Je n'ai rien compris, entre les flashbacks incessants, les sauts dans le temps systématiques, les personnages qui se ressemblent trop, comme la mère de Ringo et sa fiancée, c'est quand même gênant… Un histoire de passion amoureuse ponctuée de morts et de suicides, de larmes, de non dits… Un voyage initiatique en Australie en plein milieu, on se demande ce qu'il fait là. Rien à faire, je n'ai pas du tout accroché, pas d'émotions, pas de sentiments, ça m'a même par moment agacé, il me reste juste l'impression que j'aurais pu m'en passer.
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Quelque part les étoiles n'est pas un album exempt de défauts, mais c'est un album qui transporte, dépayse, trouble et, au final, apaise.
Lire la critique sur le site : BDSelection
La grande lisibilité du dessin, la mise en scène du contenu des planches, offrent une véritable fluidité de lecture, aidée en cela par une construction d’apparence simple qui rend aisés les nombreux va-et-vient à travers les époques. C’est aussi dans cet esprit qu’il faut prendre les quelques symboles graphiques volontiers forts qui ont pour fonction de donner tout leur sens à telle ou telle séquence.
Lire la critique sur le site : BDGest
Si le sujet n’est pas vraiment original, la mise en scène et un dessin qui se renforce au fil des pages – dans son pouvoir d’évocation et sa précision de rendu des émotions – font de ce livre une jolie réussite qu’on dévore d’une traite, une oeuvre cohérente de bout en bout qui parvient à allier lisibilité du propos et vraies surprises scénaristiques.
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