Cet homme politique jouant un grand rôle dans la résistance de la Yougoslavie face au nazisme, essayiste, il sera aussi président du gouvernement du Monténégro. C'est dans ce contexte que naissance les nouvelles de ce recueil, dans ce no man's land que naissent les écrits de l'auteur. Les récits réunis dans ce recueil révèlent beaucoup sur
Milovan Djilas, de fidèle compagnon de Tito il en devient l'opposant le plus terrible, on en apprend beaucoup sur la guerre, sur le communisme et toute une époque révolue mais je n'ai pas apprécié le style de l'auteur. J'ai trouvé les nouvelles lentes au possible, surtout le lépreux qui commence le livre, La guerre bien plus courte est aussi celle qui m'a le plus intéressée par son côté plus poétique et plus réaliste. le Lépreux comme dans L'étrangère, on en apprend plus sur le pays, sur les coutumes mais il y avait trop de longueurs, ce qui est un comble pour une nouvelle, et l'écriture ne m'a pas plu.
Je passe mon tour mais quand même content d'avoir appris de nouveaux mots, de nouvelles coutumes et d'avoir validé un pays pas si facile que ça, le Monténégro.