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Hippolyte Fauche (Traducteur)
(01/01/1863)
5/5   1 notes
Résumé :
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Dans les commencements des yougas, chaque espèce d’êtres se manifeste à son tour : ainsi les caractères des saisons apparaissent dans la révolution d’une année avec leurs formes diverses. De même que tourne sans commencement ni fin dans le monde la roue de ses révolutions : ainsi roule, sans commencer ni finir, la cause de la naissance et de la destruction des êtres. 29—40.

» La création des Dieux fut de trente-trois mille trois cent trente-trois individus par une évaluation abrégée.

» Le fils du ciel fut Vrihatbhânou, le soleil, appelé encore Tchakshouratman, Vibhâvasou, Savitri, Saritchlka, Arka, Bhànou, Açâvaha et Ravi. 41—42.

» Les terres jadis sont nées de tous les soleils ; le plus éminent parmi eux, c’est Dévabhrâdj ; le fils de celui-ci porte le nom de SoubhrâdJ. 43.

» Trois fils d’une vaste renommée et pères de nombreuses familles naquirent à Soubhrâdj : ce furent Daçadjyotis, Çatadjyotis et Sahasradjyotis. Le magnanime Daçadjyotis eut dix mille fils ; Çatadjyotis engendra ici dix fois autant d’autres fils, et Sahasradjyotis, qui plus est, en eut lui-mème dix fois autant ! C’est d’eux qu’ont pris naissance la race de Kourou, des Yadouides et de Bharata, la famille d’Yayâti et d’ikshvâkou, la lignée entière des Râdjarshis, les races nombreuses et les vastes générations des êtres ; toutes les habitations des êtres animés, ce qui regarde le mystère contenu en trois lettres, les observances du Véda, la distinction, le devoir, l’intérêt et l’amour. 44-48.

» Le rishi a passé en revue les divers Traités, qui roulent sur l’amour, l’intérêt et le devoir, ainsi que toutes les lois, qui régissent la marche du monde. Les histoires, les commentaires, les traditions, enfin tout caractère du poème fut exposé là dans son ordre. Quand il eut fini de resserrer et d’étendre : « Les sages désiraient, en vérité ! dans le monde, se dit le vénérable, cette vaste science, qui porte en elle ses abrégés et ses développements ! » Certains brahmes lisent le Bhàrata en commençant par l’épisode de ManOu, quelques-uns par celui d’Astika, ceux-là par celui d’Ouparitchara ; il en est qui le lisent entièrement.
Les savants, habiles, les uns à raconter, les autres à retenir les vers du poème, font resplendir la science variée de ce docte recueil 49—68.

Après qu’il eut disposé, à force de pénitences et d’instruction théologique, l’éternel Véda, le petit-fils de Satyavatî, le fils de Parâçara, le savant brahmarshi, fidèle à son vœu, se mit à rédiger cette sainte histoire. Quand il eut achevé ce narré sans pareil : «Comment instruirai-je ici mes disciples ?» pensa le brillant Dwalpâyana. A ta vue de cette pensée dans l’esprit de l’anachorète, Brahma, l’instituteur fortuné des mondes, descendit ici-bas de soi-même par amitié pour le rishi et par affection pour le bien du monde. A son aspect le rejeton de Vâsavî, environné par tous les groupes des solitaires, sourit, s’inclina, ses mains réunies en coupe, et lui offrit un siège. Il décrivit un pradakshina autour d’Hiranya-garbha, assis sur le siège d’honneur, et se tint respectueusement à côté de son fauteuil ; puis, sur l’invitation de Brahma-Paraméshthi, Krishna s’assit joyeux près du siège avec un candide sourire. L’anachorète à la grande splendeur : « C’est moi, bienheureux, dit-il à Brahma-Paraméshthi, qui ai fait ce poème tenu en fort grande estime. J’ai fondé aussi, Brahma, un autre mystère, celui des Védas, avec les œuvres développées des Angas, des OupanishadS et des Yédântas ; par mes soins, les histoires et les Pourânas ont ouvert les yeux, et le passé, le présent et l’avenir, cette triade fut ce qu’on appelle le temps. J’ai défini la vieillesse, la mort, la crainte, la maladie, l’être et le non-être, le caractère de la vertu en ses diverses formes et celui des ordres religieux, les règles pour les quatre classes et celles des Pourânas entièrement, celles de la pénitence, du noviciat, de la terre, du soleil, de la lune, la mesure des étoiles, des constellations, des planètes avec les quatre âges, les Rig, Yadjous, et Sâma, esprit suprême du Véda ; l’étude du Nyâya, la médecine, le don suivant la manière des sectateurs de Çiva ; la naissance appelée divine et humaine, quoique égale par la cause ; la description des tîrthas et des lieux saints, des rivières, des montagnes, des forêts et de la mer ; l’art des combats dans les antiques âges et les kalpas divins, les différences des espèces de langage, la marche des affaires mondaines, l’essence, qui est répandu partout et se communique à tout : enfin, il n’existe pas sur la terre un écrivain, qui ait traité déjà ces matières. » 54—70.

— «Je pense, dit Brahma, que la connaissance de la science des mystères t’élève au-dessus de la foule distinguée des solitaires, quelque distingués qu’ils soient par la pénitence. Je connais depuis le commencement ta véridique parole, qui a pour sujet Brahman : ce poème, comme tu l’appelles, sera donc le poème par excellence. De même que les trois autres états sont incapables de faire ce qui distingue le maître de maison ; ainsi nul poète n’est capable de produire ce qui distingue ce poème. Pense à Ganéça, anachorète, pour la tâche d’écrire cette œuvre. »
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Honorez d’abord Narâyana, et Nara, le plus éminent des hommes, et la Déesse Sarasvatî ; ensuite, récitez ce poème, qui donne la victoire !

Un jour, le rejeton de Soùta, Ougraçravas, fils de Lomaharshana et versé dans les Pourânas, se rendit chez les Brahmarshis aux vœux parfaits, doucement assis dans le sacrifice de douze années, que célébrait le chef de famille Çâaunaka au sein de la forêt Nêmisha. Le petit-neveu de Soûta s’inclina devant eux avec modestie ; et, pour écouter de merveilleuses histoires, les anachorètes d’environner cet hôte, arrivé dans l’hermitage des habitants du bois Nêmisha. Les mains réunies en coupe, il salua tous ces vertueux solitaires, et, traité par eux avec honneur, il s’informa des progrès de leur pénitence. Après que tous les anachorètes se furent assis, le Lomaharshanide gagna d’un air modeste le siège, qu’on lui désigna ; mais, quand ils le virent assis lui-même à son aise et délassé, un d’eux prit la parole et lui demanda quelques récits : «D’où viens-tu, rejeton de Soûta ? en quel pays as-tu passé le temps ? Réponds, brahme aux yeux de lotus, à cette question de moi ? » 1—7.

Le Lomaharshanide, ainsi interrogé, de parler avec décence et vérité. Ougraçravas, qui avait le talent de la parole, tint en cette nombreuse assemblée de saints anachorètes ce langage assorti à leur caractère :

« Dans le sacrifice des serpents, qu’offrit le magnanime Djanamédjaya, le rishi des rois, Krishna-Dwaîpàyana jadis a raconté exactement différentes histoires bien pures en la présence même de Pârîkshita, le roi des rois : ce sont elles, qui furent ensuite fidèlement répétées par Vaîçampâyana. J’ai ouï raconter moi-même ces histoires de natures diverses, réunies dans le Mahâ-Bhârata ; et, quand j’eus visité de nombreux et renommés tîrthas, je suis allé dans ce lieu saint, hanté des anachorètes, et, nommé le Champ-de-bataille-de-tous, où fut livré jadis le combat des Kouravas et des Pàndouides et de tous les souverains. Le désir de visiter vos saintetés m’a conduit en cet hermitage. Tous, vous êtes vénérables à mes yeux, je vous regarde tous comme entièrement unifiés avec l’Être absolu ; vous avez tous une grande part à ce sacrifice, vous qui possédez la splendeur du soleil ou du feu. Purifiés par les ablutions, vos prières récitées, vos oblations versées dans le feu sacré, brahmes, que vous dirai-je, tandis que vous êtes là tranquillement assis sur vos sièges ? Est-ce de saints récits, qui ont pour fondement les Pourânas, qui ont pour base l’intérêt et le devoir, c’est-à-dire, l’histoire des monarques et des magnanimes rishis ? » 8—16.

« Ce que nous désirons entendre, c’est l’histoire, qui fut racontée jadis par Dwaîpâyana, le plus grand des pénitents, répondirent les anachorètes, et dont le récit, écouté par les Dieux et les Brahmarshis, en reçut les applaudissements. C’est la sainte collection de l’œuvre admirable de Vyâsa, conforme aux quatre Védas, le meilleur des récits, composé de chapitres en mètres différents, où respire la plus fine logique, et dont la parure est le sens des Védas ; collection pure, enlevant la crainte et le péché, formée des sujets entrelacés d’un itihâsa, qui est la substance du Mahâ-Bhârata, revêtue de tous les ornements, augmentée de nombreux Çâstras, elle, qu’a inspirée Brahma, et que Vaîçampâyana a fidèlement racontée au roi Djanamédjaya par l’ordre de Dwaîpâyana avec l’approbation des rishis. »

Le Soûtide répondit ; « Quand j’aurai d’abord fait hommage à l’Homme primitif, Içana, très-adoré, très-loué ; à l’Être absolu, droit, éternel, révélé et irrévélé essence de Tineffable monosyllabe, non - existant, ou plutôt qui est et qui n’est pas, qui est tout, qui est supérieur à ce qui existe et n’existe pas ; au créateur antique, suprême, impérissable de ce qui a précédé ou qui a suivi ; à Vishnou, appelé aussi Hrishikéça et Hari, le chef des êtres, le seigneur de ce qui se meut et ne se meut pas, pur, sans péché, heureux, qui donne le bonheur ; j’exposerai ensuite l’idée sainte de l’œuvre admirable du magnanime Vyâsa, l’éminent rishi, honoré ici par tous les mondes ; cette histoire, que plus d’un poète a déjà racontée, que d’autres en ce moment racontent et que d’autres encore raconteront après eux sur la terre ; cette vaste science, renommée dans les trois mondes et bien-aimée des sages, qui vit dans les abrégés et les développements des brahmes, qui est ornée de limpides expressions, qui renferme les paroles des Dieux et des hommes, qui marche accompagnée par la variété des mètres et des vers. 17—28.

» Au temps, où ce monde était sans lumière, invisible, enveloppé de tous côtés par les ténèbres, un œuf énorme, immortelle semence des créatures, fut créé au commencement de l’youga : il est nommé le Divin-grand. En lui était, avons-nous appris, la vérité, la lumière, l’éternel Brahman, cause indistincte, subtile, merveilleuse, étendue également de toutes parts, inaccessible à l’esprit même, essence de ce qui est et n’est pas. De lui naquirent le suprême-aïeul, le seul prééminent, Pradjapati, Brahma, Souragourou, Sthànou, Manou, l’Ether et Paraméshthi. Après eux sortirent les Prâtchétasas, Daksha et les sept fils de celui-ci ; ensuite les vingt-un maîtres des créatures, l’Homme ou l’âme universelle, que tous les rishis connaissent, les Viçvadévas, les Adityas, les Vasous, et même les deux Açwins, les Yakshas, les Sâdhyas, les Piçâtchas, les Gouhyakas et les Pitris. Ensuite éclorent les sages, les plus grands des éminents Brahmarshis, les Râdjarshis nombreux et doués de toutes les vertus, l’eau,le ciel, la terre, le vent, l’atmosphère et les points cardinaux ; puis, tour à tour, les nuits, les jours, les quinzaines, les mois, les saisons et l’année ; enfin, toute autre chose, dont est composé le monde exposé aux yeux, et tout ce qu’on voit existant parmi les êtres mobiles et immobiles. Arrivé à la fin d’un youga, le monde entier se résout et rentre là, d’où il est sorti.
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L’autre était une fille, elle se nommait Girikâ, il en fit son épouse. Les jours de son mois arrivés, la jeune reine se baigna, elle se purifia en vue de la conception et fit informer son époux de ce moment propice à l’amour. 2371.

Mais ce jour même, ô le plus distingué parmi les êtres doués de l’intelligence, les mânes souriants de ses pères avaient dit à ce plus vertueux des rois : « Va tuer des gazelles ! » 2372.

Et le prince, obéissant à cet ordre de ses pères, s’en alla chasser, brûlant d’amour et l’âme toute occupée de Girikâ, qui était douée d’une extrême beauté et semblait une autre Lakshmî, visible aux yeux des mortels. 2373.

C’était la saison du printemps. II arriva dans un bois semblable au jardin d’Indra, tout plein d’açokas, de tchampakas, de nombreux tchoûtas, d’atimouktakas, de karnikâras, de vakoulas aux fleurs roses célestes, de bignonnes à la suave odeur, de cocotiers, de sandals, d’arjounas et d’autres grands arbres délicieux, purs et chargés de fruits savoureux. Les chants des kokilas remplissaient la forêt et les abeilles bourdonnaient, ivres de nectar. 2374-2375-2376.

L’amour assiégeait son âme de tous les côtés et nulle part il ne voyait Girikâ. Il promenait çà et là, consumé d’amour, sans la voir, ses pas capricieux. 2377.

Il vit un açoka aux longues branches toutes revêtues de fleurs, embelli de jeunes et tendres pousses et caché, pour ainsi dire, sous ses faisceaux de fleurs. 2378.

Le monarque s’assit mollement à son pied sous l’ombrage ; et le vent, dont le souffle lui portait le ravissement du parfum des fleurs, mêlé aux senteurs du nectar des calices, lui insinuant de pécher, il cédait à la fascination du plaisir. 2379,

Il reprit donc sa marche dans la forêt touffue, et la semence, malgré lui, s’échappa ; mais à peine eut-elle sorti qu’il la recueillit sur la feuille d’un arbre : « Tâchons, se dit-il, qu’elle n’ait pas coulé en vain ! » 2380.

« Ta semence ne sortira pas inutilement ! » dit la règle. C’est le jour de mon épouse, celle-ci n’aurait donc pas été vaine !» Ainsi parlait l’auguste promeneur. 2381.

Tournant et retournant mainte et mainte fois ces pensées en lui-même, cet excellent roi imagine un moyen, qui puisse remédier au mal. 2382.

Le prince, qui n’ignorait pas la vraie nature des choses et connaissait le devoir dans ses parties les plus déliées, voit que le moment presse d’envoyer cette liqueur à son épouse ; il enchante ce fluide ; puis, il s’approche d’un faucon aux rapides ailes, perché près de lui, et dit : 2383.

« Ami, rends-moi ce service ; prends ma semence, porte-la à mon palais et donne-la à Girikâ, car ce jour est pour elle celui propre au but du mariage. » 2884.

Le faucon prend la feuille, s’envole à tire d’ailes et le rapide oiseau fuit, déployant sa plus grande vitesse.
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» La Gautamide eut un fils, de qui je suis le père : c’est le redoutable Açwatthâman aux héroïques exploits et d’une splendeur égale au soleil. 5182.

» Je fus aussi heureux par ce fils, que Bharadwâdja le fut par moi. Un jour, dans son enfance, Açwatthâman vit les fils d’un homme opulent boire du lait de vache ; il se mit à pleurer, et son chagrin confondit à mes yeux tous les points cardinaux du ciel. 5183.

« Un maître de maison ne périra pas, me dis-je, s’il ne sort pas de son devoir. » Quand j’eus roulé cette pensée dans mon esprit, je parcourus maintes fois la contrée. 5184.

» J’eus beau promener mes pas d’un bout à l’autre bout, nulle part je n’obtins une vache, moi, qui désirais, fils de la Gangâ, ce don, pieux honoraire de mes fonctions. 5185.

» Alors ses jeunes compagnons de tenter ses désirs avec une eau, qu’ils avaient blanchie au moyen de la farine. A peine eut-il bu ce mélange de farine et d’eau qu’il s’écria : « J’ai bu du lait ! » 5186.

» Il se leva et se mit à danser dans une folie d’enfantillage. Quand je vis mon fils, tombé dans un état ridicule, danser, environné de ses jeunes camarades, je sentis ma fermeté d’âme, qui m’abandonnait. « Fi du pauvre Drona qui n’arrive pas à trouver la richesse ! 5187-5188.

» Lui, de qui le fils, ayant soif de lait, a bu de l'eau enfarinée et s’est mis à danser, transporté de joie, en s’écriant : « J’ai bu du lait !... » 5189.

» Dès que je les entendis s’entretenir de cette manière, ma raison s’envola : je me blâmai moi-même, et j’en vins à concevoir de moi les pensées qu’ils en avaient conçues.
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» L'épouse est habile dans les choses de la maison ; c'est l'épouse, qui donne à son époux des enfants ; la vie de l'épouse, c'est son époux ; sa religion, pour ainsi
dire, c'est encore son époux. 3027.
» L'épouse est la moitié de l'époux, l'épouse est le plus dévoué de ses amis, l'épouse est la racine du Paradis, l'épouse est la racine du sauveur de son époux. 3028.
» Ceux, qui ont des épouses, ont accompli tous les sacrifices ; ceux, qui ont des épouses, ont l'intelligence des affaires domestiques ; ceux, qui ont des épouses, ont la joie chez eux ; ceux, qui ont des épouses, possèdent la félicité. 3029-3030.
» Êtes-vous délaissés, elles vous restent pour amis. leur bouche est remplie de paroles aimables : les pères sont dans les choses du devoir, les mères sont pour consoler l'infortune. 3030.
» Une épouse est le délassement de celui, qui voyage en des routes pénibles. L'homme, qui a une épouse, possède tout ce qui peut relever son courage ; l'épouse est la voie suprême. 3031.
» Marche-t-il seul en des sentiers raboteux, s'avance-t-il même dans l'empire des morts, une épouse fidèle suit à jamais son époux ! 3032.

[...]

» Les hommes, consumés par les soucis de l'esprit et souffrant des maladies, trouvent un soulagement dans leurs épouses, comme ceux, que la chaleur accable, en trouvent dans les eaux. 3037.
» Quelque irrité qu'il soit contre les femmes, un homme ne leur fait jamais de mal ; car il a vu que sa volupté, sa joie, son devoir, tout leur est soumis. 3038.
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