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EAN : 9782923621333
142 pages
Les Editions Glénat Québec (15/08/2012)
3.98/5   26 notes
Résumé :
Lors d’un repas en famille, Lucas, 7 ans, semble embarrassé mais décide tout de même de demander à son père comment il a rencontré maman. D’abord surpris de cette question, les parents vont finalement remonter jusqu'en 1986 pour raconter leur histoire. Une aventure où se mêlent amours de jeunesse et guerre de pirates ! Étienne, leur père, alors âgé de 9 ans, était le capitaine pirate de la rue Beaulieu et avait pour ennemi juré La Grande Rousse, capitaine de la rue ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
J'ai bien du relire cette Bd une dizaine de fois et je ne m'en lasse toujours pas. Il faut dire que madame Lenoir ( autrefois nommé Michel Falardeau, d'où le fait que vous verrez ce nom sur la BD) a su nous offrir une sorte de "Guerre des tuques" version pirate ET une sympathique histoire de famille.


Lorsque Lucas, 9 ans, demande à son père comment il a rencontré leur maman, celui-ci se demande d'abord si c'était pas une question sur la Wii qu'il voulait lui demandé. Devant le sérieux de sa question, Étienne Chouinard s'explique à travers un récit. Il embarque ses enfants dans l'histoire de ses 9 ans lors de l'été 1986, où il avait trois passions: la piraterie, la jolie petite Marie et La Rousse, sa rivale. Lui et ses deux meilleurs amis élaborent un plan pour vivre enfin l'aventure de pirates dont ils rêvent. Étienne "Choune" Chouinard devient le chef pirate de L'oeil Noir, avec les habitants de sa rue, contre la rue voisine, dirigée par La Rousse sous la bannière des Rouges-Gorges. Trésors, batailles,premiers amours, amitiés et niaiseries d'enfance composent leur épopée, à une époque où jouer avait encore une dimension fortement créative et où n'importe quel terrain vague devenait le terrain d'une épopée grandeur nature.

Je fais parti d'une des dernières générations à avoir connu les jeux symboliques où jouer dehors, avec quelques accessoire et pleins d'imagination suffisait à créer des univers, alors que les seuls écrans qu'on avait était une télé et un ordi à tour aux jeux en 2D. Il y a donc quelque chose de nostalgique à voir ces jeunes super créatifs - quoique je ne regrette pas les bagarres qui en découlait parfois. Bref.


J'aime énormément les deux histoires en présence, autant celle d'Étienne et Marie que celle de leur famille. Les histoires les plus romantiques sont à mon sens celles qui s'ancrent dans le quotient, avec une réelle complicité et une réelle affection. Étienne et Marie ont beau être devenus adultes, ils partagent toujours cette complicité qui caractérisent les vieux couples qui fonctionnent. Cette scène où ils embarquent dans un délire à propose d'une idée de jeu vidéo sur le fait de ruser pour ne pas finir son assiette ( mais avoir le dessert quand même) illustre bien cet état. Adultes, mais drôles, authentiques, s'en se prendre au sérieux, voilà le genre de parents qu'on se plait à croiser. Et puis, je trouve touchant de voir un jeune papa entrainer ses deux enfants dans une histoire aussi passionnante qu'étonnamment poétique. Il a le sens de la narration, Étienne, indubitablement!


Quand à la "romance", notez qu'Étienne a une réelle admiration pour Marie ( la rouquine), bien plus qu'il "aime" Marie ( à cheveux noirs). Bon, il trop jeune pour le voir, il a toujours ben juste 9 ans et demi. Néanmoins, je remarque que le rôle dans lequel il a embraqué Marie la rouquine est celui de la rivale , donc de son égale, alors que Marie-cheveux-noirs a celui du trophé, pas franchement le rôle le plus romantique. Je trouve que cela traduit bien la différence entre un béguin pas trop trop rationnel d'un réel sentiment amoureux, basé sur le respect. D'ailleurs, dès la fin des hostilités, Étienne nous le confirme avec la phrase " [ elle est partie] avec une partie de mon coeur." Enfin, je remarque que lorsqu'ils se sont revus et ont commencé à se fréquenter, ils étaient des vieux ados ou de jeunes adultes, ils sont ensemble depuis un bon moment.


Les personnages, oh, bon sang, quelle bande déjantée! Ils sont vraiment inspirés de la culture québecoise, je trouve, avec leur façon d'être intenses. Quand on dit qu'on a le sang chaud, en voilà un bel exemple. Ils s'expriment forts, parfois en hurlant, ils débattent avec beaucoup d'enthousiasme, parfois "à deux pouces de la face" ( visages très près), ils s'insultent allègrement sans que ça soit réellement un problème, sont vraiment émergés dans le jeu...parfois trop. Oups.Un peu à la manière de "La guerre des tuques", on voit que la guerre mène à des excès et que cela nuit finalement au jeu, qui n'en est plus vraiment un quand il n'y a plus de plaisir.
Mais ils sont sympathiques ces nombreux personnages, joyeusement tapageurs et pourtant très enfantins. J'avais un faible pour le comique Zod et son air flanc-mou cachant un certain sens du leadership et de l'improvisation artistique.

Enfin, malgré la présence de rares filles, dont deux typiques "princesses", reste que cette bande de personnages masculins gesticulants ont été rondement malmené par une fille hors de l'ordinaire et réelle meneuse dans l'âme. Ses partisans étaient d'ailleurs très respectueux et à aucuns moment a t-on vu un personne la rabaisser sur le simple fait d'être une fille. Par contre, je remarque que Marie la rousse avait une réputation basé sur des rumeurs et là-dessus, on lui a servi des insultes assez mesquines. Heureusement, quand le tout est devenu déraisonnable, Étienne a fait une prise de conscience et s'est montré plus mature que les autres sur ce point.


Les dessins sont hilarants, les expressions parfois très exagérées originales ( c'est bien la première fois que je vois autant de détails dans la bouche des personnages) avec un coté très caricatural. Il n'y a presque pas de couleurs et elles servent généralement à marquer les ombres et lumières. Ça donne un côté "rétro", je trouve.

L'histoire est rocambolesque, parfumé de slangs québecois et de jokes de jeunes ados pré-pubères. Il y a d'abondantes références à la culture des années 80, à la musique comme au cinéma. "Les Gonnies", notament, est au centre de l'aventure, mais également un petit clin d'oeil à Star Wars: les enfants d'Étienne s'appellent Lucas et Léïa ( Luke et Léa). Il y a d'ailleurs une des pages de chapitre qui est une version "French kiss 1986" de la couverture du film "Star Wars- le retours du Jedi" .C'est vraiment un très beau style de dessins, très vivant et même mignon sous certains angles.

Un vrai coup de coeur.

Pour un lectorat adolescent, premier cycle secondaire, 13 ans+ ( Quoique les références risquent de parler davantage aux adultes)
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Malgré des illustrations un peu difficiles à décoder par moment (surtout lors des scènes de bagarre où il est un peu compliqué de comprendre qui est qui et quel personnage parle), ce roman graphique ce lit avec un grand plaisir. Que ce soit par les thèmes d'amour, de courage, de rivalité, de piraterie, de trésors et d'enfance (évoquant le film Les Goonies qui est d'ailleurs mentionné dans l'oeuvre) ou par l'humour bien présent (les extraits de paroles de chansons bien connues déformées, la réaction des enfants du père qui raconte comment il a rencontré leur mère). L'atmosphère des jeux d'enfants (avec ses amitiés, ses amours, ses guerres) est vraiment bien rendue et ne peut que rendre le lecteur nostalgique ou rêveur. Ça donne la même sensation que celle d'écouter la Guerre des tuques plusieurs années plus tard: un sourire aux lèvres et de bons souvenirs (en plus d'une certaine réflexion sur le fait que les enfants ne connaissent plus de tout ce genre de jeux... mis à part dans la réalité virtuelle). Également, Les personnages sont vraiment savoureux: on ne peut qu'adorer Étienne et la Rousse! S'il est vrai que, contrairement aux deux enfants d'Étienne, le lecteur voit rapidement comment se terminera l'histoire, cela ne gâche en rien son plaisir.

Finalement, le fait que l'histoire se déroule en 1986 plaira à tous ceux qui ont grandi dans cette décennie avec les nombreuses références culturelles et populaires de l'époque.

Une belle découverte!
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"La guerre des tuques" rencontre "Les Goonies" dans une bande dessinée consistante, bourrée d'action, d'humour et de nostalgie des années 80. Ça m'a vraiment rappelé ma jeunesse, avec les gangs de quartier, les repères secrets, les rivalités enfantines, les jeux imaginaires, les premiers kicks et les références culturelles d'une autre époque.

L'histoire, les looks des personnages et les nombreux clins d'oeil à la pop culture m'ont beaucoup interpellée. J'ai particulièrement aimé le personnage de Marie Larouge; clairement le seul "vrai" pirate du livre. La fille de dix ans que j'ai été aurait sûrement voulu lui ressembler et, surtout, prendre part à cette guerre de pirates épique, drôle et attendrissante.
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Dans « French Kiss 1986 », vous trouverez beaucoup de choses, de l'humour sans nul doute, de très jolies planches avec parfois des personnages filiformes hyper caricaturés dans leur émotion ou sensation, ce qui ajoutera à l'humour ambiant, des dialogues enfantins mais aussi plein d'esprit où le zozotement et les erreurs grammaticales de la jeunesse fleure bon avec les blagues scato et innocentes mais aussi la « violence » des jeux d'enfance.

De nos jours, Lucas et sa petite soeur Leïa partagent un repas animé avec leur parent jusqu'à ce que le garçon demande à son père comment il a rencontré sa mère. C'est ainsi que débute une histoire datant de 1986 qui rappelle indéniablement la « guerre des boutons » version québécoise au travers d'une guerre de pirates séparant deux clans ennemis de la jeunesse locale menés de front par deux gosses qui s'en mettent plein la figure ; Étienne, âgé de 9 ans, capitaine pirate de la rue Beaulieu et sa rivale de toujours La Grande Rousse, capitaine de la rue Perron, dont faisait partie la petite Marie aux cheveux noirs et aux yeux verts dont il était secrètement amoureux…

Si vous aimez les guerres de clans enfantines avec leur imagination prolifique pour faire mordre la poussière à l'ennemi, les répliques pleines d'humour, la violence, innocente quelque part, de gamins qui sont tellement à fond dans leur jeu qu'ils peinent à en sortir ou encore les romances toutes mignonnes mais néanmoins passionnées par l'innocence du sujet de ses jeunes enfants alors vous devriez passer un très bon moment en compagnie de ces petits monstres !

Voilà comment une rivalité ancienne entre Etienne et la Grande Rousse va dégénérer en combat de pirates et chasse aux trésors, plongeant dans l'univers de Peter Pan avec des pirates sans coeur et sans reproche n'hésitant pas à user de la violence pour piller et obtenir ce qu'ils veulent, les armes sont imaginatives et franchement les tactiques des uns et des autres bien bidonnantes. Si les stratégies peuvent laisser à désirer dans le clan de l'Oeil noir/Beaulieu mené par Etienne, du côté des Rouge-gorges/Perron mené par la Grande Rousse, c'est un autre calibre !

L'humour a la part belle dans cette bande – dessinée toutefois il y a aussi pas mal d'idées véhiculées au travers de ce titre, ce n'est pas seulement un condensé d'enfants qui se tapent sur la figure, c'est aussi tout une réflexion sur l'amitié et sur les premiers amours avec une conception du romantisme propre à la piraterie et établie par Etienne qui prête à sourire quand on sait qu'il tente par moult moyen de cacher son amour pour la jolie petite Marie qui fait partie du clan adverse. Difficile comme situation à gérer face à ses propres troupes !

Par ailleurs, le coup de crayon est assez original, avec des expressions exagérées et des visages démesurés, toujours dans cet optique probable d'accentuer le trait d'humour de l'ensemble. de même, la colorisation joue uniquement sur trois couleurs bien tranchées, le noir, le blanc et le beige, c'est suffisant en soit, le tout est harmonieux et franchement bien réalisé. En plus, l'auteur joue avec nos souvenirs d'enfance, du moins si vous êtes de cette génération là, les clins d'oeil sont nombreux notamment les parodies des affiches de film en début de chapitre.

En bref, une bonne bande – dessinée bien poilante à savourer sans aucune modération, vous rajeunirez à vue d'oeil avec cette lecture, le ton est rafraîchissant et décalé et les personnages bien individualisés, avec leurs caractéristiques drôles et uniques, viennent à chaque parole vous soutirer des rires tant leur innocence et leur imagination sont incroyables. A découvrir !
Lien : https://songesdunewalkyrie.w..
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Quand le père de Leïa et Lucas raconte comment il a rencontré leur maman, il ne faut pas s'attendre à une histoire romanesque. S'ils étaient voisins, ils n'habitaient pas la même rue. Durant l'été 1986, année de leur rencontre, commença une guerre des quartiers, une guerre de pirates. Quand on est un adolescent et qu'on est amoureux, il n'y a plus de règles !

French Kiss 1986 est raconté sous forme de flash-back. Michel Falardeau égrene les souvenirs de son personnage en mettant en scène une époque particulière. 1986, c'est la période post Star Wars (1ère trilogie), les ninjas, les pirates. Il n'en faut pas plus à nos héros pour imaginer une guerre pas si fictive où il est question de trésor, de repaire secret et de batailles. Mais quand on est le chef de la bande, que doit-on faire lorsque votre amoureuse est dans l'équipe adverse ?
C'est un véritable bain de jouvence que French Kiss 1986. Raconté par étapes, tous les ingrédients d'un grand film sont présents : L'idée, l'enrôlement, les batailles, les traîtres, sans oublier l'amour. On n'est pas loin d'une guerre des boutons qui se passerait au Québec (expressions incluses). Tous les moyens sont bons pour tromper l'ennemi. Si "La Rousse" s'en tire très bien, Etienne (futur) père de Leïa et Lucas a quelques difficultés avec son rôle de chef. En effet, il est amoureux d'une jolie brune prénommée Marie. Seul souci, elle est dans le camp adverse. Il va tout tenter pour l'approcher. Ecrit par chapitre, on ressent bien les émotions contradictoires des personnages, le lecteur pourra replonger en enfance, à la recherche de ses premiers amours.
Côté graphique, Michel Falardeau nous offre un trait "cartoonesque". Des silhouettes filiformes, des expressions exagérées... C'est un graphisme particulier mais comme nous sommes dans le monde de l'enfance, de l'imaginaire et des souvenirs, ça passe très bien. Tous les garçons ont des "gueules", alors que les filles entrent dans le monde féminin. Chaque partie est illustrée par une affiche de films parodiée. Saurez vous les retrouver ?

Pour ce mois d'aout, French Kiss 1986 est un album rafraîchissant où les souvenirs d'enfance se superposent à cette histoire. A déguster à l'ombre et, pourquoi pas, le faire partager aux enfants.

FRENCH KISS 1986
AUTEUR : MICHEL FALARDEAU

COLLECTION : GLENAT QUEBEC
EDITIONS : GLENAT
Lien : http://temps-de-livres.over-..
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critiques presse (4)
LaPresse
15 janvier 2013
Michel Falardeau (Mertownville, Lucky) use d'un humour qui flirte habilement avec la dérision et l'ironie pour égayer ce récit à cheval sur deux époques, aussi marqué par un amour «impossible».
Lire la critique sur le site : LaPresse
Sceneario
16 octobre 2012
Très vite, le lecteur se prend au jeu, et va suivre pendant près de 140 pages le déroulement d'une aventure épique sans pouvoir s'en détacher. […] Au service de ce scénario solide, le trait et les couleurs de Michel Falardeau font des miracles.
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
04 octobre 2012
La conclusion du récit est à la hauteur de l’ensemble : toujours fraîche et quelque peu surprenante. À un point tel qu’on se surprend à relire une bonne partie de l’histoire, pour se rendre compte à quel point on s’est pris au jeu, ignorant le piège […] dans lequel on s’est engouffré tête baissée.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BulledEncre
24 septembre 2012
L’auteur canadien réalise 160 planches dans son style graphique habituel mais cette fois en utilisant uniquement deux couleurs, ce qui rend l’ensemble original.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Même si tu aplatis comme une galette ton pâté chinois, même si tu le tasses dans un coin, même si tu le demandes très fort au père Noël, il ne disparaîtra pas.
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Wir-note Gonna tai-kit ! Willow, youn note atatai-kit... ...Wir-note Godda tai-kit... ...Animâl !!!
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Vous vous z’êtes-tu donnés des bisous ?!
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