Éloge de la différence
Il y a plusieurs catégories de livres. Par exemple des romans qui vont nous raconter une histoire, des biographies qui vont nous décrire la vie d'une personne, ou des carnets de voyage qui vont nous faire découvrir un endroit...etc
Et puis il y a la forme que va prendre cet ouvrage.Par exemple pour un carnet de voyage, cela peut être une narration chronologique qui va reprendre les différentes étapes d'un voyage avec des textes donnant un aperçu de ce que l'on voit et des photos ou des dessins illustrant le propos, ou alors une approche plus explicative des impressions ressenties, des façons de vivre, des rythmes et des coutumes des personnages rencontrés, des découvertes faites, ou alors une série rafale d'informations comme nous avons pu assister lors d'une projection de diapo, mais sans bande sonore, ou alors...etc
Finalement lorsque nous choisissons de lire un livre nous nous attendons à une rencontre qui pour nous plaire doit répondre à notre attente. Et voilà l'éloge de la différence : il y a ce que l'on a envie de lire et il y a ce qu'un auteur a souhaité nous faire partager.
Lorsque j'ai découvert cette terre du long nuage blanc,
J'ai été déroutée par le style auquel je ne m'attendais pas du tout.
Des illustrations superbes, avec un souci du détail impressionnant, des couleurs très recherchées, des lieux très attachants, mais par contre un récit très saccadé qui saute du coq à l'âne sans que l'on comprenne la liaison, avec parfois une explosion de détails qui arrive à nous faire oublier ce dont il était question.... Car c'est très précis mais cela manque de concision, de vue d'ensemble, de cohérence .... Je voulais lire une belle histoire et j'ai assisté à une soirée diapo !
Alors je suis déçue mais non pas par le livre, mais par ce que j'en attendais.
Je relirai ce livre après un voyage dans ce pays et je crois que son abord sera beaucoup plus facile et plus agréable car je ressentirai certainement beaucoup mieux les choses....
Lecture à refaire et critique à suivre......
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Il n'y a pas d'école maternelle en Nouvelle Zélande mais la plupart des enfants passent leur matinée au Kindergarten, jusqu'à l'âge de sept ans. Ils n'y apprennent ni à lire ni à écrire. Ses établissements se basent sur la théorie selon laquelle la personnalité d'un individu s'établit au long de ses sept premières années de vie, un temps où il faut donc acquérir une ouverture d'esprit maximum grâce à toutes sortes d'activités culturelles et manuelles.