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sur 7778 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un quartier miséreux de Naples dans les années 50. C'est l'après-guerre, les mentalités sont encore lourdes de ressentis les uns envers les autres, chaque famille tente de survivre à la pauvreté. Deux petites filles se rencontrent à l'école et ne se quitteront plus même si leur destin s'individualisera : Lila à l'esprit brillant mais de caractère méchant, et Elena qui la prend pour modèle. On les suit au gré de leurs peurs et de leurs rêves les plus intimes jusqu'à leur adolescence.

J'ai dû me forcer pour aller au bout de cette lecture avec de longs passages inutiles, des pages entières où il ne se passe pas grand-chose. La narratrice, Elena, m'agaçait vraiment à ne pas savoir ce qu'elle voulait, d'humeur toujours changeante et si facilement manipulable... Elle fait des études réussies mais on a comme l'impression qu'elle n'apprend rien car on la retrouve ensuite tellement naïve et incapable de penser par elle-même que cela en est navrant.
L'auteur se plaît à composer des analyses psychologiques dépourvues d'intérêt puisqu'elles se retrouvent caduques au chapitre suivant quand le personnage a encore changé d'avis et d'humeur ! cela amène des longueurs et de l'ennui, et au final le récit ne progresse nullement.
Je suis parvenue à le finir avec l'espoir de découvrir le fin mot du mystère évoqué dans les premiers chapitres, pour me souvenir ensuite que cette histoire est composée de plusieurs tomes… Non, je n'aurais pas l'envie de les parcourir ! le style sans originalité m'en dissuade et cette histoire m'apparait trop comme une suite de clichés juxtaposés. Sans parler des personnages secondaires qui passent à la trappe de tout traitement psychologique et n'ont pour ainsi dire qu' un rôle décoratif ce qui est regrettable. La Naples de l'époque se trouve réduite à bien peu de choses hélas...

Après de nombreux avis si divergents sur Babelio, je me suis fait mon propre avis.
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A Naples, à la fin des années 50, Elena Greco et Lila Cerullo deviennent amies. Leurs familles sont très modestes de même que le quartier où elles grandissent. Pour s'élever dans la société, il faut faire des études comme Elena parvient à le faire contre l'avis de sa famille mais avec l'aide de Lila, ou se marier avec un homme riche, ce qui sera le cas de Lila après plusieurs péripéties. Mais leur amitié est parfois mouvementée car la jalousie, notamment d'Elena envers Lila, vient souvent jouer les trouble-fête. Dans ce quartier napolitain, l'envie conduit à beaucoup d'excès et de violence, surtout que les habitants vivent un peu en vase clos.

J'ai énormément entendu parler de L'amie prodigieuse depuis sa parution et je ne voulais pas passer à côté d'une lecture qui faisait autant parler d'elle. Je me suis donc décidée à découvrir ce roman.
Malheureusement, j'ai été bien déçue de cette lecture qui m'a paru difficile et fastidieuse à tel point que j'ai failli abandonner plusieurs fois. Il y a énormément de personnages dans cette histoire et malgré l'index en début de roman (que je n'ai pas pensé à consulter très souvent, je le reconnais), je me suis vite perdue.
De plus, le roman est construit autour d'une multitude de petites scènes sans forcément grand lien les unes avec les autres, il n'y a pas de réelle continuité et cela rend la lecture difficile à suivre, éparpillée et moins intéressante.
Les sentiments de la narratrice pour son amie entre autres sont souvent contradictoires et confus à comprendre, du coup je ne me suis pas attachée à elle comme j'aurais pu le faire.
La couverture de l'exemplaire que j'avais emprunté à la médiathèque de ma commune n'est pas appropriée à l'histoire j'ai trouvé car elle représente un visage de jeune fille à la peau très claire et aux yeux bleus (et un autre visage qu'on peut deviner assez ressemblant) alors que les deux personnages principaux féminins sont d'origine méditerranéenne, donc à la carnation foncée et aux yeux sombres.
Mon avis est donc très différent de celui des lecteurs pour qui ce roman est un chef d'oeuvre, je n'ai malheureusement aucune envie de lire la suite des aventures d'Elena et de Lila...
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Honnêtement, l'entame du livre (L'enfance) m'a bien plu et j'ai bien aimé en particulier le lien qui se nouait alors entre les deux fillettes, petites poucettes, Lenù et Lila, ainsi que la figure de l'ogre en la personne de Don Achille. Ce quartier populaire de Naples où l'on se parle en dialecte et où beaucoup peinent à parler l'italien me rappelait l'atmosphère de Montedidio de Erri de Luca, un livre que j'avais adoré. Hélas cette impression n'a pas duré très longtemps. Déjà dans cette première partie, je trouvai que l'auteur n'exploitait pas suffisamment les situations qu'elle avait imaginées comme celle des deux gamines montant l'escalier vers l'appartement de Don Achille ou bien l'épisode des deux poupées tombées dans la cave de l'Ogre. Mais ça n'allait pas s'arranger par la suite...
Dès le début de "L'adolescence", les positions se figent rapidement : à Lenù, les brillantes études et à Lila, la surdouée, le rôle de passionaria du quartier, qui mène sa troupe de prétendants à la baquette. Franchissant les limites du quartier Lenù va pouvoir s'instruire et s'émanciper mais le lien fait d'admiration et de dépendance qui l'unit à son amie Lila, la sauvageonne, va perdurer au fil des années. Une fois la distribution des rôles faite, j'ai eu le sentiment d'évoluer dans un décor, certes joliment dessiné, mais très artificiel, comme ces reconstitutions historiques où les pavés sont trop luisants, les devantures de magasins trop apprêtées et les chromes de voitures trop clinquants. Elena Ferrante écrit bien mais trop facilement, à mon gré. Ca manque de nerf, de changement de rythme, de surprise, d'originalité ... de littérature en sorte ! Au bout du compte, on est loin, très loin de la force de Montedidio de De Luca.
Même si je ne me suis pas ennuyé à lire ce premier tome, je doute que je prolonge cela pendant 3 autres tomes encore. Elena, Lenù, Lila, sans rancune, je vous souhaite de belles aventures. Ciao bella !
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Ce roman m'attirait à la fois par le côté historique et sociologique que je pensais y trouver (une plongée dans les années cinquante d'un quartier pauvre de Naples) et par son côté italien justement, avec toutes les idées (les poncifs peut-être) qui s'y rattachent : émotions à fleur de peau, paroles vives, échanges truculents, gestes violents, secrets pesants, hommes dominateurs et séduisants, femmes manipulatrices et séduisantes, honneur en toile de fond de chaque mot, chaque geste, chaque secret, chaque regard entre hommes et femmes...

Finalement, me voici bien déçu : le style est plutôt plat, pour ne pas dire fadasse. Quant au côté historique, sociologique, il est bien maigrichon. Sans doute est-ce justement lié à l'écriture : tout n'est qu'ébauché, rien n'est approfondi ; les renversements de situation se font comme tourne le vent : d'une page à l'autre, on est ami, puis ennemi, sans plus d'explication ; on se passionne pour les livres, puis on les délaisse, on jure qu'on ne reparlera plus à untel, puis on va vers lui ; et à chaque fois, aucune explication, ni pour comprendre une façon d'agir ni pour saisir le sens de celle qui lui est l'exacte opposée.
Les personnages qui vivent ces revirements sont eux aussi totalement plats : on ne va jamais au fond des choses, au fond des coeurs : les sentiments sont annoncés avec de grosses étiquettes collées dessus (Lina est méchante, Lenù est impressionnée par Lina, tous les garçons sont amoureux de Lina, Lenù est jalouse...) Mais d'où viennent exactement ces sentiments ? Je ne sais toujours pas après le point final. Rien, aucun détail, aucune scène dans laquelle l'auteur aurait fait l'effort d'insuffler au lecteur, par la description d'un événement ou par un dialogue subtilement mené, le ressenti de ce qui passe entre les personnages. Alors on les voit défiler, changer d'avis, de passion, d'amis, d'amours, comme on regarde passer des trains. On lit la destination marquée dessus, sans ressentir l'envie de se laisser embarquer dans le voyage.
Bien sûr, de temps en temps l'auteur nous promet des secrets, de ces blessures que l'on cache et qui aident à comprendre, le jour où elles se révèlent, pourquoi celui qui les porte avait ce caractère si excessif (méchanceté, jalousie, timidité...). Mais finalement, aucun de ces secrets ne transparaît jamais.... et semble n'être, au bout du compte, que des artifices scénaristiques. Il faut se contenter des étiquettes. Lina est méchante. Contente-toi de ça. Même si on ne la voit jamais agir vraiment méchamment.

Dans un autre ordre d'idée, j'aurais cru que l'on entendrait parler de la mafia, dans ce roman, ou encore des rapports difficiles entre des clans de bords politiques opposés. J'imaginais que Naples, à cette époque, devait retentir bien souvent d'éclats qui trouvaient leurs sources dans ce genre de tensions... Mais, là encore, rien : à peine évoque-t-on l'étiquette "communiste" de l'un, les antécédents fascistes du père de l'autre ou les accointances mafieuses d'un troisième... et puis c'est tout. Comme si aller plus loin aurait demandé trop d'efforts. Comme si poser des mots usés, galvaudés, mais que tout le monde connait, et surtout sans chercher la vie qui peut se cacher derrière, cela pouvait suffire pour faire un roman. Mais non : à mon sens, c'est trop léger. A peine cela peut-il faire un mode d'emploi. Mais dans ce cas, on parle de machines, pas de personnages.

Elena Ferrante a donné une suite aux "aventures" de Lina et Lenù. Mais il y a peu de chances que j'aille vérifier ce qu'elles sont devenues. Et, franchement, elles ne me manqueront pas.
Lien : http://sebastienfritsch.cana..
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Lila par-ci, Lila par-là... Ouf ! j'ai enfin terminé le premier tome de L'amica geniale.
Elena Greco, la narratrice, fait un bond dans le passé après la disparition de son amie Lila et entreprend de nous raconter l'histoire de leur amitié. Elle commence donc dans l'enfance, dans un quartier pauvre de Naples, à l'époque où Lila était méchante et l'effrayait. de fil en aiguille, un lien se crée entre les deux filles. Drôle de lien, que j'ai du mal à qualifier d'amitié, ou du moins pas en ce qui concerne les premières années. Elena semble ne vivre que par Lila, que pour Lila. Qu'est-ce que Lila va penser? Est-ce que pour une fois je vais réussir à faire mieux que Lila? Réussirai-je un jour à dépasser Lila? Pourquoi Lila est comme ci et moi comme ça? Il faut dire que la Lila en question est surprenante : contrairement aux parents d'Elena, les siens refusent qu'elle aille au-delà de l'école élémentaire mais qu'à cela ne tienne, elle emprunte des livres à la bibliothèque et étudie en cachette les matières qu'Elena suit dans l'enseignement secondaire. Et devinez quoi? Lila est trop forte, Lila retient tout, comprend tout, toute seule, juste avec les livres, sans l'aide d'aucun professeur. Si Elena se console temporairement en se disant qu'après tout, Lila ressemble encore à une petite fille tandis qu'à elle arrivent les premières règles et les formes, elle déchante bientôt. Evidemment, avec un peu de retard, Lila devient plus belle qu'elle et même plus belle que toutes les autres filles du quartier.
Le lecteur, quant à lui, comprend assez rapidement ce qu'Elena ne découvrira dans les paroles de Lila à la toute fin du livre. Elle est jeune et n'a pas le recul nécessaire pour se rendre compte qu'en réalité, Lila a beau être très jolie et apprendre le grec ancien en autonomie, elle jalouse Elena qui a pu continuer à étudier. Pour Lila, Elena est "l'amica geniale", l'amie prodigieuse.

Elena, donc, m'a gonflée pendant les trois quarts du roman pour, finalement, se rattraper sur la fin quand elle commence à examiner d'un oeil plus critique et plus mature les enjeux de la vie du quartier. Aussi je ne sais pas si je lirai la suite de la saga.
Il n'en reste pas moins que L'amica geniale est une belle étude du fonctionnement des relations interpersonnelles dans un petit quartier de Naples, ville dont la culture se distingue encore aujourd'hui du reste de l'Italie.

Challenge ABC 2021/2022
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Le problème est toujours plus ou moins le même avec les livres au succès retentissant : tu brûles d'envie de les lire, tout en ayant peur de passer à coté et ne pas comprendre le phénomène, mais… on est d'accord, tu finis toujours par craquer.

C'est exactement ce qu'il s'est passer pour moi avec L'Amie Prodigieuse d'Elena Ferrante. Cette grande fresque sur l'amitié liant Elena et Lila dans une Italie napolitaine des années 50 m'a toujours fait un peu peur. Il y avait tant d'enthousiasme dans les retours de lecture, que j'ai préféré attendre que les choses se tassent un peu avant de le lire et m'en faire ma propre opinion.
C'est donc des plombes après tout le monde, comme bien souvent, que j'ai lu le premier tome de cette quadrilogie (ça se dit, dit?!).

Je ne vais pas vous en faire un résumé trop long : nous suivons dans ce premier tome Elena et Lila. Ce sont deux petites filles (de 10 à 16 ans environ dans ce premier tome) qui vivent à Naples en Italie dans les années 50. Elena et Lila sont brillantes et studieuses et une amitié lie rapidement les deux jeunes filles. Si Elena poursuit ses études, soutenue par ses parents et professeurs, Lila, malgré sa précocité et ses facilités, abandonne ses études pour travailler dans la cordonnerie de son père. Pourtant, elle nourrit de grandes ambitions.
Comment vous parler de ce roman, pour lequel j'ai eu des sentiments diamétralement opposés. Je ne peux pas dire avoir détesté, mais ce livre me laisse perplexe à plus d'un titre et ne me donne pour le moment, aucunement envie de me jeter sur les 3 autres tomes.

Tout d'abord, j'ai failli abandonner dans les 150 premières pages ! Merci aux amis lecteurs d'instagram qui m'ont encouragée à poursuivre !

En effet, j'ai d'abord été noyée par la profusion de détails. Certes, ils participent à créer cette ambiance particulière, moite et pleine de langueur, mais franchement, par moment, c'était carrément chiant, on ne va pas se le cacher ! J'avais envie de lire en diagonal ou sauter certains passages. C'était vraiment long et surtout je n'ai pas eu le sentiment que cela me mette d'avantage dans l'ambiance et la chaleur italienne. Cette Italie que j'aime tant, je ne l'ai malheureusement pas ressentie à travers les pages. Or, c'était une des raisons qui me poussait à lire ce roman. J'aime tellement ce pays, cette culture, que je souhaitais y retourner un peu. Mais non, je suis bel et bien restée chez moi !

Mais ma plus grande déception concerne le fond. J'avais le sentiment que ce livre nous était présenté comme la grande fresque d'une amitié complice et indéfectible entre Elena et Lila.

Mais… Mais qu'est ce que c'est que cette amitié ? Et peut-on d'ailleurs qualifier cette relation ainsi ? Une relation faite de comparaison, de compétition, de subordination parfois... Ça me dépasse ! Ça n'a rien à voir avec l'amitié ça ! Certes, il y a certainement un fond de vérité absolue dans cette description. Et certes, nous avons parfois une certaine ambiguïté dans les sentiments ressentis pour nos proches.

Mais là, la comparaison est constante. Et Elena se réjouit intérieurement presque constamment des échecs de Lila. Bref, cette vision des choses, largement appuyée et constante dans le roman m'a littéralement exaspérée ! J'avais le sentiment de lire l'épopée d'une compétition féminine et non celle d'une amitié. Certes, les choses doivent s'ancrer et s'approfondir dans les prochains tomes, mais cette vision des relations m'a tellement énervée, que je n'ai aucunement envie de poursuivre !

Pour les points positifs, parce qu'il y en a quand même, je dois admettre que l'écriture d'Elena Ferrante a quelque chose d'hypnotique, qui me donnait envie de poursuivre. Presque tout m'exaspérait, mais je continuais à lire quand même. Il y a une sorte de fluidité dans l'écriture. Finalement, la profusion de détails, en plus de t'exaspérer, te donne envie de poursuivre, car tu te dis que l'auteur, a un moment donné, va bien finir par arriver à la profondeur de sentiments que tu attends.

D'autre part, il y a à travers les pages un peu de cette mentalité d'autrefois, propre aux pays méditerranéens : une sorte de domination masculine qui n'est finalement que surface. Les femmes ont parfaitement conscience de cette situation et manoeuvre en sous-main pour finalement aboutir à ce qu'elles souhaitent. Cela donne cette ambiguïté que j'aime tant : la culture de l'époque voulait que les hommes décident, mais tout le monde sait bien que ce sont les femmes qui portent la culotte dans une famille !

Bref, tu l'auras noté, ce roman qui a fait tant couler d'encre, ne m'aura absolument pas séduite ! Quatre tomes, c'est beaucoup trop pour moi, vu comme j'ai lutté pour terminer le premier !
Lien : https://www.lespetiteslectur..
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J'ai cédé aux sirènes des dithyrambes publiques et privées sur ce « phénomène ». Aux convaincus : je reste sur ma faim et suis d'autant plus sévère ; face à toutes ces éloges, j'attendais beaucoup mieux.
C'est vrai, la lecture est rapide et fluide, facile. L'attachement aux personnages est rapide, j'ai une affection toute particulière pour Lila dès les premières pages. D'ailleurs c'est le seul personnage qui a du relief et du corps, le plus abouti.
L'histoire est intéressante, le début prometteur (j'ai bien aimé la raison pour laquelle Elena commence à écrire cette histoire), il n'y a pas à dire, les ingrédients d'un phénomène sont là….MAIS que c'est plat ! Je m'attendais dans l'écriture à retrouver le cocktail énergique d'adolescent, de la fougue, de la passion, des tourbillons d'émotions. Et bien non, ces années tumultueuses sont relatées avec les mots d'une femme mûre et posée avec le recul des années et donc une appréhension des faits plus édulcorée.
Quel dommage que ces lauriers et louanges ne soient pas revenus au remarquable @D'Acier, de Sylvia Avallone, beaucoup plus vivant, plus percutant, plus réel !
Je testerai peut être la suite, histoire de voir si le côté plan-plan se dissipe
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Je ne me suis pas précipitée sur cette série que je viens d'acquérir seulement en poche. Je ne peux pas dire que ce premier tome m'a déplu. Je ne peux pas dire non plu avoir adoré. Si je me suis prise au jeu de cette amitié destructrice autant que constructive entre les 2 héroïnes, je ne peux pas dire non plus que leur histoire m'ait profondément touchée. Bref, mi-figue mi-raisin, je vais poursuivre avec le tome 2, mais sans aucune impatience.
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bof bof, j'ai commencé ce livre avec enthousiasme, car il m'avait été chaudement recommandé par plusieurs amies. Je suis plutôt déçue... certes l'histoire est sympa, ce n'est pas mal écrit... mais bon, eu égard à tout ce que j'ai pu entendre sur cet ouvrage, je suis restée sur ma faim !
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Ce récit tout en couleurs dans le Naples des années 50 ne m'a pas franchement emballée.

L'ambiance est au rendez-vous et la narration fluide mais quelques (gros) défauts m'ont complètement gâché le plaisir, à commencer par des personnages beaucoup trop clichés - en particulier les deux héroïnes (la rebelle défavorisée et l'intello naïve) que j'ai trouvé plus têtes à claques qu'attachantes.

Le récit a son charme mais se traîne en longueur dans ce microcosme étouffant dont j'ai l'impression d'avoir rapidement fait le tour.
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