Bravo à toi Marlene je te souhaite tout le succès que tu mérites largement
Une idée de lecture ?
Alors n attendez pas perdez vous entre ses lignes pour votre plus grand bonheur....
Quelle plume, quelle richesse quelle diversité et quelle sensibilité!!!.
200 pages de textes émouvants.
Un joli cadeau de à lire par ces temps de vacances.
Sous les presses et disponible semaine prochaine. Un vrai bonheur que de vous le proposer ce soir ou demain par le site des Editions Les Plumes d'Ocris. Marlène s'est surpassée pour nous offrir 200 pages de textes plus émouvants les uns que les autres. J'espère vraiment qu'il recevra sur facebook l'accueil mérité.
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j'attendais la sortie de ce deuxième recueil de l'auteur avec impatience. j'en termine la lecture toujours impressionnée par la douceur de son écriture en poésie libre, la richesse de ses formules, et la beauté des émotions qu'elle y délivre. le titre est particulièrement bien choisi puisque de très nombreux textes évoquent la disparition d'un enfant et l'amour éternel d'une mère. Très émouvant !
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Une écriture poétique que je connaissais déjà, ayant lu de cette auteurE "l'envol de la chauve-souris". A nouveau admirative des formules poétiques qu'elle distille dans chacun de ses textes. Nombre d'entre eux évoquent son deuil et son chagrin d'avoir perdu l'un de ses enfants. ils sont touchants. D'autres sont plus légers ou satyriques, lyriques ou bucoliques... Une belle écriture....
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La Détresse.
Je saisis toute la détresse de tes yeux
Toi, dont aucune joie ne t’éclaire ici-bas
Je comprends ton immense chagrin
Et tout ce que recèle ton regard douloureux
Avec l’aide de Dieu, je calmerai tes pleurs
Ta peine ignoble, toute ta désespérance
Ton deuil est impossible, tu le caches
Dans la vie infinie de ta détresse
Ton regard se lève vers le ciel, son ciel
Je sais, tu ne vois rien, tu l’espères
Douleur insupportable de sa disparition
Tu ne le vois plus et tu en meurs
C’était ton petit malgré sa grandeur
Il t’aimait et tu l’adorais, ô chagrin
Ça te fait mal, souffrance indélébile
Existence sans lui, insoutenable mort
Qui te consolera d’une telle détresse
Personne ne pourra, seul l’ange
Intolérable absence, vide immense
Moi, je sais à quel point ton cœur saigne
Là, j’entends, tu sanglotes…
Extrait de « L’éclipse d’un soleil.»