"Je n’ai que deux mains et le sentiment du monde », c’est ainsi que commence le très beau poème de Carlos Drummond de Andrade, celui qui est resté, comme le dit Max
de Carvalho, l’un des sommets de la littérature brésilienne.
Poète populaire, son œuvre poétique est teintée d’une ironie savoureuse, d’un pessimisme acerbe et des scènes du quotidien qui font de chaque texte de véri-tables « portraits existentiels », souvent lus ou chantés en public. >Voir plus