« C’est en 1947 que j’ai commencé à grouper les traces du pinceau toujours larges (ces lignes étant dès le début surfaces colorées) en un signe se lisant d’un coup, d’une manière abrupte. Le temps du récit, celui de la ligne que suit l’œil, ce parcours ayant une durée, était ainsi supprimé. La durée de la ligne disparue, le temps était immobile dans ces signes faits de coups de brosse sommaires et directs : le mouvement n’est plus décrit, il devient tension, mouveme... >Voir plus