Zéro étoile car je ne sais pas . Je ne sais pas quoi dire sur ce titre. Pour la québécoise que je suis disons que c'est très très français. de la langue à l'état de l'État. Il y a de bonnes lignes qui m'ont fait rire, d'autres sourires et d'autres bof bof . Suis-je trop sensible? Peut-être ! Mais c'est disons...vulgaire quoique...C'est un portrait qui n'est pas qu'en finesse des politiques et de leur rôle. C'est acerbe comme propos, cynique ! C'est une dénonciation de l'hypocrisie étatisée mais qui m'a quelque peu laissée ...disons ...tiède.
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Roman d'une sensibilité à fleur de peau, qui questionne.
Un excellent résumé de « l'État » de la France. Difficile de se regarder en face !
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Les bons, de plus en plus entre les mains de la justice ; la justice, de plus en plus entre les mains des coupables ; les coupables, de plus en plus entre les mains de l’ignorance ; l’ignorance, de plus en plus entre nos mains à tous. Nous ne sommes que des machines à digérer l’orgie d’innocence.
La fille et moi croisions nos regards tous les jours, et cette furtive complicité nous rapprochait de plus en plus. La grâce de son sourire m’envoûtait et les expressions d’enthousiasme de son beau visage me subjuguaient. La connaissance des hommes, de la vie, et le bonheur d’exister débordaient de tous ses traits. Je plongeais dans la profondeur de ses yeux turquoise, qui inoculaient l’absurde et le mystérieux du monde.
Sommes-nous prédestinés ? Le pouvoir des morts est-il colossal ? Suis-je aux ordres d’une puissance invisible ? Ou, beaucoup mieux : je suis libre, j’ai tous les droits, je me fous de tout et j’en profite – car il existe au-dessus de la mêlée un observateur seulement aimant et donc impuissant, que l’on appelle Dieu. Qu’en dites-vous ?