représentant de la race aryenne du programme Lebensborn ?visant à développer l'eugénisme nazi .
Sarah Cohen-Scali nous offre ici un récit richement documenté, un roman bouleversant et passionnant que l'on peine à lâcher. Une belle réussite qui accroche le lecteur de bout en bout Une belle découverte dans la catégorie jeunesse
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C'est un livre qui m'a beaucoup gênée, pendant au moins toute la première partie. Je n'avais jamais rien lu de tel.
Le roman, écrit à la première personne, nous place dans la peau d'un enfant (au départ un foetus) issu du programme Lebensborn imaginé par Himmler. L'enfant à naître est déjà pleinement embrigadé dans le mouvement hitlérien, fait la compétition pour être le plus beau, le plus fort, le plus aryen des bébés du programme. En tant que "bébé baptisé par le Führer lui-même", il aura droit à une vie toute particulière : pas d'adoption, statut spécial au Lebensborn, enlèvement des enfants polonais pour le compte des allemands, scolarisé dans une Napola de prestige... le parfait parcours de l'enfant aryen modèle.
Jusqu'au jour où, à Kalish, il aperçoit un jeune garçon qui passe le teste de sélection pour l'entrée à l'école. Notre héros, Konrad (ou Max) est immédiatement fasciné par Lukas, un polonais juif. A partir de cette "rencontre", la tendance du livre commence tout doucement à s'inverser. Konrad découvre une autre manière de voir les choses que celle du Führer.

Les pensées et propos du jeune Konrad sont très dures au début du livre, choquantes. Il m'a semblé très difficile de m'habituer à tout ça, d'autant plus que ce passage est vraiment très long, et conséquent.
Néanmoins, ce livre est remarquable par son originalité.
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Livre lu grâce à Libfly dans le cadre de l'opération Prix Sorcières 2013.

« Max », le narrateur de cette histoire, est né le 20 avril 1936 et il en est fier car c'est aussi le jour de la naissance du führer, son idole. Il est le premier enfant du programme « Lebensborn » à voir le jour. Il s'agit d'un vaste projet visant à repeupler l'Allemagne, une fois la guerre terminée, d'une race noble et pure, à l'image des aryens. Pour cela, certains critères physionomiques sont minutieusement vérifiés, tel que la blondeur du cheveu, la symétrie du visage et la proportion du corps. Et gare au risque d'être « désinfecté » (c'est-à-dire « tué » en langage codé), pour ceux qui ne correspondraient pas à la « norme ». Heureusement pour lui, Max réussit le test haut la main, et c'est avec une certaine assurance qu'il commence sa vie de futur petit soldat. Sa route semble toute tracée dans ce monde complètement endoctriné et ultra contrôlé, où la délation est récompensée, tandis que les opposants au parti sont sévèrement punis…

De mascotte du centre de naissances, baptisé par Hitler en personne, le jeune garçon, à 5 ans deviendra le complice des « Braune schwester » (les « soeurs brunes ») dans l'enlèvement de jeunes polonais correspondants aux critères de la race aryenne, avant d'intégrer à 6 ans Kalish, l'école où sont réunis les enfants volés, puis la prestigieuse Napola de Potsdam, où il sera formé pour devenir un nazi exemplaire… Cependant certaines rencontres vont profondément ébranler les certitudes et les convictions du jeune garçon…

Dans ce roman adolescent passionnant mais extrêmement dur, Sarah Cohen-Scali, dans une langue déliée et agréable à lire, nous montre le nazisme vu de l'intérieur, à travers les yeux d'un enfant naïf et crédule qui ne connait du monde que ce qu'on lui en a montré et ce qu'il en a entendu à la radio… Les propos du narrateur, influencé par la propagande, choquent par leur violence et leur radicalité et sont le fruit d'un endoctrinement opérant sur toute une nation. La haine et la colère de Max, contrastent avec une certaine candeur, une innocence propre à sa jeunesse et offrent un portrait contrasté du jeune garçon, qui lutte pour préserver ses seuls repères, tout en s'éveillant à une autre réalité, bien différente de celle qu'il connait… On le suit de sa naissance jusqu'à ses neuf ans, quand arrive la fin de la guerre, ce qui permet d'en apprendre plus sur les différentes étapes de son « apprentissage », lié au programme « Lebensborn » dont, personnellement, je ne savais presque rien. Un livre extrêmement documenté, qui présente donc un fort intérêt historique et qui donne à réfléchir. Un récit dont on ne ressort pas indemne tant il bouleverse et secoue son lecteur ! Malgré un sujet difficile, c'est donc un roman que je recommande vivement, tant il est intelligent dans sa construction et dans le traitement de son propos.

Un gros merci à Libfly et aux éditions Gallimard pour cette découverte !
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En bref :
Lecture éprouvante pour un jeunesse, j'ai adoré autant que détesté, et pour cause...

Quel est l'intrigue ?
Nous suivons Max, enfant du Reich. Son géniteur est un S.S, sa génitrice est une Allemande. Nait sans amour, Max est destiné à devenir un dirigeant du Reich. Il est le premier prototype parfait du programme Lebensborn créé par Himmler.

Ma chronique :
J'ai lu énormément d'historique, mais étrangement c'est mon premier sur les Lebensborn. Ces enfants "créés" dans le seul but de contenter Hitler et toute sa clique, donc nés pour être le nazi parfait du futur.

Nous suivons Max dès le ventre maternel. Nous suivons sa conscience en faite. Et cette conscience qui a été bercée par le nazisme, la cruauté et la violence, ne donne pas une lecture de tout repos.

Max est dès le berceau formaté pour adulé Hitler "son père" et servir l'Allemagne "sa mère patrie". L'enfant ne voit pas le mal dans certaines cruautés, n'assimile pas les drames. Forcément, il grandit en pensant que cette cause est juste et noble, que le Juif n'est autre que le démon incarné,...

Ici nous ne suivons pas les camps de concentration. C'est avant tout un roman basé sur les enfants. Allemand, polonais, juifs,... Nous suivons ces enfants endoctrinés, enlevés aussi pour certains, qui n'ont d'autres choix que de faire ce qu'on leur demande pour survivre. Rien n'est beau, rien n'est enjolivé. C'est dur et brut, à l'image de ce que la guerre a été et de ce que ces enfants ont vécu.

J'ai plusieurs fois du reprendre mon souffle pendant ma lecture. Et lire un autre roman en parallèle a été mon salut. Ca bouscule, ça émeut et ça prend aux tripes, vraiment.

Un roman nécessaire, indéniablement, pour que plus jamais les enfants ne servent de missiles, pour que jamais nous n'oublions ce que des hommes ont pu faire au nom du racisme et de l'antisémitisme.
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Max, écrit par Sarah Cohen-Scali, est un roman historique qui prend place durant la seconde guerre mondiale en Allemagne . Dans ce roman, nous suivont Konrad alias Max, un enfant issu des Lebensborns, un projet visant à créer des êtres de race pure selon les nazis , , c'est un enfant endoctriné par l'idéologie nazie depuis sa naissance. Il est le narrateur de l'histoire. L'histoire est captivante , Max est complètement adepte de l'idéologie nazie, il tient des propos très déplacé mais on arrive quand méme à l'apprécier on ressent de la compassion pour cette enfant, n'ayant jamais eu l'occasion d'avoir sa propre manière de penser. J'ai adoré lire ce livre, car j'ai trouvé l'histoire instructive . On ressent le travail de recherche de la part de Sarah Cohen-Scali. C'était une très bonne idée d'écrire du point de vue allemand , cela démontre bien le fait que les allemands aussi ont beaucoup souffert durant cette période d'horreur.
La fin du livre m'a coupé le souffle , j'ai du prendre une pause et réflechir.
Ce livre bien écrit est à ne pas rater !
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Un roman fictif qui relate des faits historiques peu abordés en cours. Un excellent roman.

J'ai été agréablement surprise par le contenu historiques de ce roman. J'ai aimé être plongé du côté des Allemands et plus précisément du point de vue d'un enfant : Max ou plutôt Konrad. Un personnage qui est à la fois détestable et effroyablement attachants. Au départ, j'ai été troublé par les propos que tenait ce personnage alors qu'il n'était encore que dans le ventre de sa mère. Cela m'a déstabilisé, malgré toutes les informations que cela apportaient, la crédibilité du personnage en prenait un coup. J'ai été à l'aise avec celui-ci qu'à partir du moment où les réflexions qu'ils se faisaient étaient en adéquation avec son âge. Mis à part cela, je n'ai été que touché par ce personnage, qui, pourtant, est l'enfant parfait du Reich.
Cependant, on ne peut que constater que son état psychologique est plus qu'instable.
Cette histoire ne manque pas aussi de rebondissements. Elle est rondement bien mené jusqu'à la dernière ligne. Ainsi, Sarah Cohen-Scali retrace toute l'histoire de la deuxième guerre mondiale. Si nous revenons à Max, j'ai omis un détail tout à l'heure, cet enfant est née grâce à un programme mis en place par le régime nazi : le lebensborn. Je ne l'avais jamais étudié à l'école et je trouve ça franchement dommage. Pourtant ce programme secret a eu une grande importance. Je suis donc déçu d'apprendre que les conditions des femmes pendant la guerre ne soient pas abordés en classe. Car, oui, lors de cette lecture, vous allez assister à des scènes chocs qui ne sont pas destinés aux plus jeunes. Certains pense même que ce roman n'a pas sa place en young-adult.
Ce livre n'est pas à prendre à la légère, l'autrice a décidé de nous montrer la vérité de la guerre jusqu'aux scènes les plus tabous. Tout cela, mêlées à un vocabulaire cru et un personnage qui prend tout cela comme si c'était normal. Donc faites attention ! Ne sous-estimez pas cette auteure.

C'est un livre qui reste dans la tête et qui donne des détails historiques incroyables.

(A noter que les dates clés y sont inscrites ainsi que les lieux, tout y est merveilleusement ou horriblement bien décrits)

Pour finir, j'ai adoré lire les notes de l'auteure. Nous pouvons ainsi apprendre de quoi elle s'est inspirée, les aspects de l'histoire qui sont inspirés d'une histoire vrais où ceux qui sont inventés…

En tout cas, grâce à cette histoire, l'auteure rend accessible une partie de notre Histoire à un large publique.

Sarah-Cohen-Scali pourrait faire l'Histoire à tous ceux qui la haïsse à cause des cours.
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Ce livre est une pépite. Je suis tellement contente d'avoir pris le temps de lire un livre dans mon style de prédilection.
J'ai plus qu'aimé l'écriture de l'auteure qui a réussi le pari de faire parler un bébé hitlérien dans son livre. Je me suis laissée embarquer du début à la fin.
Ce bébé, Max, nous entraîne dans ce monde de guerre, ce monde de nazis et vraiment, on a l'impression d'y être (je dis bien l'impression...)
Ce livre est dur mais tellement émouvant. On passe par tellement d'émotions. On a de la compassion pour ce bébé mais aussi une forme de rejet et de dégoût pour tout ce qui arrive. Mais on se dit que c'est un enfant. du coup, mon coeur a hésité jusqu'au bout.
Ce livre nous pousse à nous poser des questions. Beaucoup de questions. du genre "J'aurais fait quoi à sa place? Si j'étais née à cette période, dans ces circonstances?" La réponse est impossible à fournir car je n'y étais pas.
L'auteure aborde un sujet difficile mais elle le fait extrêmement bien. L'écriture est fluide, dure mais également émouvante. Elle nous fait passer d'un sentiment à l'autre en une poignée de secondes.
Je vous conseille ce livre fortement.

Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Une claque ! Ce roman m'a fait pleurer...
Je m'attendais à une dystopie jeunesse lorsque j'ai entendu parler de ce livre, je ne m'imaginais pas à quel point je m'étais trompée sur son contenu. J'en ai ainsi découvert plus sur les horreur de la dictature nazi que dans un de mes cours d'Histoire. Ce livre est dérangeant car il peint une vérité qu'on ne nous apprend pas. Il est clair que dès que l'on touche à la jeunesse, aux enfants, aux bébés, le sujet devient tabou. La violence permanente dans laquelle vit Konrad (Max) autant verbale que physique, puisqu'elle est même encouragée. Cet enfant né pour être conditionné dès le berceau en parfait petit nazi, utilisé pour rafler des enfants polonais et en envoyer la plupart à la mort. Je dois avouer que j'ai eu des moments où le livre était difficile à avaler. Étonnamment ça a été mieux lorsque Max à rencontré Lukas (Lucjen). Il en résulte une histoire fraternelle formidable qui va permettre à Max de se rendre compte au fur et à mesure de certaines choses par lui-même (n'oublions pas qu'il n'a que 6 ans la majeure partie du roman).
J'étais tiraillée entre la tristesse et la colère. Certains passages était un peu plus léger et heureusement car je pense que sans cela je n'aurais pas pu aller au bout de cette lecture. Pas parce que le récit n'est pas bien, mais parce que, pour moi, je le trouve vraiment très lourd à avaler. C'est quelque chose qu'il faut lire, avec beaucoup de recul mais que je suis contente d'avoir découvert.
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