La ville en ses murs c'est la petite fille des Dandekar qui nous la raconte dans la communauté juive d'Ahmedabad. Elle s'interroge sur sa religion ainsi que les autres et sur l'existence de Dieu. Elle raconte aussi sa famille et ses amis.
Dans beaucoup de romans indiens, on découvrait l'Inde surtout à travers l'hindouisme ou l'Islam. Ici, c'est à travers le judaïsme qu'on découvre une nouvelle facette de l'Inde. Ses relations avec sa mère sont assez conflictuelles.
La petite fille n'a pas de nom, on la voit évoluer à travers les années. C'est un roman assez calme, nostalgique avec un brin de tristesse. J'ai bien envie de découvrir les autres livres d'Esther David.