A côté de son œuvre romanesque, François Emmanuel rassemble pour la première fois son oeuvre poétique. De nombreux poèmes inédits - parmi lesquels onze textes écrits en regard des gravures d'Isabelle Happart - côtoient les premiers volumes de poésie épuisés : L'Eau des fêtes, Femmes prodiges. Enfin le Portement de ma mère, texte de l'arrachement et du deuil, s'affirme comme une oeuvre exceptionnelle, sublime effleurement au scalpel de la mort.