Anna, parce que différente des autres enfants, est victime de l'hostilité, de la cruauté, de la peur des habitants de ce village. Un jour elle rencontre la bonté de deux femmes qui travaillent au centre hospitalier où les autorités l'ont envoyée au vu de son état.
J'ai versé quelques larmes plusieurs fois.
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Leur douceur dans leurs propos, leurs attentions pour la sécuriser, il y avait tout leur savoir et leur coeur pour cette femme venue de l'enfer. Patiemment elles lui avaient enlevé la vermine qui parcourait son corps maigre et sale.Devant tant de douceur elle avait, petit à petit, remplacé l'effroi dans son regard par des larmes venues du fin fond de son être ... Pour la première fois de sa vie on s'occupait d'elle sans la malmener, sans brutalité, avec douceur et compassion. Elle avait fini même par apprendre à sourire.