Ce huitième tome sonne la fin de cette très belle série dont nous aurons autant pu admirer le visuel que de se laisser envahir par les émotions.
Un récit choral, qui l'est effectivement à bien des niveaux et qui aura su résonner et conquérir nos coeurs. Ainsi, je vous en conseille fortement la lecture si vous ne vous êtes pas déjà laissés envoûter.
Les émois adolescents, les choses et les gens qui changent, le temps qui passe inlassablement, tout cela est superbement capturé.
Nous nous l'avouerons aussi c'est bien quand ils chantent ensemble, comme une chorale, à l'unisson, que nos coeurs sont le plus transportés.
Nous apprenons un peu avec eux et même par le récapitulatif des personnages, la décision brutale de Midori Machiya. Les derniers évènements on chacun eu leurs conséquences. Yutaka Aoi a toujours des soucis avec sa voix qui mute.
Nous allons rencontré Lilico, une star, c'est très intéressant car elle est différente de celle qu'ils voient à la télévision, où elle joue plus un rôle.
Pour notre plus grand plaisir, nous verrons la vraie. Mais pourquoi est-elle là ? Comment connaît elle un autre personnage et lequel est-ce ? Pour cela, lisez votre tome.
C'est aussi un moment où est mis en évidence les choix de vie, et quelle place occupera la musique pour chacun d'entre eux. En tout cas, ces années de chorale, ces partages ne peuvent pas compter pour rien. le chant peut se pratiquer de plein de façon différente.
Une autre chose qui a aussi été bien joué cela été de mettre en confrontation les adultes et les plus jeunes, ceux qui sont encore débordant d'enthousiasme, de jeunesse, d'espoir, qui y croit avec d'autres bien plus blasés, mais qui peuvent aussi laisser leurs coeurs se laissaient toucher.
Le tome est un régal à lire et à vous de le découvrir.
Pour commencer celui-ci, ce sera avec un peu de couleur.
Pour finir, nous avons le droit à un chapitre bonus sur
Vladimir Popov. Une plongée intéressante dans son passé et un personnage qui aura pris de plus en plus d'ampleur au fil des tomes et d'importance pour Yutaka.