"Verheggen a raison de parler de la langue fourchue de ce diable de Giraud et sa pêche d’enfer : Théophile de Giraud, à qui on devait déjà un monumental « De l’impertinence de procréer » salué par André Blavier, publie avec ses « Cent Haïkus nécromantiques » un concentré de poésie dévastatrice où un maître conceptuel, syntaxique et lexical explose littéralement de talent. Une valeur d’avenir, à acheter !"
Jacques de DECKER, "Le Soir" (18 février 2005)
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