C’est l’expérience menée par Roger Deakin et transcrite avec autant d’érudition que de poésie.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Nager est donc un rite de passage, le franchissement d’une frontière : la plage jusqu’aux premières vagues, la berge de la rivière, le bord de la piscine, la surface de l’eau elle-même. Quand on y entre, il se produit comme une métamorphose. On laisse la terre derrière soi et on traverse le miroir pour pénétrer dans un nouveau monde, où le maître mot, l’objectif premier, est la survie et non plus l’ambition ou le désir.