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3,6

sur 851 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un récit avec du bon, une reconstruction impossible dépeinte avec des mots qui sonnent juste, et du moins bon, beaucoup de redites et des passages convenus ou qui frisent l'encéphalogramme plat — tous ceux avec le voisin notamment —.
Le dénouement donne l'impression que Sandrine Collette avait terminé son bouquin et que sa maison d'édition lui a demandé d'ajouter l'ellipse et le twist bancal, les dix dernières pages ne présentent aucun intérêt.
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Encore un roman très sombre pour cette autrice...
Clémence est sous emprise... Elle a décidé à partir... À avoir le courage de s'enfuir !
Peut-on se remettre de ce genre de traumatisme ????
Est ce qu'un jour on arrête de regarder derrière soi ?????
Il faut apprendre à se reconstruire petit à petit... Parfois on peut jute accepter la main que l'on nous tend...
On ne connaît jamais vraiment les gens... Ça c'est bien vrai....

📖Clémence a trente ans lorsque, mue par l'énergie du désespoir, elle parvient à s'extraire d'une relation toxique. Trois ans pendant lesquels elle a couru après l'amour vrai, trois ans pendant lesquels elle n'a cessé de s'éteindre.
Aujourd'hui, elle vit recluse, sans amis, sans famille, sans travail, dans une petite maison fissurée dont le jardin s'apparente à une jungle.
Comment faire pour ne pas tomber et résister minute après minute à la tentation de faire marche arrière ?
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La fuite éperdue d'une jeune femme à la suite d'une relation toxique. Clémence tente de se reconstruire. On y croit tant que l'auteur analyse les dégâts causés par l'emprise du pervers narcissique. Sandrine Colette n'a pas son pareil pour sonder au plus profond l'âme humaine, particulièrement les souffrances. On y croit moins quant aux courses imposées par le vilain Monsieur dans les forêts et on frise le grotesque quand il l'enferme dans une sorte de cercueil. Pour ma part, j'ai trouvé cousus de fil blanc les relations avec le voisin si attentif et les retrouvailles de Clémence avec sa mère. Quant à la chute, aussi surprenante soit-elle, elle apparaît peu vraisemblable. Mais voilà, il y a l'écriture de Sandrine Colette, ses phrases qui claquent, c'est plombant, c'est dur et on accroche.
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Je réalise que finalement, je suis de moins en moins fan de Sandrine Collette.
Je l'ai découverte avec "Il reste la poussière" et j'avais beaucoup aimé ce roman. Je me souviens d'une atmosphère poisseuse, oppressante...ou est ce ma mémoire qui me joue des tours ? Je ne peux pas vérifier, je publiais peu de critiques à ce moment mais j'avais mis une excellente note.
Par la suite, j'ai souvent reproché à ses romans un côté "tout much"...des ficelles un peu grosses...

Dans "Ces orages là", le sujet est parfaitement propice à une ambiance pesante...que je n'ai pas ressentie.
Ce n'est pas un roman d'action, pas de problème. Par contre, puisque c'est un drame psychologique, j'attendais bien plus. Clémence n'a pas su me toucher et je n'ai pas tremblé avec elle.

J'ai par contre rencontré la grosse ficelle...Pour ne pas spoiler, je dirai juste que l'histoire de la cliente de la boulangerie m'a laissée dubitative...

Une lecture en demi teinte donc, mais facile et rapide grâce à une écriture fluide et agréable.
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De Sandrine Collette j‘ai lu et beaucoup aimé Des noeuds d'acier, Six fourmis blanches, Et toujours les forêts et Juste après la vague.
J'avoue avoir été un peu déçue par ce cinquième titre, Ces orages-là. Chez une autrice qui a le mérite de se renouveler et de surprendre par des intrigues originales, des atmosphères oppressantes, une écriture sous tension et un suspense savamment entretenu jusqu'au dénouement, ce roman sur l'emprise psychologique et physique n'est pas parvenu à me maintenir captive comme les quatre titres précités.
Ceci dit le style est soigné, et Ces orages-là est un bon thriller psychologique que je vous invite à découvrir si comme moi vous êtes adepte du genre et de la plume de Sandrine Collette.
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Lecture en demi-teinte pour ce roman que j'ai trouvé un peu lent et monotone malgré l'écriture ciselée de Sandrine Collette. Clémence a quitté Thomas, après avoir subi la manipulation, la perversité et la toxicité de son compagnon. Arrivera-t-elle à se reconstruire après cette expérience, à sortir de l'emprise psychologique de Thomas? le récit livre peu à peu des pistes de réponse…
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Un rythme plus dynamique que d'autres récits que j'avais lu de cette auteure, m'a fait avancé assez vite. le sujet de ce thriller m'intéressait et puis à mi parcours, j'ai ressenti un ralentissement qui a fait perdre de la clarté à cette histoire. J'ai ressenti ensuite plus du sur place, ce qui a diminué l'envie de vite continuer.
Pour autant, l'écriture exprime bien la peur chevillée au corps de cette femme, on la sent comme une bête traquée qui lui ôte toute possibilité d'estime d'elle même.
La fin de cette histoire m'a laissé quelque peu mitigée, comme perdue au milieu de nulle part.
Cela fait plusieurs livres que je lis de Sandrine Colette et force est de constater que je dois passer à côté de tout ce qu'ils recèlent et expriment.
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A peine entamé, je me suis dit que ce n'était peut-être pas le genre de livres que j'avais envie de lire en cette période un peu compliquée, n'ayant pas pu apprécié le mois dernier le "Né d'aucune femme" de Franck Bouysse, deux histoires, comme "Ces orages-là", se passant dans un univers noir, pessimiste, et où les "persécutées", sont deux jeunes femmes.
Et puis, j'ai poursuivi ma lecture, et comme d'habitude avec les romans de Sandrine Collette, on se laisse prendre au jeu, en clair, à son histoire et à son style tellement caractéristique.
Ici, c'est Clémence qui fuit ce qu'elle a cru être un amour, et qui s'est vite révélé être un personnage pervers, violent et manipulateur. Sandrine Collette aurait pu tomber dans le pathos, mais non, et elle a haut la main, évité cet écueil.
Du coup j'ai eu envie d'aller au bout de cette histoire, de l'histoire de Clémence, une femme qui a décidé de se battre. Alors c'est sûr, l'auteure arrive à faire le "contrepoids" par rapport à Thomas, et présente deux de ses personnages sous un abord sympathique et altruiste, deux hommes, l'un des collègues de Clémence qui travaille dans la même boulangerie, et son voisin, un homme d'un certain âge qui a perdu son fils, vingt ans plus tôt, et qui voit peut-être en Clémence.....(je vous laisse deviner la suite).
Hormis ces deux clichés, Sandrine Collette arrive à ne pas tomber dans le déjà vu et surtout le déjà lu.
Un roman quand même un ton en dessous de tous les autres (également tous lus), peut-être parce que l'auteure nous entraîne d'habitude dans d'autres univers et d'autres mondes, alors que cette fois-ci, elle nous a tout simplement rappelé, que l'histoire qu'elle raconte, se passe peut-être à côté de chez nous...
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Sentiment mitigé au moment de refermer Ces orages-là. La qualité de l'écriture de Sandrine Colette à elle seule vaut la lecture de ce roman ; une écriture au cordeau comme indiqué dans le quatrième de couverture. En revanche j'ai eu du mal à trouver un dynamisme, un rythme dans le récit qui me donne envie de tourner les pages et découvrir la suite de l'histoire.
Après avoir dévoré Des noeuds d'acier, il est certain que je vais poursuivre ma découverte des livres de cette auteure.
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J'aime Sandrine Collette, j'aime son style et j'aime ce qu'elle écrit. Je suis loin d'avoir tout lu et celui-ci est mon troisième mais ne sera pas mon préféré.

Le style de l'auteur est là et j'ai beaucoup aimé. Même s'il n'y a pas beaucoup d'action, l'histoire de Clémence suit son cours et ses émotions, son ressenti, ce qu'elle a vécu est bien écrit et on ne peut qu'avoir de l'empathie pour ce qu'elle a subi.

Pourquoi je n'ai pas aimé ? A cause de la thématique « femme battue / relation toxique ». Je pense que c'est la première fois que je lis un roman axé essentiellement sur ça et … ce n'est pas pour moi. J'ai une toute petite part de Clémence en moi, et certains passages, certaines phrases m'ont fait « du mal » même si ce n'est pas l'intention de l'auteur ;). C'est juste un ressenti…

Bon, sinon, j'ai encore pleins d'autres livres de l'auteure qui m'attendent … en librairie 😍
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