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Aromantic (love) story tome 1 sur 5
EAN : 9782369742715
199 pages
Akata (03/05/2018)
3.95/5   63 notes
Résumé :
Futaba Kiryû, 32 ans, est autrice de mangas. Ce qu’elle adore par-dessus tout, c’est dessiner des shônen bien sociaux ! Le problème, c’est que ce genre ne marche plus du tout… Du coup, pour essayer de vraiment lancer sa carrière, son éditeur lui propose (impose ?) de s’essayer à un autre genre de shônen : le harem manga ! Gros hic : elle déteste ça, et surtout… elle ne s’intéresse pas du tout à l’amour. Bien malgré elle et agacée par l’injonction sociale qui impose ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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Tout d'abord un très grand merci aux éditions Akata pour leur confiance et leur accueil. J'aime énormément cette maison d'édition qui nous sort des titres aussi atypiques qu'engagés.

Le thème de ce manga m'intriguait évidemment énormément. L'humour qui ressort déjà du titre (avec les parenthèses qui entourent le mot « love »), un résumé qui décape, une couverture qui annonce aussitôt la couleur, le féminisme qui ressort de cette oeuvre, j'étais embarquée immédiatement !

La couverture est simple dans ses couleurs, mais l'illustration en est très jolie, le style de dessin est léger mais efficace, autant sur ce premier aperçu que dans la suite du manga. Une couverture que je trouve percutante, bien qu'elle ait un côté décalé avec la modernité du manga. Pour autant, ce côté décalé est fort bien vu et nous montre la place que vont avoir ces trois personnages, Futaba Kiryu, « Killer » et « le stratège » : une couverture qui se veut romantique, pour une histoire qui prend le contrepied du romantisme, justement. Très bien trouvée, moi je la trouve parfaite.

Comme je l'ai dit, les dessins, à l'intérieur du manga, sont plutôt simples, mais efficaces et très dynamiques. Ils posent une ambiance drôle et légère sans être non plus « trop légère », justement. Et ils sont très jolis. Certaines expressions sont magnifiques, et le monde intérieur de Futaba est très bien imagé, de manière à la fois humoristique et fouillée à l'aide de très bonnes métaphores.
J'ai été un peu dubitative de la manière dont cette histoire commence. En fait, au tout début, je me suis demandé ce qui se passait. Et puis j'ai vite compris que nous étions plongés dans un « manga dans le manga », à savoir dans « At love », le manga harem écrit par Futaba. Un manga complètement délirant, qui nous amuse et nous fait immédiatement nous placer du côté de Futaba : j'imagine la galère qu'elle vit à devoir écrire un manga harem… surtout sachant qu'elle-même ne comprend rien à l'amour.

Le thème principal de cette histoire est bien évidemment l'aromantisme, mais ce ne sera pas le seul thème abordé, comme on va le voir. La mangaka croise très rapidement l'aromantisme et l'asexualité, son héroïne n'ayant jamais ni connu l'amour, ni éprouvé la moindre attirance pour personne, ni homme ni femme. C'est très intéressant, parce qu'à ce niveau-là, on entre assez facilement dans un questionnement très LGBT, par cette double « problématique » croisée (pas si problématique, puisque l'héroïne le vit très bien, en tout cas, dans sa vie privée, même si évidemment, beaucoup de gens se permettent de donner leur avis et l'embêtent avec les questions d'amour, de mariage, d'enfants, etc…), mais également par le fait que Futaba ignore, au fond, si elle est hétéro, bi ou lesbienne. Comment savoir quand on a jamais été attiré par personne ?

Évidemment, c'est une question que se pose son entourage, ainsi que le lecteur, mais Futaba, elle n'en a rien à claquer. Ces questions-là ne l'intéressent pas du tout. Pas qu'elle soit répugnée par la sexualité, elle en parle avec ses amies (là aussi atypiques, Aki est bisexuelle, et Teddy est pro « amours virtuels », toutes les deux sont célibataires et très bien dans leur peau et dans leur vie), même si oui, l'amour lui passe au-dessus de la tête, elle ne le comprend pas, ne voit pas ce qui pousse les gens les uns vers les autres. Elle a ses amies, son travail, ses collègues, ça lui suffit pour être heureuse.

Sauf que projetée de mauvais gré dans l'univers du harem, et donc du manga romantique, elle se voit contrainte de tenter de comprendre les mécanismes amoureux, par souci professionnel. Perfectionniste, elle ne supporte pas l'idée de mal faire son travail. Alors puisque la voilà lancée dans l'aventure du romantisme et de l'amour, elle se décide à tenter d'en percer les mystères. Pas facile pour elle.

Elle se retrouve rapidement confrontée à l'équipe qui s'apprête à scénariser une version animée de « At love ». Ceux-ci ont leurs propres axes de travail, et ne comprennent pas, selon Futaba, l'essentiel. Par exemple, pourquoi veulent-ils absolument que Haru, transgenre, tombe amoureux de Kirika, une des filles qui poursuit le héros de « At love » de ses assiduités ? Parce que leur « amitié » est populaire, et que ce serait donc plus vendeur d'en faire un couple. Mais Futaba n'est pas d'accord qu'on piétine les valeurs LGBT de la sorte en brisant une part importante de la personnalité de l'un de ses personnages. « Haru est un transgenre ! Se travestir n'est pas juste un amusement pour lui ! C'est d'ailleurs très bien expliqué dans le manga ! » Oui, mais voilà, elle se confronte à un monde qui ne pense, ne vit, ne respire que par et pour l'amour : « ce gamin a beau se déguiser en nana… quand un homme et une femme sont aussi proches… ça tourne forcément à l'amour, je me trompe ? ».

C'est ce qui est assez fabuleux, dans ce manga, en fait. La manière dont la mangaka, à travers le personnage de Futaba, défend les minorités, défend la cause LGBT sans avoir froid aux yeux, sans s'arrêter à un thème, en poussant la réflexion, petit à petit, de plus en plus loin. D'abord léger et drôle, ce manga m'a surprise par sa très grande profondeur, je ne m'attendais pas à ce qu'autant de thèmes pointus et marginaux y soient abordés. C'est très certainement un très gros plus à cette histoire atypique et plus profonde qu'elle n'y parait de premier abord…

La simplicité du début laisse peu à peu la place à des réflexions aiguisées et sensées, qui m'ont vraiment portée tout du long du manga. Si l'on garde l'aspect humour, notamment avec la situation somme toute comique de Futaba, coincée entre deux hommes très différents qui lui font la cour de manière… eh bien, assez originale (big up pour Asakura, dit « Killeur » (surnom que lui a donné Futaba parce qu'elle trouve qu'il a une tête de psychopathe), qui est un personnage déstabilisant que j'ai énormément apprécié). On se demande vraiment où va nous mener la mangaka dans le prochain tome… que j'ai très hâte de découvrir !

Au passage, j'ai fortement apprécié l'effort des éditions Akata qui ne parlent pas « d'auteur » ou « d'auteure » pour définir Futaba et son travail de mangaka, mais le terme très féministe « d'autrice ». Je salue l'usage de ce terme encore peu usité, mais qui place les femmes à égalité avec les hommes dans cet univers qui, jusqu'à présent, était uniquement masculinisé.

Un manga à la fois léger et profond, tout public, qui ouvre l'esprit aux différentes questions de la cause LGBT. À découvrir, vous passerez un très bon moment, tout en lisant une oeuvre travaillée, fouillée, documentée et engagée.

Aurélie, pour le blog d'Amabooksaddict
Lien : http://amabooksaddict.blogsp..
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Comme annoncé, Aromantic (Love) Story est l'histoire d'une jeune femme assez atypique. En plus d'être mangaka, Futaba est une jeune trentenaire qui n'a jamais été amoureuse ni éprouvée de désir pour qui que ce soit. Elle ne connait donc rien à l'amour mais est obligée d'écrire dessus pour son travail. C'est donc l'horreur pour elle, mais comme c'est aussi quelqu'un de sérieux, elle veut bien faire les choses. Et c'est alors qu'elle vient de prendre cette décision, que deux hommes décident de lui avouer leurs sentiments/attirance pour elle. Que va-t-elle faire ?

Honnêtement, j'étais un peu mi-figue mi-raison avec ce postulat de départ. J'avais peur de tomber sur une femme qui joue les midinettes et qui tombe dans tous les clichés du genre. Heureusement pour moi, ce n'est pas du tout le cas avec Futaba. C'est effectivement quelqu'un de naïf car complètement novice en amour, mais c'est aussi une femme sûre d'elle et de ses convictions et c'est définitivement ce qui m'a plu ici.

Dans ce titre, l'autrice profite du statut sentimental particulier de son héroïne pour traiter de sujets très intéressants autour de la question de l'identité sexuelle. On apprend donc énormément de choses à la fois sur ceux qui se cherchent mais aussi sur ceux qui se sont trouvés mais qui se retrouvent dans les différentes minorités que la société oppose aux hétérosexuels. Je dois bien avouer que je n'y connais pas grand-chose sur le sujet mais que ça m'a donné matière à réfléchir sur ces personnes que les étiquettes agacent et/ou ne représentent pas. J'ai trouvé qu'Haruka Ono abordait cela avec beaucoup de doigté et de pédagogie sans jamais rendre ses explications rébarbatives. Tout est glissé subtilement dans son histoire et se mélange dans la narration avec le scénario qu'elle développe.

Ainsi, j'ai trouvé l'héroïne fort attachante. J'aime son caractère fort, ses convictions, son militantisme, son assurance et ses doutes parfois. Je sens que je vais aimer suivre son cheminement. Je l'ai aussi trouvé particulièrement drôle grâce à ses monologues intérieurs. J'ai beaucoup aimé sa relation avec ses deux amies trentenaires aussi où je me suis un peu retrouvée. J'ai trouvé sa maladresse vis-à-vis de la gente masculine drôle et touchante, on sent qu'il y a du vécu là-derrière. D'ailleurs, tout le propos autour de son travail de mangaka sent le vécu aussi et c'est assez agréable à lire par rapport à d'autres séries où j'avais trouvé ça trop lourd.

J'ai également beaucoup aimé l'humour qui se dégage du titre. Ça donne un côté très dynamique et pêchu à l'histoire aussi bien grâce au comique de nombreuses situations qu'aux caractères haut en couleurs de plusieurs personnages.

J'ai peut-être par contre un peu plus de mal avec les dessins, qui, quoi que maitrisés, me semblent un peu trop froids et rigides parfois, parfaits pour une adaptation en anime mais pas vraiment à mon goût. Je trouve par exemple que la couverture ne reflète pas bien le contenu et c'est dommage ^^! (mais j'ai cru comprendre que l'éditeur n'a pas trop eu le choix niveau matériel…)

Au final, contrairement à ce que je croyais, je ressors totalement convaincue par ce titre et surtout par son héroïne. J'ai vraiment envie de voir ce qui va lui arriver, les choix qu'elle va faire et comment elle va les gérer. C'est encore une bonne pioche de la part d'Akata.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Pour aujourd'hui, Akata propose le lot de 3 manga en lecture numérique gratuite. Un des 3 est déjà une série que je suis hors période de confinement. Je débute par celui-ci dont la couverture ne reflète pas tout à fait le contenu ! En effet, je m'attendais à un shojo à 400% standard, un triangle amoureux où la jeune femme concernée serait une pimbêche écervelée ... Rien à voir ! C'est une féministe confirmée que nous allons découvrir, une mangaka discrète mais avec ses idées bien précises sur l'abattement des préjugés sur l'amour et la sexualité. Une héroïne tout à fait attachante en quelques pages. Son intérêt est proche de 0 de toutes relations amoureuses alors que va-t-il donc se passer lorsqu'en moins de 2 jours, 2 hommes diamétralement opposés vont lui déclarer leur flamme ? Sa vie devient sans dessus dessous et c'est drôle !
Très bonne découverte pour ma part !
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C'est une comédie romantique dont le personnage principal (Futaba Kiryû, 32 ans et auteure de manga) se veut aromantic. C'est assez spécial même si on retrouve le principe du triangle amoureux. J'avoue que le tout début de ma lecture ne fut pas très convaincant mais j'ai fini par changer d'avis en cours.

En effet, c'est assez frais et même assez mâture par moment ce qui est plutôt rare pour un shojo. Je pense que cela peut trouver son public même si celui-ci sera essentiellement féminin à moins d'être transgenre ou plus ouvert sur tout les styles de mangas.

L'originalité provient des trois principaux personnages qui sont loin d'être stéréotypés. Ils apportent quelque chose de spécial à ce récit dont on ne devinera pas la fin. Par ailleurs, le dessin est accessible ce qui procure une lecture agréable. C'est rythmé et parfois assez drôle.

A noter également qu'on monte en puissance après chaque volume pour terminer en apothéose dans le 5ème et dernier tome.

Au final, un manga assez moderne qui est réussi là où beaucoup échoue.
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Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga de mangas que je mourrais d'envie de découvrir, j'ai nommé Aromantic (love) story d'Haruka Ono. En tant que personne ne ressentant pas forcément le besoin de relations amoureuses/sexuelles pour me sentir pleinement épanouie (j'en éprouve parfois le désir mais c'est n'est absolument pas une priorité pour réussir ma vie à mes yeux), le pitch de ce tome introducteur m'avait donc énormément parlé et j'étais donc extrêmement curieuse de savoir ce que cette série allait me réserver !

Pour le moment, je ne suis pas déçue : l'héroïne de cette histoire, Kiryu, est une femme forte, indépendante, évoluant dans le difficile milieu du manga justement, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui assume son célibat voulu avec aplomb et conviction. Et Dieu que cela fait du bien ! Je me suis tout à fait retrouvée en elle et dans sa volonté farouche de prouver qu'une femme est plus qu'un objet sexuel désirable ou une attirante poupée passionnée par la mode, le maquillage et les belles romances, que le soit-disant sexe faible peut aussi avoir des aspirations plus intellectuelles et éclairantes. A mourir de rire, tout ce qu'il y a de plus attachante, asociale sur les bords mais restant respectueuse et polie malgré la soucoupe qui menace à chaque fois de déborder, je l'ai instantanément adorée, ainsi que ses deux meilleures amies elles aussi célibataires endurcies ayant décidé de mener leur vie comme elles l'entendent. En voilà un trio qui fait plaisir à voir, surtout au sein d'un shojo manga, genre connu pour ses intrigues très fleur bleue et somme toutes assez superficielles !

Ne vous y trompez pas, je suis moi-même une consommatrice invétérée de shojo mangas (et donc une hypocrite en puissance en ce moment aussi...) mais je dois reconnaître que les aventures amoureuses mouvementées de jeunes filles en fleur jolies comme un coeur et qui ne vont pas chercher plus loin que le bout de leur nez (coucou Kayo *, c'est de toi que je parle, là), ça peut sacrément agacer à la longue. Pas de ça ici : on se retrouve face à une femme d'aujourd'hui qui se pose bien sûr des questions sur son absence de sentiments amoureux pour quiconque mais qui ne va pas en faire une fixette et trahir ses convictions pour autant !

Malgré tout, cela n'empêche pas Haruka Ono d'introduire l'idée d'un triangle aromantique tout ce qu'il y a de plus singulier au sein de son histoire et j'avoue que cela m'a autant intriguée que rendue perplexe. Pour le moment, difficile de se positionner en ce qui concerne les deux prétendants de notre Kiryu aux personnalités bien affirmées radicalement opposées, le jeune introverti d'un côté et l'homme d'âge mur séducteur de l'autre (même si le premier m'inspire bien plus confiance que le second, bien que les deux aient chacun leurs défauts qu'il est sérieusement important de pointer du doigt), qui ont au moins le mérite de clamer leur intention de capturer le coeur de notre mangaka tourmentée haut et fort et de se montrer ainsi sincères et emplis de détermination. Au fond, ce que j'escompte avant tout, c'est que le développement de ce love triangle totalement improbable ne se fasse pas trop rapidement et surtout pas au détriment de l'évolution de notre personnage principal et de sa façon de penser résolument féministe !

Pour conclure, je dirais que ce premier tome d'Aromantic (love) story constitue une excellente mise en abîme de ce qu'est le métier de mangaka, des attentes particulières de son lectorat, doublé d'une jolie et nécessaire critique de notre société actuelle encore pas mal misogyne sur les bords ne manquant certainement pas d'humour et de piquant. En somme, une belle ode à la femme qui prend son destin en main dont je suis désormais impatiente de découvrir la suite qui, je l'espère, sera à la hauteur !
Lien : https://lunartic.skyrock.com..
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critiques presse (1)
BDZoom
07 mai 2018
Même si le fond est humoristique, la question est vraiment sérieuse et la psychologie sous-jacente offre une réflexion intéressante loin des standards actuels du shojo manga.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Oh...mais la frustration est un excellent moteur! D'une manière générale, la majorité ne se préoccupe guère des soucis des minorités.
C'est en adoptant soi-même le point de vue... de la minorité, ou quand ses proches le vivent... qu'on prend conscience des problèmes.
Voilà pourquoi... le monde a besoin de quelqu'un qui ne peut pas se taire sur ces questions, comme vous.
En affirmant votre opinion, vous faites face aux critiques, c'est vrai... mais vous offrez aussi à ceux qui ignoraient le problème... des occasions de réfléchir tout en soutenant ceux qui le vivent de l'intérieur !
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Vous vous rendez compte ? Sous prétexte que je suis une femme...les gens estiment que je veux forcément partager l'existence d'un homme ! Toutes ces remarques, ces commentaires qu'on me fait, sans parler des conseils ! Des préjugés, encore et toujours !!
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Si un jour je meurs et qu'on m'ouvre le coeur, on pourra lire en lettres d'or : je t'aime encore.
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"Toutes les femmes aiment l'amour"... Qui a décidé ça?! Vous pouvez me le dire?!
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Celui que je surnomme secrètement "le killer"... n'a rien d'un tueur, dans la réalité.
C'est l'un de mes assistants.
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