Alors que Alix remonte vers le Nord avec ses compagnons, il va s'arrêter en Germanie récupérer son fils Titus. Ce dernier officie auprès de Tibere, qui après ses campagnes d'Illyrie, vient prêter main forte à son frère Drusus pour mater les clans germains.
Le scénario récupère des éléments historiques, les guerres germaniques sous Auguste donc, pour y incorporer les aventures d'Alix. C'est intéressant, il y a des combats et des intrigues politiques.
Concernant la quête de l'Atlantide débutée dans les tomes précédents, nous sommes en transition. Il ne se passe absolument rien. Une étape dans leur voyage vers le Nord c'est tout et Titus qui va revenir dans le groupe d'aventuriers.
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Ce tome des aventures d'Alix Senator bénéficie d'un bon scénario quant aux intrigues de palais autour de l'Empereur, tout en exploitant des évènements historiques réels que sont les démêlés des légions avec les germains.
Le dessin est toujours de qualité et c'est un plus pour cette série.
Cependant, force est de constater que cette histoire dans l'histoire ne fait pas progresser d'un iota la quête de l'Atlantide qui doit être le fil conducteur de ce cycle. C'est donc très clairement un tome de transition.
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Un tome un peu en dessous des précédents, vu comme une forme de transition sur le chemin de l'Atlantide dont on parle depuis quelques tomes mais qui n'est toujours pas atteint.
Donc Alix et son équipe passe par la Germanie pour récupérer Titus, son fils, placé auprès de Drusus, héritier d'Auguste et son frère, Tibère. Fils de la dangereuse Livie, ennemie intime d'Alix. Ils arrivent au moment où Drusus, blessé mortellement, s'éteint. Son jeune frère est sensé reprendre la tête des armées et poursuivre sa conquête des territoires germains. Sauf que le jeune homme, superstitieux, ne veut pas suivre Drusus. Ce qui ne convient pas du tout à son allié Cherusque qui devait avec l'aide des romains reconquérir ses terres.
Enlévement, complot, manipulation, bref de l'aventures alixienne. Mais un ton en dessous des précédents tomes. A noter la présence d'Arminius, fils du chef Cherusque, qu'on peut retrouver chez Marini dans "les aigles de Rome"...
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Accrocheur et parfaitement dessiné d’un trait réaliste mais chargé quand il le faut d’émotion.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Alix 42 Alix Senator 14