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4,04

sur 352 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ne tirez pas sur l'auteur moqueur! Et pourtant, il s'en donne à coeur joie, Jean-Marie Erre, tout y passe…Les handicapés, les journalistes, les flics! Champion des anti-héros, le flic en chef est tout sauf craquant :

Pourquoi n'aurais-je pas le moral ?
– Votre femme ne vous a pas quitté ?
– Non, pourquoi ?
– Vous n'êtes pas alcoolique ?
– Je ne comprends pas ce que…
– Alors votre coéquipier est mort sous vos yeux et depuis vous êtes hanté par des cauchemars parce que vous vous sentez coupable, c'est ça ?
– Pas du tout !
Moue perplexe du Gabriel. Il détaille Pascalini en repassant dans sa tête la liste complète des clichés du polar avant de lâcher :
– Vous êtes sûr que vous êtes policier ?


Par contre la fine mouche qui mène l'enquête est très atypique : tétraplégique, contrainte à communiquer via un dispositif de synthèse vocale, qu'elle actionne avec son seul doigt valide, qui ne peut être que son majeur, bien sûr! Et quelle est la seule personne autorisée à se gausser d'une telle situation? La paralytique elle-même, qui utilise avec prodigalité l'autodérision.
Les monstres du cirque qui s'est sédentarisé dans la petite ville ne sont pas épargnés.


Il existe bien une enquête, qui vise à retourner l'auteur de crimes bien sanglants, imaginez :

« C'est elle qui a découvert Joseph éviscéré, émasculé, énucléé, étêté – et mort – dans ses toilettes. Un vrai fléau, cette désertification rurale. »



On l'aura compris, le but premier n'est pas de conter un thriller angoissant avec une intrigue alambiquée, (encore que perso, je n'ai rien vu venir), mais de jouer avec les codes du polar. Toutes les ficelles sont tournées en dérision , et c'est d'autant plus drôle que le lecteur est pris à partie comme témoin de ces procédés.

C'est déjanté, jubilatoire, et précieux pour désamorcer la morosité ambiante.

#QuiATuéLhommehomard #NetGalleyFrance

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Rien que le titre m'avait déjà donnée envie de lire ce roman… je l'ai trouvé intriguant. Il faut reconnaître que je ne connaissais pas du tout l'auteur.

Jai adoré le côté déjanté de J.M Erre. Il faut dire qu'il a une sacrée plume , et un humour plutôt exacerbe D'autant que le cynisme est bien présent et que j'aime beaucoup ça. C'est une humour parfois tranchant , très incisif , mais qui au fond ne fait que remonter a la surface des vérités.
Il faut aussi reconnaître qu'actuellement j'ai une énorme aversion pour le politiquement correct… cette hypocrisie ou tout doit être poli, lisse et gentil. Alors si comme moi vous aimé ce qui pique, ce roman est fait pour vous. Et puis il faut reconnaître que tout le monde en prend pour son grade.

J'ai déjà réservé d'autres roman de l'auteur dans ma bibliothèque préférée, car cet humour est juste du bonbon en barre.
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Pistaches, pastis & pis t'as pastiches !

Bon titre pour une chronique ça, qui met en appétit, qui a du style. Aguicher, dévoiler sans révéler. Comme « Omar m'a tuer » ou « Qui a tué l'homme-homard ? », déjà on sait vers où on va. Sans détours, ça je ne peux promettre car Jean Marcel Erre, donc j'essaye de suivre. Enfin c'est beau d'annoncer d'emblée qu'il y aura meurtre. En même temps, c'est un polar.
Le mystère reste entier, on a placé deux figures, jusque là on est bon.

L'accroche.
« On a ouvert avec un meurtre bien sordide, un homme-homard découpé en morceaux, c'est original, c'est visuel, c'est gourmand. A mon avis, on a marqué des points. » p.233
Le mystère reste entier, on a placé une citation, fait monter la sauce, on est bon là.

L'aveu.
(Attention, je ne plaide pas coupable, pour rappel je ne suis pas dans le roman. Non mais quelle histoire !)
J'avoue, j'en pince pour les livres de J.M. Erre et ce n'est bien sûr pas celui-ci qui me fera changer d'avis. Bon, pour la fine bouche, perso, je l'aurais jeté vivant dans l'eau bouillante avant de le couper en morceaux (20 c'est beaucoup quand même). Mais enfin c'est de la popotte interne et tant qu'à revisiter la recette du polar autant le faire aussi pour celle du homard.
Entre parenthèse on a pastiché le pasticheur, introduit le faux espoir d'une révélation, joué de l'ascenseur émotionnel avec un chaud froid tout en évitant la chute. Donc le mystère reste entier (contrairement à l'homme-homard qui n'est pas dans son assiette).

La révélation.
-Déjà ?
-Ben oui, je reste sur un court-bouillon.
Chuuuut !!! Ce polar est aussi un guide du polar. Et ce n'est pas tout : il s'agit d'un roman post-moderne.
-Ké kc'est ça ???
-C'est expliqué sur wiki mais je te conseille l'épisode 6 du blog de Winona Jane : Je vois la vie en monstre p.229
-Là, bravo.
-… « est modeste et repose sur la question que tout a été dit, déjà, et qu'il faut reprendre les anciennes règles en renouvelant ce qui peut l'être. […] Margoujols, mon Pulp Fiction à moi.»
-Margoujols ?
-4ème de couv.
Le mystère reste entier, on a placé un dialogue, changé de niveau en parlant du travail d'écriture, c'est tout bon.

Les personnages.
Il y en a beaucoup, mais pas trop car la narratrice a l'intelligence de ne pas nous présenter les 432 habitants de ce petit village de Lozère. Ni les autruches, fille du maire mais apolitique^^ Julie ; par contre elle cherche un carnet^^. Alors il y a Joseph, un homme-homard, qui s'est fait une carapace en insultant tous les gens du village, cela fait 431 coupables potentiels, plus 4 norvégiens, plus 2 policiers, plus une journaliste, l'on peut exclure les autruches. Mais dans tous cette consanguinité, il n'y a finalement que l'assassin(e) qui vous intéresse et je préfère ne pas en parler, alors que je pourrais renouveler la règle en post-modernisant dans un élan paroxysmique. Un mot sur Julie plus attachée à son fauteuil roulant qu'attachante, d'autant qu'elle est plus baveuse qu'une omelette de la mère Poulard, ou encore qu'un escargot sur une route de Bourgogne limitée à 80 (à retirer lors de la mise sur le site car la métaphore est aussi vielle que la recette de la mère Poulard, que l'omelette revisitée avec les oeufs d'autruches c'est raccord et post-moderne, alors que l'escargot à 80 c'est un coup à se mettre plus de Français à dos que Joseph et ne plus pouvoir rentrer dans sa coquille).
Mine de rien on a encore placé deux figures, situé l'action, soigné le vocabulaire, introduit un côté terroir, surpris son lectorat en révélant que comme dans l'inspecteur Barnaby il y a plusieurs victimes, si, si, Ah ! Ah ! Elle est bien bonne et le mystère reste entier.

L'hommage
Ce n'est par contre pas un mystère que J.M. Erre dans l'exploration narrative de différents genres littéraires en totale liberté, maniant différents type d'humour à multiples degrés, en s'appuyant sur une imagination débridée et jouissive. Singulier, il l'est et son style est déjà une signature. Se tromperaient les lecteurs-trices, qui s'arrêteraient au seul aspect rigolo. L'humour irrévérencieux est un véhicule très puissant pouvant sans modération dépasser largement le 80, et à même d'approcher l'indicible ce qu'en fin de compte n'arrivent à faire que les écrivains talentueux. C'est un coup de génie que cette apprentie-narratrice, détective-amatrice, handinspectrice, native-tétraplégique, pilote confirmée, cynique patentée ou qui l'est. Pourquoi pas ? Je lis un peu partout déjanté, moi je trouve simplement que ce fauteuil roulant débridé tient drôlement la route. Et d'autre manière l'humour de couleur n'a jamais fait rire personne, alors que l'humour noir est un régal et que rien ne vaut le noir de noir. Noir, c'est noir, chantait Johnny !!
« Face au tumulte de la vie moderne, sachons profiter du cadeau offert par un mort : le silence. » p. 198

Remerciements
La lecture d'un livre de J.M. Erre est toujours un moment de rare jubilation intérieure, le chroniquer un bonheur à partager. Je remercie vivement Babelio pour cette masse critique et les éditions Buchet Chastel pour leur confiance.
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Ce livre est un tel concentré de drôlerie, de faits improbables que je me suis souvent demandé à quoi carburait l'auteur pour oser nous proposer une histoire aussi loufoques dans laquelle on croise une femme à barbe, un nain et un colosse, mais aussi un homme caoutchouc, des soeurs siamoises et j'en passe.
Une fois les présentations faites, l'auteur nous entraîne dans un polar à la suite de l'adjudant Pascalini et de son adjoint Babiloune bien décidés à élucider le mystère de l'assassinat de l'homme homard.
Ce dernier, Joseph Zimm, surnommé l'homme homard, a autant d'ennemis qu'il y a d'habitants dans la ville de Margoujols.
Que serait cette histoire, sans Julie ? Jeune tétraplégique clouée sur Jolly Jumper, son fauteuil roulant équipé des dernières technologies.
Cette jeune fille sait tout sur tout le monde, elle observe, donne son avis en remuant le doigt, son seul moyen de communication.
Des rencontres inouïes, des secrets, des coups bas, vous mixez le tout et vous obtenez une sorte d'ovni littéraire, un pur concentré de bonheur.

Comme je connais très peu d'écrivains, mis à part Arto Paasillina, capable de me faire rire autant, j'ai bien l'intention de continuer ma découverte de l'oeuvre de J.M. Erre.

Un grand merci à NetGalley et aux Editions Buchet Chastel.

#QuiATuéLhommehomard #NetGalleyFrance
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Totalement politiquement incorrect ! Je me suis régalée ! Si l'humour type Groland ne vous fait pas peur, allez-y de bon coeur. C'est drôle et irrévérencieux !
Tout est l'avenant depuis la victime (le fameux "homme-homard" du titre), la narratrice (exceptionnelle, elle sort vraiment des sentiers battus), les enquêteurs, les habitants. le tout a pour décor la Lozère.
Un livre hilarant avec peut-être une pointe de tristesse sur la fin....
Je n'ai pas boudé mon plaisir et je retenterai volontiers un livre de cet auteur !
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Margoujols, son Comité pour la réhabilitation de la Bête du Gévaudan et une consanguinité enrichie par les gènes monstrueux apportés par le cirque de Balthazar Britiescu de la lointaine Transylvanie et qui avait échoué au village en 1945.

Meurtre de 'l'homme homard', détesté de tous. Débarque la gendarmerie française avec tous ses clichés qu'arborent l'adjudant Pascalini et son stagiaire, le deuxième classe Babiloune et à qui le maire a adjoint l'aide de sa fille Julie, la narratrice, complètement paralysée dans son fauteuil roulant high-tech, et délicieusement sarcastique.

Je ne suis pas trop fier d'avoir kiffé un livre qui ne vole pas très haut, quoique les clichés sont admirablement rendus (ah! la tirade du complotiste!), J.M. Erre excelle dans différents registres, et sa prose coule agréablement, ça tombe bien, ça fait rire, ça fait du bien!
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J.M. Erre est un auteur épatant, il est comme un magicien qui expliquerait son tour, qui malgré cela, resterait magique. Il analyse et démonte les mécanismes du polar et du rire - en filigrane, comme dans un essai, mais beaucoup plus marrant - Il déboulonne aussi la chaise roulante de son héroïne tétraplégique, Julie, et cela reste pourtant drôle et même très drôle. Bluffant ! Il prend ses lecteurs par la main et les emmène entre les lignes, vers des fausses pistes, il se moque un peu d'eux et de lui-même. Il parodie et s'amuse des auteurs de genre ; polar & thriller, des séries télé aussi. Il se fout de la littérature « feel-good » mais la sienne va vous faire un bien fou. Mais attention, ne lisez pas ce bouquin dans un lieu public ou les transports en commun, vous allez passer pour un zinzin ! Fou rire garanti. Au début j'ai pensé mettre quelques citations ... Je me suis rendu compte qu'il y en avait trop, une par phrase, j'exagère à peine ; des punch-lines à la mitraillette. Avec lui on peut rire de tout ; des handicapés, des monstres... car l'humanité entière est monstrueusement handicapée, le freak show global ... Et puis mettre une citation de Cioran en exergue d'un roman policier aussi poilant (5 étoiles), il fallait oser. Mon troisième Erre (il ne faut jamais manquer d'Erre ) mais pas le dernier, merci Jean-Marcel, merci Buchet-Chastel et Babélio. Allez, salut, et bisou* à la femme à barbe !
P.S. *Un seul bisou, parce que ... quand même hein ça pique !
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*****

Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux Éditions Buchet Chastel pour l'envoi de ce roman.

Margoujols est un petit village isolé de Lozère. Il aurait pu connaître son heure de gloire en 1945 quand un cirque itinérant est venu y poser ses valises, un freak show pour être plus précis. Mais si "les monstres" n'en ont plus bougé, la vie a repris son cours. Jusqu'à ce jour où le corps de Joseph Zimm, l'homme homard, est retrouvé poignardé et découpé... Qui a pu commettre un tel crime ? Et pourquoi ? Chacun y va de ses propositions, délations, suppositions, découvrant alors les vrais visages des margoulais...

Voilà une surprise comme je les aime !!! Je ne connaissais pas l'auteur, je ne savais rien de l'histoire et je n'attendais rien de roman... Et c'est un coup de coeur !!

On trouve dans ce roman tout autant de suspense comme en mérite toute bonne enquête policière, de personnages attachants et travaillés comme dans tout roman de terroir et des secrets bien cachés comme dans tout roman d'ambiance...
Mais ce que J.M. Erre ajoute en plus, et qui fait toute la différence, c'est un trait d'humour noir parfaitement dosé et jubilatoire.

Notre narratrice, Julie, est une jeune femme de 23 ans, clouée depuis toujours sur un fauteuil roulant, avec pour seul possibilité de communication, un majeur et un ordinateur high tech. Elle a toujours rêvée d'une aventure comme celle qui l'attend et parcourt avec plaisir aux côtés d'un duo d'enquêteurs loufoques les rues de son village.
On y croise les "monstres du cirque" mais aussi des habitants à la langue bien pendu, aux idées bien arrêtées et aux envies de vengeances cachées.

Sans être réellement un polar, ni un roman non plus, Qui a tué l'homme homard est un vrai plaisir de lecture. Montez vite sur le 4 roues de Julie et laissez-vous emporté par la folie du Gévaudan !
Lien : https://lire-et-vous.fr/2019..
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J'ai reçu Qui a tué l'homme homard dans le cadre d'une opération Masse Critique privilégiée. Je remercie chaudement Babelio et les éditions Buchet Chastel pour le cadeau.

Il faut dire que j'adore les romans de J.M. Erre, aussi j'attendais avec impatience la sortie de son nouveau livre. Une fois de plus le charme a opéré : j'ai adoré.

J.M. Erre est connu pour son humour décalé et loufoque et avec son Homme-homard il ne faillit pas à sa réputation.

Habituellement, le handicap est traité avec un respect frisant la guimauve. Ici, on est dans l'irrévérence pure et ça fait du bien. Rien de choquant, je vous rassure ! Au contraire : sous couvert d'humour, l'auteur nous retourne le couteau dans la plaie en nous mettant face à nos réactions idiotes devant le handicap. En gros, en s'en prend plein la tronche mais on se marre ! Bien joué, J.M. ;-)

Le roman décortique également le travail de l'écrivain. J.M. Erre se moque (gentiment) de ses confrères et aussi des lecteurs de polars. C'est totalement jouissif.

L'enquête, car il y a bien une enquête, file ventre à terre. Le rythme est échevelé, il y a de nombreux rebondissements et le dénouement est digne des meilleurs polars (mais en beaucoup plus drôle).

En bref, je me suis régalée du début et la fin. Ce roman est un vrai délice !



Challenge Multi-défis 2019
Challenge le Tour du Scrabble en 80 jours
Challenge Mauvais Genre
Challenge Les Déductions Élémentaires
Challenge Les Détectives Littéraires
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Je remercie les équipes de lecteurs.com des éditions Buchet Chastel qui m’ont permis de découvrir cet étrange roman policier. Si vous avez pour habitude de lire certains de mes avis, vous saurez que les polars ont tendance à me faire peur. Ils sont souvent trop peu rythmés et trop téléphonés. La plupart du temps, pour me laisser prendre à ce genre il me faut un côté léger et frais. Avec ce roman, j’ai été largement servie. Et j’ai vraiment adoré.
En lisant le résumé de ce roman, j’ai tout de suite eu envie de m’y jeter. Ça me semblait drôle, mordant … tiré par les cheveux. Et tout ça, dans un roman policier. Cocktail détonant et étonnant, non ? D’abord, parlons du personnage principale : Julie. Un petit bout de femme de 23 ans, mordante à souhait et pleine de répartie … Ah oui ! J’ai faillit oublier … Elle est aussi cloué à un fauteuil roulant hyper Hi-tech. Grâce à elle, ce roman a été un pur délice ! Pas parce qu’on y découpait des gens comme de la viande, non ! Mais parce que sa répartie était absolument parfaite. Ça apportait du pep’s à un genre un peu vieilli. Je dois bien avouer que sa seule présence éclipse celle des autres personnages. Pourtant, on n’a pas l’habitude des « homme-homards » et autre personnages de « Freak Shows ». Mais, leur personnalité n’a pas été suffisamment poussée pour atteindre le niveau de Julie. Et ce n’est pas grave, elle suffit amplement !
Ensuite parlons du sentiment que ce roman fait renaître en nous : la liberté. La liberté de rire de tout, comme jadis ! Sans aucun tabou. Parce que rire de tout c’est permettre aux personnes cataloguées de « différentes » de se sentir, l’espace d’un instant, comme tout le monde. Le rire rassemble ! Avec un personnage tétraplégique et des villageois atteint de toutes sortes de difformités, au moins l’auteur prenait le parti de les traiter comme des gens « normaux ». Et ça marche !
Il faut l’avouer, j’ai beaucoup ri. Et je me suis beaucoup amusée grâce à ces scènes plus que cocasses. Ce roman m’a rappelé « 11 serpents » de Philippe Saimbert. C’était, jusqu’à présent, le seul roman qui m’ai autant fait rire par son côté mordant. Et aujourd’hui, j’en ajoute un second sur cette petite liste : celui-ci, évidemment ! Je ne peux que le conseiller et même le recommander vivement !
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