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EAN : 9782501102728
266 pages
Marabout (04/05/2016)
4.36/5   39 notes
Résumé :
Après "Parents toxiques", Susan Forward s'intéresse plus précisément aux mères mal-aimantes et à l'effet dévastateur qu'elles peuvent avoir sur leurs filles.Elle étudie plusieurs profils : narcissique, compétitive, envahissante, control freak, mère-enfant, mère abusive ou non protectrice. Toutes infligent des blessures qui empêchent leurs filles de se construire une identité et une estime de soi solide.En s'appuyant sur des récits et des exemples, elle propose les t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Difficiles relations que celles des mères avec leurs filles ! Tout n'est pas toujours rose et quand on parle des difficultés que l'on éprouve à vivre en bonne intelligence avec sa mère, on vous regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes. “Comment tu es en froid avec ta mère ?”, en un instant vous devenez un être anormal, ingrat, dénué d'empathie, parce qu'une maman c'est tellement adorable et compréhensif, que non, vous ne pouvez décemment pas être fâché contre elle ! Et même si c'est un monstre (bon là j'exagère un peu quand même), vous devez tout laisser passer parce, quand même, c'est elle qui vous a donné la vie.
À ce stade, moi j'ai dit STOP et beaucoup de filles ont également fait comme moi ! Oui, j'ai arrêté de souffrir pour des prunes, j'ai fait le deuil d'une relation qui ne m'a jamais amenée à un amour maternel spontané. J'ai cessé de chercher une réponse au mystérieux « Pourquoi ? », parce qu'en fait, il n'y en a pas ! Et tant pis si l'entourage ne comprend pas, ou refuse de comprendre, car la souffrance qui ronge, ils sont incapables de la ressentir, et il faut à un moment sauver sa peau. C'est sans doute une question de vie ou de mort, quelquefois physique, plus souvent psychologique.
Ce livre m'a fait un bien fou, il brise le tabou, l'image de LA mère sur son piédestal, parfaite et bienveillante. J'en ai eu une indifférente, je n'ai manqué de rien matériellement, de tout affectivement, il fallait que je grandisse sans faire de remous sinon j'avais le droit à des paroles désobligeantes. Ici des mots sont mis sur les souffrances jusque-là mal comprises ou niées tout simplement. Mais il existe bien d'autres sortes de maltraitances qu'elles soient physiques ou psychologiques que l'indifférence : l'auteure nous décrit les mères narcissiques, accaparantes, « control freak » (qui contrôle tout), à materner et négligentes. Des témoignages concrets illustrent l'exposé dans lesquels on se retrouve forcément.
Dans la deuxième partie, l'auteur nous propose des voies pour accéder à la liberté, à déjouer l'emprise de ces mères toxiques. Mais il ne faut pas rêver, le livre à lui seul ne peut pas solutionner toutes les situations et souvent une aide extérieure est recommandée. Il aide par contre à la prise de conscience, car les situations, les paroles désobligeantes qui nous paraissaient normales, nous apparaissent progressivement sous un jour nouveau. La séparation et la distance semblent souvent les meilleures solutions envisageables, mais elles sont souvent prises en urgences quand la situation est devenue intolérable. Beaucoup choisissent de rester en contact malgré tout, par peur des remontrances, sous la pression de la famille et de la société parce qu'il est plus facile d'être une mauvaise fille qu'une mauvaise mère.
C'est un livre à offrir autour de soi, pour celles qui souffrent dans la culpabilité de ne pas « être une fille normale » et celles et ceux qui ne comprennent pas qu'une mère n'est pas toujours une maman.
Dommage que ne soit traité ici que la relation mère-fille, un autre tome peut-être sur les mères toxiques et leurs fils ?
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J'ai mis plusieurs semaines à lire ce livre, afin d'en digérer progressivement les pistes de réflexion qu'il ouvrait en moi.

J'ai 38 ans. J'ai connu ce livre car il y a deux ans, j'ai voulu aider ma propre mère, fille unique, qui a subi toute sa vie les méfaits de sa mère extrêmement toxique (ma grand-mère donc). Ma grand-mère, alors en fin de vie, a jusqu'à son dernier souffle rabaissé, dénigré et détruit ma mère. Pour aider ma propre mère durant cette période compliquée, j'ai cherché un livre, ai trouvé celui-ci, et lui ai offert.

Cependant, j'ai toujours su, inconsciemment, que ma mère était aussi toxique que sa propre mère. J'ai toujours su, inconsciemment, qu'elle reproduisait de nombreux comportements, attitudes et paroles anormales sur moi, également fille unique. J'ai toujours vu chez les autres : un minimum de confiance, de respect, de considération, d'admiration dans les yeux des mères de mes camarades. Je ne voyais pas ça dans les yeux, les paroles ni les actes de ma mère, mais je pensais que c'était certainement ma faute, que je ne devais pas être aussi sage, aussi dégourdie, aussi jolie ou aussi méritante que mes camarades d'école.

Et puis j'ai grandi, et depuis mon adolescence, je suis en colère contre mes parents. En effet, j'ai cette particularité d'avoir deux parents toxiques, même si je suspecte que la source initiale de leur toxicité provienne de ma mère. Depuis toujours, ma mère et mon père prennent toute la place. À 38 ans, j'ai toujours la nette sensation de ne pas être une adulte, de ne pas être leur égale. Je suis souvent niée, moquée, ridiculisée, et je ne suis en tout cas jamais prise au sérieux. Mes convictions, mes sentiments, mes émotions, mes idées, mes envies, mes actions, mes revendications n'ont jamais été écoutées, et n'ont jamais été légitimes aux yeux de mes parents. Je n'ai donc jamais pu vraiment m'affirmer. Je n'ai jamais pu vraiment devenir adulte ou devenir moi-même.

Mes parents sont sociables, bruyants, expansifs, à l'aise partout. Là où moi je suis réservée, calme, peu sociable. Ils me l'ont toujours beaucoup reproché, notamment ma mère.
J'ai toujours eu du mal à me faire des amis, ou du moins à les garder. Les relations sociales sont difficiles, douloureuses et mystérieuses pour moi. Mes parents ont depuis toujours plusieurs dizaines d'amis, une vie sociale très riche, sortent et reçoivent beaucoup. Depuis mon enfance, ils me reprochent ma timidité, ma réserve, mon absence d'appétence pour la vie sociale.

Depuis toujours, mes parents sont intrusifs. J'étouffe, je n'ai pas de place. Je suis régulièrement sur la défensive avec eux, régulièrement désagréable avec eux. Jusqu'à récemment, j'étais incapable de savoir réellement pourquoi j'étais autant sur la défensive, et je culpabilisais beaucoup.
Normalement, la crise d'adolescence et l'opposition envers ses parents passe avec l'arrivée de l'âge adulte. J'ai vu beaucoup de personnes de ma génération, arrivées à l'âge adulte, partager de chouettes moments avec leurs parents. Mais moi, même adulte, j'ai toujours en moi cette colère, ce besoin d'opposition envers mes parents, comme si j'étais toujours adolescente. Ils prennent tellement de place, ont tellement d'avis, de commentaires, de remarques et de reproches à me faire sur tout, que depuis toujours je veux garder mon jardin secret. J'accepte rarement de les convier à des moments importants (et lorsque je le fais, je le regrette très vite), et je prends soin d'éviter de trop leur parler de moi. Mon attitude me vaut bien sûr régulièrement des sous-entendus et ses reproches (déguisés ou pas) de leur part. Et cela va de pair : puisque je n'ai jamais manqué de rien matériellement et qu'ils sont mes parents, j'ai toujours beaucoup culpabilisé de mon attitude, et j'ai toujours eu l'impression d'être une mauvaise fille, une fille ingrate, et ce, depuis l'adolescence.

Alors depuis le début de l'âge adulte, je culpabilise, je suis bloquée, je n'arrive pas à m'affirmer, je n'arrive pas à avancer, à me construire, je n'entreprends rien, je n'ose rien. J'ai fait de longues études (sans quitter le domicile parental, évidemment, condition qu'ils m'ont imposée), j'ai deux bac+5 en poche, mais je n'ai pourtant rien fait professionnellement. Des petits boulots alimentaires uniquement, tout au plus. Je suis pleine d'angoisses. J'ai peur. Je ne sais rien faire. J'oserais presque dire : depuis 38 ans, en tant qu'individu, je ne fais rien. Persuadée d'être anormale et décevante (comprendre : trop différente de ceux que j'admirais et que pensais être la "norme" à laquelle il fallait ressembler : mes parents).

Il y a quelques mois, en juin 2023, j'ai tout à coup ouvert les yeux, pris une énorme claque, et vu ma mère sous un nouveau jour, alors que le jour n'était en fait pas nouveau. Sans raison particulière, lors d'un week-end a priori anodin, j'ai enfin VU ma mère telle qu'elle a en réalité toujours été vis-à-vis de moi : méprisante, rabaissante, humiliante, irrespectueuse. Cet été, j'ai réellement vu ce que je n'osais admettre sur ma mère. J'ai réellement VU ma mère, alors qu'avant je fermais manifestement les yeux sur son attitude. Cette fois-ci, je l'ai VUE.
Depuis cet été, je me repasse en tête le film de ma vie, le film des nombreux événements de ma vie minimisés et banalisés par mes parents (et hélas inconsciemment jusqu'à récemment par mon propre esprit aussi). Mais aujourd'hui j'en ai clairement conscience : si je n'ai manqué de rien matériellement (et cela, mes parents ne cessent de me le rappeler...), j'ai en revanche été maltraitée mentalement et verbalement toute ma vie. Et j'ai enfin conscience aujourd'hui, depuis quelques mois seulement, que mes parents ne sont surtout pas "la norme" à laquelle il faut ressembler. Et que la seule personne normale dans cette histoire : c'est moi.

Je ne pense pas que ma mère ait lu ce livre, que je lui ai offert il y a deux ans. Toute sa vie et jusqu'au bout, elle a servi, idolâtré et pris soin de sa propre mère, malgré tout le mal qu'elle lui avait fait, sans lui imposer la moindre limite. Je lui ai souvent demandé pourquoi. Sa réponse a toujours été la même : "Bah enfin, même si elle est méchante avec moi, c'est ma mère !!!".

En ce début d'année 2024, je me suis offert ce livre. Depuis ma prise de conscience et ma claque de l'été dernier, j'ai fait un peu de chemin, ai pris conscience de beaucoup de choses, ai analysé sous un nouveau jour de nombreux événements / traumatismes que mes parents m'ont fait subir.

Si vous avez lu ma critique de "Nos tendres cruautés" d'Anne Tyler, vous savez déjà que j'ai passé des fêtes de fin d'année 2023 compliquées. Pour faire court : le jour de Noël, après la deuxième entrée, ma mère, qui était une nouvelle fois en train de me rabaisser et à qui j'ai alors osé dire stop, m'a gratuitement et violemment insultée de c*nn*sse, en présence de mon mari et de ma fille de 3 ans. Lorsque j'ai cherché à obtenir le soutien de mon père, il a banalisé cette violence et cette insulte, et m'a répondu que je l'avais sans doute un peu cherché.
Alors qu'en réalité : Je n'ai jamais rien cherché. Ni ce jour-là, ni avant ce jour-là. Cette insulte est inexplicable, inacceptable, inexcusable, impardonnable. Rien ne peut justifier le fait de me faire insulter par ma propre mère, encore moins le jour de Noël, en présence de ma fille et de mon mari adorés.
Il n'y a pas de hasard : il y a près de 20 ans, devant mon père et moi, ma mère s'était elle aussi faite insulter par sa propre mère le jour de Noël, ce qui avait déclenché une crise familiale sans précédents.

J'ai écrit plus haut que depuis 38 ans, je ne fais rien, je n'entreprends rien, je ne construis rien. Vous l'aurez compris, ce n'est finalement pas vrai : J'ai la chance d'avoir un mari et une fille adorables, que j'aime et que je chéris de tout mon coeur. Ils sont ma plus belle entreprise.

Je dédie d'ailleurs cette critique à ma fille.
Car ce que j'ai subi s'arrête ici.
Je fais le choix de faire ce que ma mère n'a jamais eu le cran de faire vis-à-vis de sa propre mère : dire stop. En prenant enfin conscience des maltraitances que j'ai subies, en choisissant d'imposer mes limites à mes parents, enfin, je prends soin et je respecte l'enfant que j'étais et l'adulte que je suis. Et donc par extension, en travaillant à être enfin l'adulte épanouie et saine que je mérite d'être, je respecte, prends soin et protège ma propre fille. Ce que ma propre mère n'a jamais fait pour moi.

J'ai bien conscience que cette critique n'en est pas vraiment une. Elle est peut-être plus un exutoire personnel qu'une réelle critique du livre.
Mais je pense que toutes les personnes qui liront ce livre et/ou qui viendront en lire les critiques seront à la recherche, elles aussi, de témoignages. Comme je l'ai lu dans une autre critique : qu'il est difficile dans notre société de ne pas se sentir coupable en affirmant "ma mère est toxique, j'ai besoin de prendre mes distances avec elle" ou "mes parents sont toxiques". Et pourtant, ce livre vous le confirmera : ne culpabilisez pas, vous n'êtes pas responsable de cette situation.

Le présent livre ne concerne que la relation mère-fille, mais pendant ma lecture j'ai souvent remplacé "votre mère" par "vos parents", et le propos est pourtant resté tout aussi pertinent.
J'ai beaucoup apprécié la dernière partie "Les voies pour se reconstruire", qui donne des pistes concrètes à la lectrice pour enfin se faire respecter : continuer de communiquer avec sa mère intelligemment tout en imposant ses propres limites / décider du type de rapports que la lectrice souhaite désormais imposer à sa mère / rompre totalement les liens si cela est inévitable / et même des pistes sur un sujet sur lequel je pense toute lectrice se pose forcément des questions avec le temps : comment réagir et continuer de se protéger dans le cas où les liens sont rompus mais que la mère toxique devient soudainement dépendante (vieillesse, maladie, veuvage...).
Ce livre nous donne beaucoup de pistes de réflexion bien utiles. Bien sûr, il ne s'agit que d'un livre me direz-vous, et pourtant depuis que je l'ai lu, il a eu un réel impact sur la manière dont je réfléchis à la relation que j'ai avec ma mère (et globalement avec mes deux parents donc), et aux limites que je suis en droit d'imposer en tant que femme adulte (et que j'aurais dû imposer bien plus tôt).

À noter, pour approfondir cette thématique, le livre "Parents toxiques" de la même auteure est également très instructif, très utile, et je dirais même complémentaire, puisqu'il a le mérite de s'adresser cette fois-ci à tout.e.s, fils et filles, de parents toxiques.

Si comme moi vous prenez conscience de certaines choses et lisez ce livre (ou encore "Parents toxiques" de la même auteure), alors vous êtes certainement déjà sur le bon chemin. Celui de l'épanouissement bien mérité, enfin ! Courage (et merci si vous avez lu ma trop longue critique jusqu'au bout) !
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Si vous avez une mère aimante, passez votre chemin. Sinon, lisez- le !
Une mère mal-aimante n'est pas forcément violente physiquement ou verbalement. C'est plus subtile et plus insidieux.Vous comprendrez mieux les mécanismes subtiles et pervers, et surtout cela vous aidera à prendre du recul, voir à cesser toute relation si nécessaire.
C'est à mon avis LA référence, et si vous vous êtes penchés sur le sujet, vous verrez que ce livre ressort à chaque fois, et est largement plébiscité.
Ce livre a changé ma vie !
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Ce livre est une vraie pépite à découvrir si vous êtes dans la même situation que moi ou dans l'une des cinq catégories présentées plus haut. Susan Forward nous donne les bons outils pour faire face à ces femmes mal-aimantes et de sortir de ce cercle vicieux qui n'est absolument pas bon pour nous ou pour elles. Il est clair que c'est à nous d'agir et de prendre les bonnes décisions même si parfois, elles sont très difficiles à appliquer. J'ai livré mon coeur et ça m'a fait du bien. Merci de ne pas me juger.
Lien : http://www.hamisoitil.fr/201..
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Ce livre ose aborder le sujet tabou des mères qui aiment mal voire pas du tout leurs enfants avec toute la galerie de conséquences délétères sur les enfants. Des enfants parentifiés, à ceux qui ont été battus et violés, l'auteure n'élude rien. Elle propose de nombreux témoignages probants illustrant ses propos et donne de nombreux conseils qui pourront potentiellement aider les personnes concernées bien que cela ne remplace pas une thérapie. Néanmoins, je trouve que les cinq exemples de mères mal-aimantes reste insuffisant et quelque peu réducteur. Certains exemples sont également moins développés que d'autres. Je trouve le livre de Lindsay Gibson : Se construire avec des parents immatures bien plus pertinent et inspirant (globalement sur le même thème).
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Citations et extraits (59) Voir plus Ajouter une citation
En l'absence de lien maternel fort, les femmes sont généralement toute leur vie en proie à un sentiment déroutant de perte et de privation. (p.12)
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Une bonne mère n'est ni parfaite ni une martyre. Elle a son propre bagage émotionnel, ses propres cicatrices, ses propres besoins. Elle peut ne pas vouloir faire de compromis sur son travail et donc ne pas être disponible à certains moments pour sa fille. Elle peut aussi perdre patience, dire ou faire des choses qu'elle regrette. Mais si son comportement général permet à se fille de croire à sa propre valeur et nourrit le respect qu'elle se porte, son assurance et sa sérénité, cette mère remplit bien son rôle, qu'elle soit une maman merveilleuse ou juste "suffisamment bonne".
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Les gens ayant eu une mère "normale" ont du mal à comprendre que toutes les mères ne sont pas comme la leur et amis ou proches, même bien intentionnés, ont souvent tendance à minimiser la douleur d'une fille mal-aimée ou à la blâmer quand elle cherche à être entendue.
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Leur comportement est en grande partie dicté par des forces inconscientes ou par des émotions auxquelles elles ont peur de se confronter: une impression paralysante d'insécurité, un sentiment tenace de privation, une déception profonde face à leur propre vie. En cherchant à se soulager de leurs peurs et de leur tristesse, elles utilisent leur fille pour se donner un sentiment de pouvoir ou de contrôle.
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Le dénominateur commun chez les femmes mal aimées par leur mère est le besoin de validation, le besoin de trouver quelqu'un qui leur dise : "Oui, ce que tu as vécu est vraiment arrivé. Oui, ce que tu ressens est justifié. Je comprends."
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"Parents toxiques" de Susan Forward lu par Rafaèle Moutier
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