Ce n'est pas par hasard si l'auteur, qui s'est fait connaître en France par la traduction de ses romans Homo Faber (1961), J'adore ce qui me brûle (1963) et d'une pièce de théâtre, Monsieur Bonhomme et les incendiaires (1961), a exercé le double métier d'architecte et d'écrivain. Le Journal nous révèle une pensée à la fois étonnamment structurée dans sa recherche, son approfondissement, les problèmes qu'elle pose, et une sensibilité d'artiste capable à t... >Voir plus
Une présentation du Journal berlinois (1973-1974) de Max Frisch par sa traductrice, Camille Luscher.
Disponible dans toutes les bonnes librairies dès le 6 octobre 2016.
http://editionszoe.ch/livre/journal-berlinois-1973-1974