Le Pays de la liberté

Bonjour !
Aujourd'hui, descente dans la mine et combats de boxe au programme ; entre autres…
Nous commençons avec Mack, en Écosse, qui va se rebeller contre les conditions de travail dans les mines, où les ouvriers appartiennent aux patrons et sont traités aussi durement que les esclaves. Sa rébellion va être durement punie et il va devoir fuir pour conserver sa liberté. Son amie d'enfance, Lizzie, jeune femme de la haute société, anti-conformiste était l'amie d'enfance de Mack ; elle va l'aider un peu mais elle ne prend pas vraiment la mesure de la misère des ouvriers.
On retrouve Mack en Angleterre où il fait des combats de boxe pour gagner sa vie et où il va encore se battre contre les conditions de travail, mais des dockers cette fois-ci. Il croisera encore la route de Lizzie, qui entre temps a épousé Jay, le fils d'un riche bourgeois ; mais évidemment cette relation va vite la décevoir, surtout quand elle va se rendre compte de la véritable personnalité de son époux.
Et hop, Mack, suite à un complot se retrouve envoyé en Virginie pour des travaux forcés ; et devinez quoi ? Lizzie va partir en Virginie avec son époux… Quelle coïncidence !
Bref, la route de Mack et Lizzie va encore se croiser ; vont-ils s'apercevoir qu'ils sont faits l'un pour l'autre et réussir à unir leur destin ?
Bref, un livre sur les conditions de travail, qui semble intéressant au départ, mais que j'ai eu du mal à terminer… En effet, le côté eau de rose un peu sirupeux m'a un peu ennuyée. La belle femme riche et le pauvre ouvrier qui sont si différents mais qui finissent par s'aimer ; on l'a tellement vu que ça devient lassant. Pourquoi les auteurs et autrices se sentent obligés d'intégrer une histoire d'amour dans leur roman ? C'est dommage, ça obligé à s'écarter d'un sujet sur les conditions de travail qui était très intéressant et qui passe au second plan…
À lire pas trop confortablement installé(e), avec une thermos de café pour éviter de s'endormir, et quelques biscuits pour le réconfort. Bonne lecture !

Après "Apocalypse sur commande" et "Le troisième jumeau", je découvre avec "Le Pays de la liberté" une autre facette du talent de Ken Follett. Une chose est indéniable, c'est vraiment un écrivain multi-genres. Il officie ici dans ce que j'appelle un "roman" dans toute sa splendeur, exactement celui qui faisait battre mon coeur d'adolescente : la saga familiale avec la belle et rebelle héritière et le séduisant et tenace jeune homme pauvre.

Dans l'Angleterre du XVIIIième siècle, McAsch a décidé d'échapper à sa condition en fuyant les mines de charbon d'Ecosse où il est exploité. A Londres, pour ceux de sa classe sociale, la situation n'est pas meilleure, le voilà plongé dans la lutte des dockers contre la mainmise des entrepreneurs locaux. Accusé d'avoir fomenté une grève, il est envoyé comme forçat en Virginie, à cette époque colonie anglaise, dans une exploitation de tabac. Heureusement, la présence de Lizzie, qu'il côtoie de loin depuis l'enfance et qui est désormais l'épouse de son patron, va le motiver à poursuivre sa quête de liberté.

Ken Follett mêle donc une intrigue sentimentale à une description plutôt réaliste de la lutte ouvrière dans un pays très attaché à ses distinctions sociales, ainsi qu'à celle des conditions des esclaves et forçats dans les colonies anglaises. Comme je l'ai déjà dit, c'était tout à fait mon style de lecture... il y a fort longtemps. Mais mes goûts ont changé et j'ai eu beaucoup de mal à avancer dans ce roman. Il faut dire que pendant les vacances, je m'évade physiquement et la tête pleine d'images réelles, je ressens moins le besoin de m'évader par la lecture. Ayant donc eu du mal à me concentrer, j'ai trouvé que l'intrigue trainait un peu en longueur. Malgré la lecture de trois romans très différents, je n'ai pas eu de coup de coeur pour l'écriture de Ken Follett. A chaque fois, l'intrigue amoureuse, digne de la grande époque de la collection "Har... n" prend le dessus, et cela même si dans la toile de fond, l'écrivain sait se renouveler. Pour moi, cette lecture se solde par un 11/20 mais tout n'est pas perdu, car j'ai encore dans ma PAL son best-seller "Les Piliers de la Terre" à découvrir.

Lizzie et le charbonnier.

Il s'agit d'une romance historique entre Mack, un mineur réduit en esclavage et une demoiselle indépendante, Lizzie, au XVIIIe siècle en Ecosse.

C'est le troisième roman de Ken Follet que je lis, mais je n'accroche pas…

La lecture fut laborieuse, malgré les belles descriptions de l'Ecosse et de Londres dans ce XVIIIe siècle que j'adore…

Les personnages sont assez stéréotypés : un ouvrier qui réclame son indépendance, une jeune fille de bonne famille, volontaire et anticonformiste qui s'éprend de lui. Il y a aussi des secrets de famille, des personnages particulièrement retors et haïssables, des femmes soumises…

Leurs rencontres, leurs attirances, leurs vies chaotiques, leurs blessures sont trop décrites ; on aborde le départ pour la Virginie, une colonie anglaise qu'à la page 290 sur un roman de 477 pages !

Je n'ai pas pu m'attacher aux personnages, ni comprendre leurs caractères, et participer à leur évolution…

J'ai trouvé Lizzie particulièrement osée, intrigante et même libertaire, ne supportant aucune autorité, aucune loi ni coutume !

Le style est très simple, voire simpliste, ou peut-être mal traduit ?

J'ai été étonnée d'apprendre, qu'en Ecosse, une loi prévoyait que les mineurs de charbon appartenaient au propriétaire de la mine ; dès qu'un homme a travaillé un an et un jour, il perdait sa liberté !

J'ai apprécié la description des bagnards, envoyés dans les colonies en sanction d'une infraction comme un vol, qui doivent y travailler durant sept années sans être payés et vendus comme des esclaves !

De ce pays de la liberté que sont les futurs Etats Unis, il n'est pas beaucoup question…

J'aurais aimé que la partie consacrée à cette colonie soit plus développée, surtout qu'à ce moment, les colons contestent les impôts réclamés par l'Angleterre et débutent leur guerre d'indépendance !

Le pays de la liberté de K.Follett restera pour moi une lecture assez laborieuse dans laquelle j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger. le début est assez captivant pour qu'on veuille se laisser entrer dans la période du XVIIIe en Ecosse mais il m'a fallu trop de temps pour m'adapter aux personnages, j'avais une édition très mal mise en page de numérique, ce qui a gâché fortement ma lecture, j'ai vraiment peiné... Pas trouvé en bibliothèque pour mieux savourer ma lecture.
Mais je garde en tête les qualités de Follett pour ses infos historiques très bien avancées, ses personnages bien décrits, sa façon de dépeindre la société à cette époque, son esprit manichéen et pour le coup j'ai moins aimé son côté convenu et ennuyeux du fil de l'intrigue, mais je ne lui en voudrai pas, tellement ses sagas historiques dépassent au plus haut point ce roman.

Bon....j'adore Ken Follett, je suis une grande fan de sa manière de traiter des faits historiques, de sa façon de dépeindre une société, de décrire les personnages...Bref d'habitude je n'ai rien à redire. Mais avec "Le pays de la Liberté" je me suis ennuyée.
Les caractéristiques d'un bon Follett y sont pourtant : une période historique intéressante (la société du 18°), des personnages hauts en couleurs, une chronologie cohérente ...
Mais voilà...La romance des personnages prend le pas sur l'intrigue... Plus les pages passent, plus l'histoire devient lourde et niaise. Finalement,c'est un Roméo et Juliette dans les mines de charbon.
Pour les lecteurs qui souhaitent découvrir cet auteur, ne commencez surtout pas par ce roman !! Vous risquez d'être déçu !

C'est étonnant comme à chaque fois, je suis prise dès le début par l'écriture et l'histoire, dans laquelle nous transporte Ken Follett. Rien pourtant qui ne fasse rêver mais sait très d'écrire aussi bien ses personnages que les lieux dans lesquels il les fait évoluer.
Les mines de charbon en écosse, les tavernes anglaises et les montagnes américaines sont les lieux que traverse Mack McAsh qui n'a qu'une idée en tête devenir libre, lui qui est esclave depuis sa naissance.
Mais c'est sans compter sur la détermination de la famille Jamisson qui eux ne veulent sue s'enrichir sur le dos des autres.
Il pourra toutefois compter sur le soutien de Lizzie une amie ou plutôt connaissance de son enfance.
J'aime la partie historique de ce roman qui décrit également les conditions de vie de la classe ouvrière et de la classe bourgeoise. Qu'il est doux de vivre en 2017 si on est né sur le bon continent.
La partie romancé aide un peu à enlever toute la noirceur de l'histoire mais je trouve que la fin en est du coup un peu décevante car trop rapide et tirée par les cheveux.
Ce roman m'a rappelé "L'espoir est une terre lointaine" de Colleen McCullough pour les conditions de vie des forçats.
Merci à Pas-chacha pour cette pioche dans ma PAL de Septembre 2017.

Ce roman met en scène un mineur, un jeune homme travaillant dans les mines de charbon d'un riche seigneur écossais. La condition de ces hommes, femmes et enfants qui travaillent avec lui se résume à l'esclavage. Ainsi, le thème du livre au fil de différentes séquences se trouve être la quête de la liberté confrontée à l'esclavagisme qui bat son plein au XVIIIe siècle. Néanmoins, ce thème est abordé de façon assez légère et le roman, haletant et très efficace, ne rend pas forcément compte de la difficulté voire de l'impossibilité à laquelle se heurtaient réellement les esclaves de toutes sortes. Les rebondissements, les clichés et autres hasards heureux, qui émaillent une intrigue qui tend à la romance, m'ont laissé sur ma faim ! Dans ce premier ouvrage que je lis de cet auteur, même si je ne me suis pas ennuyé, il m'a manqué quelque chose, soit dans le fond, soit sur la forme.

Cette fiction historique a tout le charme d'un bon vieux Ken Follett avec ses décors soignés qui nous racontent une époque et ses personnalités bousculées dans un monde où il est difficile de trouver sa place.

Cependant, l'intrigue n'a pas l'étoffe de certains romans du même auteur et l'univers semble parfois survolé pour faire la part belle à une histoire d'amour sans surprise ni relief.

Un roman sympathique mais bien loin des chefs d'oeuvre de Ken Follett.

Ecosse, 1767. Mack, qui n'a pas encore vingt-un ans, travaille depuis toujours dans la mine de charbon appartenant aux Jamisson. Il sait lire et écrire. Un jour, il se rebelle.
Parce qu'il a trouvé un collier d'esclave dans son jardin, Ken Follett en a tiré cette histoire. Evidemment on retrouve le travail scandaleux des enfants, la misère, le danger d'être mineur et la maladie, le fossé qui existe entre riches et pauvres et il y a aussi l'aventure (pour les hommes), l'amour et autres sentiments… Bref ! Il m'a semblé qu'il manquait quelque chose, j'ai eu l'impression que l'auteur survolait tout cela et je n'ai pas retrouvé la « patte » des « piliers de la terre ». La fin ne m'a pas surprise du tout malgré quelques suspenses. Donc déception pour moi que ce roman alors que j'aime beaucoup lire les romans de cet auteur.

j'ai apprécié les deux premiers tomes de la trilogie du siècle. même si j'ai retrouvé le style de l'auteur Ken Follett, je n'ai pas spécialement apprécié cette romance, l'intrigue et le dénouement étaient prévisible dès la première partie de l'ouvrage rendant ainsi la lecture quelque peu ennuyeuse.