Divisé en huit parties, Après les cendres peut se lire comme une chronique de deuil, tenue quatre années durant. L’auteur y interroge la disparition de la figure du père. « Écrire, c’est avoir la mort au bout de la langue. » Emprunté à Michel Schneider, cet exergue donne le la aux brefs chapitres d’un récit autobiographique fragmenté. Regard ironique et humour noir y font souvent pièce à la douleur commune : ils éclairent, subvertissent la part sombre des événements... >Voir plus