Nymphéas noirs (BD)

Nymphéas noirs, excellent polar de Michel Bussi et maintenant voici son interprétation en roman graphique.
J'ai A-DO-RE !
Le scénariste et le dessinateur ont vraiment sur reprendre l'intrigue du roman d'origine et même la sublimer ! Les illustrations au service de l'histoire...
Les rues de Giverny, les décors, l'ambiance, les personnages, tels qu'on les avaient imaginé...
C'est là toute la force de cette interprétation... Une réussite !

Une très belle interprétation du livre titre. Avec en plus un dessin somptueux et parfaitement raccord. Après avoir lu le livre j'avoue avoir préféré la BD. Qui nous égare et nous transporte plus facilement. Un régal de scénario doublé d'aquarelles parfaitement dans le ton.

Redécouverte du chef-d'oeuvre de Bussi. J'avais adoré le roman, et l'histoire était toujours en tête lorsque j'ai découvert cette adaptation BD. le plaisir en fut tout à fait renouvelé, bien que connaissant l'intrigue et le dénouement, plusieurs détails du scénario m'étaient sortis de la tête.
Ici, nous redécouvrons l'histoire en images, et d'une très belle façon. le dessin et particulièrement la mise en couleur servent l'ensemble. Une franche réussite !

Nous sommes à Giverny, le village musée de Monet, un crime à eu lieu...

Ça démarre comme un très bon Agatha Christie ou un conte un peu sombre, machiavélique... Les premières pages sont très entraînantes. Je n'ai plus eu envie de lâcher le livre ensuite, pour vérifier mes intuitions et connaître la suite de l'histoire.

Impossible de parler de l'histoire sans révéler quelque chose, donc je ne peux que recommander cet excellent roman graphique déniché dans les rayonnages de la médiathèque de Saint Gilles Croix de Vie.

Le dessin est d'ailleurs aussi emballant que l'ouvrage.

Nous avons là un très bel album adapté du roman de Michel Bussi, et ce à tous les points de vue.
Les graphismes sont splendides, alternant les planches aux couleurs des nymphéas de Monet avec d'autres beaucoup plus sombres en fonction des situations et des événements. Ce contraste saisissant est un vrai plaisir pour les yeux.
Quant à l'intrigue, malgré toute sa complexité, elle retrace remarquablement bien celle du roman. Tout pareil, le lecteur se sent perdu, s'emmêle les pinceaux (ha ha) à cause de toutes ces apparences trompeuses. J'ai pris plaisir à (re)découvrir cette finale haute en couleur, et ce dans les deux sens du terme.
Cette variation des Nymphéas noirs de Michel Bussi est une pure réussite. J'en suis totalement séduite, c'est un très joli coup de coeur.

Je n'ai pas eu l'occasion de lire le roman avant la bande dessinée mais je compte bien le lire. J'ai dévoré cet album, captivée du début à la fin, je n'ai pu le lâcher avant d'avoir tirer toute l'histoire au clair. Les dessins sont beaux et permettent de bien s'imprégner de l'ambiance. Dès les premières pages et la présentation de ces trois personnages féminins, j'ai pressenti le fin mot de l'histoire. Mais je l'ai vite oublié en me laissant porter par la bande dessinée. J'ai hâte de lire le roman pour savoir si l'intrigue est amenée de la même façon.

Au coeur de Giverny vivent 3 femmes qui veulent être libres « La première était méchante, la deuxième était menteuse et la troisième était égoïste… » Cela commence comme un conte, mais c'est bien dans un tableau que nous sommes. Au-delà de Giverny, on se balade dans les toiles magnifiques de Monet. Néanmoins, les couleurs pastels laissent place au rouge sang. Des crimes parsèment la vie de ces femmes, mais que s'est-il réellement passé ?

Bussi nous balade d'indices en faux-semblants dans une intrigue très réussie. Je n'ai pas lu le roman donc je ne peux pas comparer en terme de fidélité. L'enquête est plaisante, on ne voit pas les twists venir et il y a un petit côté retro qui n'était pas pour me déplaire.

Enfin, la réussite de cet album tient énormément à l'univers du peintre Monet, et surtout de ses nymphéas. le dessinateur rend parfaitement hommage au talent du maitre de l'impressionnisme dans des cases qu'on a envie d'explorer encore et encore. J'avais lu cet album durant les confinements et cela m'avait furieusement donné envie de pousser les portes d'un musée pour prolonger le plaisir de cette lecture…

Un joli coup de coeur !
Lien : https://ninaalu.wordpress.co..

Je n'ai pas lu le roman, donc pas de comparaison possible entre la bédé et l'écrit. le dessin classique coule les visages féminins et masculins dans un moule identique pour chaque sexe. L'intérêt réside dans les paysages impressionnistes finement mis en couleurs. J'ai particulièrement apprécié le voyage à Rouen, le présent se superposant à un passé en filigrane simili lavis. L'ambiance de Giverny est bien décrite, village voué au grand Monet sur lequel j'ai appris des choses méconnues. Bref, j'ai passé un bon moment et n'aurait pas commis ce petit texte assez terne, je trouve, si je n'avais pas été le centième à livrer mes impressions sur un ouvrage de bonne facture, qui m'a laissé sur ma faim, j'ignore pourquoi.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..

Avec cette BD, Fred Duval et Didier Cassegrain livre l'adaptation en image parfaite du roman de Michel Bussi qui raconte une enquête policière intéressante dans la petite ville normande de Giverny, connu pour ses jardins et pour les toiles de Monnet.

Quand j'ai lu cette BD, je n'avais jamais lu le roman et j'ai donc pu être surpris, même si j'avais compris le truc un long moment avant la révélation, cela n'a pas gaché l'impact de la chute.

J'avais entendu parler en très bien ce cette oeuvre et je dois dire que j'ai été plus que satisfait de cette lecture que je ne peux que recommander à tous.

Je n'aurais jamais cru qu'il soit possible d'adapter le roman de Michel Bussi (que j'avais adoré) en BD. Et pourtant, le résultat est là, quelle réussite !
Les auteurs ont utilisé des subterfuges absolument géniaux pour nous plonger dans cette enquête policière, sans trahir ni le suspense, ni l'esprit du roman.
Les personnages sont conformes à l'idée que je m'étais fait d'eux. Idem pour les paysages de Giverny. Mention spéciale pour les scènes dans les rues de Rouen, quelle intelligence !
J'ai redécouvert cette histoire, de bien belle manière.
Bravo !!