Meurtres pour rédemption

Marianne, 20 ans, la prison pour seul horizon. À perpétuité. Aucun espoir de fuir ce cauchemar rempli de violence et d'humiliations quotidiennes. Jusqu'à ce qu'un homme arrive un jour, et lui propose la liberté. Mais le prix à payer est terrifiant.

Plongez dans le monde carcéral, qui sera tout le contraire du monde des Bisounours.
J'ai bien aimé l'histoire d'amour subtile entre Marianne et l'un des gardiens, qu'il y a à côté de l'univers dramatique qu'est la prison.

Cependant, je trouve cela dommage qu'il y a trop de descriptions et d'intrigue, avant que la proposition qui doit libérer Marianne se passe vraiment.

La Marianne qui représente la République et ses valeurs liberté égalité fraternité, est l'opposé du personnage qui porte le même nom. Vous rencontrerez la noirceur de Marianne, une fille rebelle qui ne compte pas vivre une seconde de plus derrière les barreaux. Elle n'aspire qu'à la rédemption.

Pour ceux qui aiment la perversité, le sadisme, le crime, l'échec et bien d'autres tourments de l'âme.
Les intriques policières ou du genre thriller sont simples, les approches sont colorées d'ignominie dans toutes leurs splendeurs.
L'auteur sait écrire et décrire avec addiction toutes ces horreurs.

Noir, vraiment très Noir...

Voir critique de Lehan-fan. C'est la critique qui se rapproche le plus du sentiment ressenti au cours de cette lecture décidément trop longue...

je suis allée au bout de ce gros pavé qui se laisse lire, mais que de sang et la fin est trop convenue.
On n'est dans un bain de violence sur fond de roman rose/noir.
et qui finit très mal.
je n'ai pas aimé plus que çà

Bien, quelques passages redondants qui rallongent l'histoire et la descente aux enfers de Marianne

Douloureuse plongé au coeur des prisons. On s'attache au personnage féminin, Marianne, vingt ans. On souffre avec elle, on s'indigne, on voudrait la sauver de cet enfer.
La première partie est longue, très longue, il faut du souffle pour en venir à bout. Comme si nous étions à notre tour enfermé dans une cellule.
Sans dévoiler l'intrigue, c'est un très bon polar, mais je trouve que la résistance physique de Marianne est hors norme… Mais bon, on s'y fait.
Reste qu'on garde longtemps en soit l'univers carcéral et qu'on n'oublie pas les longues heures d'enfermement très bien écrites.