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3,73

sur 1668 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Laurent Gaudé est un auteur reconnu. de nombreux lecteurs suivent avec intérêt ses parutions. Pour ma part, je n'avais pas jusque là eu envie de le découvrir, probablement à cause du choix de ses sujets. Avec ce « Chien 51 », première incursion anticipation / SF de cet auteur, un genre que j'apprécie, j'ai pensé que c'était le moment de tenter l'expérience.

Trente ans plus tôt Zem Sparak a fui in extremis Athènes, en proie à de graves troubles sociaux. La Grèce venait d'être rachetée par une des compagnies mondiales qui s'étaient substituées aux états. Il faisait partie des opposants armés. Une sorte de Résistance, avec ses chausse-trappes, ses trahisons inévitables.

Avec la bénédiction des autorités, il a trouvé refuge à Magnapole, une ville zonée en trois secteurs selon les revenus de ses habitants. Seuls les deux premiers sont protégés par un dôme de protection contre les aléas climatiques. Il est principalement récupérateur de cadavres dans la zone 3. Un corps bien encombrant va être le point de départ d'une enquête, qu'il mènera en tandem avec une inspectrice de police. Elle mettra en cause de hauts responsables. Bien évidement les fautes du passé reviendront aussi sur le devant de la scène.

La narration est plutôt bien menée mais elle n'a rien de très original. Je reprocherai à l'auteur de n'avoir pas suffisamment soigné son arrière-plan : pourquoi donc, par exemple, les propriétaires de la ville prendraient-ils la peine d'entretenir une police, qui inévitablement serait amenée à enquêter aussi sur leurs sales petits et grands secrets ? Car il ne semble pas y avoir le moindre contre-pouvoir à cette domination économique. Quand des émeutes éclatent en zone 3, des forces de l'ordre répriment sans états d'âme avec une violence effroyable.

Si je suis venu à bout de cette lecture sans trop de problèmes, je n'ai pas non plus été transporté par le style de Laurent Gaudé, souvent trop grandiloquent à mon goût. J'en resterai là avec cet auteur. Ce n'est pourtant pas un roman totalement raté, on peut raisonnablement se laisser tenter de le lire.
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Prenez un cadre légèrement dystopique (ou précurseur dirons les plus pessimistes), quelque chose que Blandine le Callet avait admirablement posé dans La Ballade de Lila K, un univers tout droit sorti des 21 leçons pour le XIXe siècle de Yuval Noah Harari aussi : les nanotechnologies ont permis des greffes confinant à l'immortalité, les désordres climatiques ont conduit les plus nantis à s'abriter sous un dôme anti pluies toxiques, la financiarisation du monde a transformé les nations en produits rachetés par de grandes firmes privées.
Bon, puisque ce billet a essentiellement vocation à vous communiquer mes humeurs, autant être efficace et vous distiller au fur et à mesure les raisons de mon acrimonie contre ce bouquin. Ce qui a commencé à me chatouiller un peu à propos de ce cadre, c'est cette posture dogmatique qui consiste à inventer un monde (pas particulièrement réjouissant) et à ne pas se soucier une seconde de sa crédibilité : c'est le chaos, la pollution et le dérèglement climatique ont tout ruiné, les pluies ne sont plus acides mais huileuses mais y a encore des sandwichs au poulet, des litres et des litres de lait qui tombent dans l'appartement du héros. Des enfants et des femmes enceintes. Et cet arrière-plan normalisé n'est pas crédité de la moindre explication. C'est le fondement implicite minimal à partir duquel s'élabore la fresque des possibles dystopiques. Qu'il soit invraisemblable n'est pas la question.
Mais reprenons notre recette : Campez tout ça aux abords de la Grèce. Récupérez ainsi le fond de bazar exotique : bouzouki, dolma et huile d'olive. Avec cette carte postale bleue et blanche, vous avez aussi le berceau de notre civilisation, la philosophie et la tragédie. Important la tragédie.
Ajoutez un fond d'intrigue policière avec un duo déséquilibré homme femme. Consentez à ce que ce soit la femme qui soit la supérieure hiérarchique, ça fera des développements intéressants.
Bon. Vous y êtes. Et maintenant l'intrigue : un cadavre étrangement éventré dans une décharge. Des intérêts politiques forts sur fond de campagne électorale. Un autre cadavre. Et les souvenirs traumatiques de notre héros Zem Sparak quant à cette sombre période où tout l'élan démocratique d'un peuple a plié sous la force conjuguée des armes, de l'ultra capitalisme et de l'habituelle lâcheté humaine.
Vous l'avez bien senti, j'ai une dent contre certains romans français. de ceux qui planifient tout, le déploient au cordeau et écrivent comme ils résoudraient une équation chimique. Mais voilà, Chien 51 m'a paru tellement démonstratif ! Et tellement vain !
Car tout cet attirail dystopico policier ne sert finalement qu'à interroger le rapport d'un homme à son destin, la place d'une individualité dans le cours de l'Histoire. Et à montrer que, mutatis mutandis, eh ben y a pas grand-chose de nouveau sous le soleil et qu'on est bien peu de choses face aux forces politiques et idéologiques qui nous broient. Breaking news : l'hybris ne peut rien contre l'Olympe.
Et c'est là où ça a fini de m'énerver. Parce que bon, justement, depuis ce constat antique, on en a accumulé de la philosophie pour construire quelque chose ! de l'épicurisme, du stoïcisme, de l'utilitarisme, du comportementalisme, du tout ce qu'on veut mais autre chose que d'en rester là.
Et on a montré aussi tout ce que cette manière de cadrer le problème avait de biaisé et de réducteur : L'homme face à son destin ? L'individu mâle dans la force de l'âge qui ne peut rien contre le monde de violence dans lequel ses paires l'ont jeté et qui esquisse un rictus avant de sombrer ?
Ca vous a un petit côté phallocentré tellement patriarcal. Et complètement daté. Et ce n'est pas le traitement lamentable que reçoit le personnage féminin qui pourra relever le niveau...
Résumons-nous : des procédés fictionnels éculés, une intrigue usée jusqu'à la trame pour un propos impropre à éclairer notre pensée… ne reste peut-être que le plaisir d'une narration qui se déroule de manière plutôt fluide. Maigre consolation.
Et puis, au-delà de toutes ces considérations stylistico politiques, il y avait encore quelque chose autour de ce titre qui m'a tarabusquée… Chien 51… Je comprends bien la nécessité interne à ce choix mais il y a autre chose…
Allons, au diable l'éthos du critique corseté, à l'heure des canicules et des chemisettes, faisons fi des élégances littéraires, libérons les associations de pensées les plus triviales ! « 51 », « 51 » ? le pastis bien sûr !…, avec notre cadre romanesque, ça colle : la Grèce, la Méditerranée, l'ouzo, tout ça !
Et « chien » alors ? Chien + Grèce = paysages escarpées, chèvres, troupeaux,… troupeaux = berger. Berger ! Une autre sorte d'anisette !
Ah ! Mais alors ? et si finalement ce roman n'était qu'une vaste blague ? Un délire vespéral après de trop longues heures à téter du petit jaune près du terrain de pétanque ?
Chien 51 ou la quadrature de l'apéro. Qui l'eût cru ?
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Laurent Gaudé est un auteur que j'apprécie lorsque je l'entends dans les médias ou que je lis des interviews de lui dans les magazines. Mais je n'ai jamais aimé son écriture et ses romans. Avec "Chien 51" je pensais que ça allait être différent. Il est dans une autre tonalité, un autre genre : il décrit une société dystopique, futuriste et inquiétante. Tous les ingrédients étaient réunis pour que ça me plaise. Mais malheureusement, une fois encore, ça n'a pas pris, je n'ai pas aimé ce roman. J'en conclus que son écriture ne me convient pas.
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Je prends ce bouquin et je me dis "chouette un roman d'anticipation", en plus écrit par un ex-Goncourt, je cours.
J'en attendais peut-être un peu trop, car là je suis franchement déçue.
En premier lieu, le lieu !
Son univers dystopique ne fonctionne pas. On se retrouve dans une sorte de pays, géré par une "entreprise commerciale" qui rachète les habitants des pays qui ont fait faillite. Donc notre héros se barre de la Grèce qui n'existe plus pour arriver chez GoldTex où les riches ont une partie de la ville, les classe moyenne, une zone 2 et les plus pauvre une zone 3. Zone 1 et 2 vivent sous un dôme pour les protéger du climat (grêlons et pluies acides qui sont huileuses... oui je sais...c'est pas moi qui l'ai écrit). Oui mais dans les autres pays qui font faillites, comme la Grèce, bizarrement, le climat il a l'air tout à fait normal.
Les trois zones sont reliées par des check-points qui n'ont pas l'air à des 100 aines de km l'un de l'autre... pourtant il doit y en avoir du monde à loger dans cette ville. Et il y a des nouveaux pays qui arrivent... et le dôme il n'est pas extensible.
Histoire de faire dans la biotech, on greffe les plus méritants avec du matériel leur permettant de vivre 20 ans de plus dans crise cardiaque ou avc, mais avec un matériel qui peut s'avérer défaillant.

L'histoire maintenant, on débute comme un bon vieux polar qui finit d'une platitude exceptionnelle. Une flic de la zone 3 (les chiens.... on ne sait pas pourquoi on les appelle les chiens. j'ai même espéré à un moment qu'on m'apprenne vers la fin que c'est réellement un berger allemand) doit faire équipe avec une fliquette de la zone 2 pour résoudre un meurtre d'un résident de la zone 2 qui a eu lieu dans la zone 3.

Moi, je ne le conseille pas... c'est décevant.
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Avec Laurent Gaudé c'est quitte ou double pour moi niveau lecture, j'ai beaucoup aimé la mort du roi Tsongor et le soleil des Scorta mais j'ai beaucoup moins aimé Ecoutez nos défaites.

J'attendais beaucoup de ce récit, aimant la plume de l'auteur et ayant vu en plus des noms de ville provenant De Grèce qui est un pays que j'aime beaucoup.

J'ai tout d'abord été désarçonné par ce récit car nous allons dans un genre différent de celui que propose l'auteur habituellement, cependant je me suis dit qu j'allais m'y faire le récit étant d'autant plus court.

J'ai compris ou l'auteur voulait en venir avec ses histoires différentes zones avec une sorte de hiérarchie entre chacune d'entre elles, le petit côté enquête sur un meurtre aurai pu être un plus. Mais ou il manque de densité et d'étoffe au récit à mes yeux pour pouvoir vraiment s'attacher au personnages et à la situation, ou la multiplicité de choses évoquées dans ce récit perde au final le lecteur.

C'est vraiment dommage car il y avait les ingrédients pour que cela soit une bonne lecture mais malheureusement ma mayonnaise n'a pas pris avec moi.
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Laurent Gaudé est un auteur très prolifique et plutôt bien accueilli par la critique et le lectorat mainstream. Avec son dernier roman Chien 51, il aborde pour la première fois, me semble t-il, des thématiques sciences fictives et plus particulièrement dystopiques. L'occasion est trop belle de découvrir sa plume dans un genre qui m'est cher.

Zem Sparak, la cinquantaine est un "chien" de la Zone 3 de Magnapole, c'est-à-dire un flic officiant dans les bas quartiers où vivent ceux qui n'ont accès à rien mais qui sont exploités par la multinationale GoldTex. Celle-ci a acheté la Grèce après sa faillite et règne sur son territoire selon ses propres lois. Zem n'a pas toujours été de ce côté de la barrière. Dans sa jeunesse il faisait partie de ceux qui se battaient pour que sa Grèce natale reste libre. Mais la réalité a eu raison de ses idéaux, aujourd'hui encore il vit dans la culpabilité et prend régulièrement de l'Okios, une drogue puissante qui lui permet de revoir les paysages de son enfance. Quand il est appelé sur une nouvelle affaire, un meurtre sordide, il ne se doute pas que son passé va ressurgir et le confronter à des choix cornéliens.

Chien 51 est un polar d'anticipation, un thriller dystopique que l'on pourra lire de deux façons différentes selon que l'on est ou pas un habitué du genre.

Les amateurs de "thriller classique" y trouveront une honnête enquête policière avec ses fausses pistes et ses révélations surprenantes. Laurent Gaudé décrit un monde de demain qui ressemble étrangement à celui d'aujourd'hui. Il sera facile de faire des parallèles et de se faire peur. L'ambiance dystopique pourra séduire et/ou surprendre avec ses quelques scènes violentes. Pour eux Chien 51 sera probablement un bon polar dans une ambiance plutôt glauque.

En revanche pour le lecteur de SF, ce roman semblera bien fade. Laurent Gaudé empile les tropes de la dystopie : ultralibéralisme, société hautement sécurisée, population hyperconnectée sur fond de dérèglement écologique et de désordre social. Un futur sans espoir où les seuls moyens de déconnecter seront le sexe et la drogue, bref rien de vraiment rock and roll ! Aucun des concepts n'est vraiment développé comme si l'auteur avait pioché des idées ici et là pour abreuver son lectorat d'images marquantes. Pour eux Chien 51 sera plus proche de l'ennui.

Chien 51 est un roman de science-fiction qui sera probablement plus apprécié par les gens qui n'en lisent que très peu. Peut-on espérer qu'avec sa notoriété Laurent Gaudé éveille la curiosité chez ses lecteurs et leur donne envie de découvrir les littérature de l'imaginaire. Voeu pieu, je le sais bien !


C'est plus que de la SF a consacré une émission à Laurent Gaudé pour parler entre autre de Chien 51. Un podcast très intéressant où l'on découvre un auteur sympathique et humble qui me ferait presque regretter de ne pas avoir vraiment apprécié son roman.


Lien : https://les-lectures-du-maki..
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Bon ben cette fois ci, je n'ai pas réussi à suivre le projet de Laurent Gaudé.
Ou plutôt si, je le vois bien : pleurer la Grèce victime de l'économie libérale et proposer une dystopie d'un monde à venir où les couches sociales seront cantonnées chacune dans une zone.
Mais Dieu que c'est laborieux. On se perd dans la géographie alambiquée de l'Athènes imaginaire. Il y a bien quelques envolées au service des âmes que l'on connaît à l'auteur. Mais je n'arrive pas à rentrer dedans.
L'énigme tortueuse du roman policier n'est pas interessante. le suspense n'y est pas.
J'ai dû faire un gros effort pour aller au bout. Par fidélité à l'auteur et parce que ma douce a recueilli une dédicace lors de l'achat.
Au final, soit c'est que je m'écarte de Laurent Gaudé, soit c'est qu'il a écrit par devoir, dans une intrigue où il s'est essayé au policier qui n'est pas son fort.
Je vais devoir me bousculer pour ouvrir le prochain Gaudé…
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Selon moi, il ne s'agit vraiment vraiment pas du meilleur « Gaudé », même s'il faut bien reconnaître qu'une fois de plus Laurent Gaudé sait nous surprendre par sa capacité à se renouveler sans cesse, tant au niveau du style que du fond et de la forme.
Et c'est d'ailleurs peut-être là le problème, car il s'agit d'un roman de science-fiction, genre que je n'affectionne pas particulièrement, à moins que le roman ne soit très fouillé. Or, il me semble que la dystopie proposée par Laurent Gaudé, bien que présentant de nombreuses réflexions très intéressantes et très pertinentes, telles que le rachat d'Etats par des sociétés privées, se contente de rester à la surface des choses n'allant jamais totalement en profondeur, de même que l'enquête policière ne développe pas un grand suspens. Quant à la langue, souvent, très poétique chez Laurent Gaudé, elle revêt ici une sorte de dépouillement, de simplicité qui peut décevoir le lecteur même si, bien évidemment, elle est très certainement voulue pour être en adéquation avec le monde dénué de véritables sentiments humains proposé par la dystopie.
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Je n'ai pas du tout accroché à Chien 51, un récit que j'ai trouvé bien trop stéréotypé, aussi bien en ce qui concerne ses personnages (assez creux) que de son récit sans grande surprise.
En termes de SF on reste plutôt sur sa fin, ça se passe dans le futur mais c'est à peu près tout. Quand au côté politique de l'ouvrage, l'accent mis sur des valeurs insurrectionnelles / défense de la liberté, c'est bien consenseul et fleure la bien-pensance ; ça ressemble à certains passages de Damasio (les Furtifs) mais en moins bien.
Ni original ni profond, je n'ai pas aimé Chien 51
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Alléchante 4e de couverture, un auteur vénéré qui s'aventure dans un genre qui ne lui est pas familier, voilà de quoi faire saliver. Et ça fait un moment que je n'ai pas lu une bonne dystopie. Je n'avais pas su apprécier le Soleil des Scorta, peut-être que...

Et bien non.

L'idée principale est bonne - pour ne pas dire originale car on tend vers cette idée depuis un bon bout de temps. Ensuite, le décors, le scénario, les personnages - tout est déjà connu et ressassé. Difficile de créer du nouveau quand on est submergé de dystopies, romans de science fiction et polars. En lecture. En séries. On reprend les mêmes et on recommence. Et n'est-ce pas finalement ce que le lecteur veut: une recette qui marche.

Avec peut-être ici un petit plus, dans l'intention du moins. Faire passer des émotions - nostalgie, culpabilité, échec - ou un message: gare, regardez où nous allons?

Sauf que ça ne passe pas. Les descriptions trop lourdes - le lecteur comprend l'implicite et une dose d'explicite est parfois nécessaire, mais sans insulter son intelligence. J'ai souvent eu l'impression que l'on avait oublié de relire et supprimer le superflu. Des pages entières à tenter de faire ressentir par maintes circonvolutions quelque chose de compris au départ et cela sans rendre des personnages finalement fades, estompés, plus vivant. La narration au présent donne aussi un ton étrange - cela ne rend pas le texte plus vivant, ne rapproche pas le lecteur. Au contraire. C'est comme une observation froide, systématique, distante.

Quant aux réflexions, on sent bien que c'est là où l'auteur veut se retrouver - faire comprendre, faire ressentir, sans y arriver. Beaucoup de lieux communs, de stéréotypes - il y a une idée mais elle est bâtie sur du recyclé. Même le côté poisseux, dangereux, misérable de la zone 3 est trop artificiel, pas convaincant. Et au final, les actions se placent simplement et rapidement, sans suspense, sans trop de subtilité non plus pour un final un peu plus intense et mais peu surprenant.

Au final, une grosse déception, lecture facile mais qui promet beaucoup et offre peu.
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