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4,4

sur 3236 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un pavé de violence ! , noirceur, torture, viol, humiliation, drogue.. Tout y est ! Mais trop... Ben c'est trop...je n'y croyais plus à la fin, ça manquait de crédibilité... Et j'ai fini par m'ennuyer.
Marianne serait-elle la réincarnation de Nikita ? Étrange et troublante ressemblance....limite gênante !
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Un peu partagé sur l'avis de ce livre.

Le début de l'histoire ressemble énormément au film de Besson "Nikita", une fille paumée qui se trouve prise dans un engrenage de violence qu'elle ne contrôle pas.

Vient se greffer une histoire d'amour la dessus qui à mon sens est un peu longue dans la description cela aurait pu être un peu moins sans départir la fin de l'histoire qui elle est très surprenante et émouvante.

Livre très différent de ceux déjà lu du même auteur.
On ne retrouve pas ce côté voyeur et malsain du purgatoire des innocents par exemple.
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Pas loin de 1000 pages, c'est long, trop long malgré mon attirance pour les pavés. Il faut attendre la page 537 pour que « la porte qui s'ouvre » annoncée sur la 4ème de couverture s'ouvre enfin pour le lecteur !
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Puis, je me suis attachée au personnage principal, Marianne, pourtant un « monstre » (mais qui a le même penchant que moi pour les romans de John Steinbeck !). Karine Giébel a réussi ce tour de force.
J'ai hésité entre incrédulité et horreur. S'agit-il de fiction pure – ou partielle- ou la vie en prison est-elle aussi intolérable ? des détenu(e)s et des gardien(ne)s, qui est le plus monstrueux ?
Car malgré ses défauts - de longueur donc et de vraisemblance parfois-, ce roman a l'indéniable mérite d'amener le lecteur à se poser des questions sur l'univers carcéral, l'isolement, la rédemption ou son impossibilité, la justice, la punition, la vengeance…… le criminel le plus endurci est-il capable de remords, de regrets et donc de réinsertion ?qu'est-ce qui conduit un individu à commettre l'irréparable ? qu'est-ce qui fait basculer dans le côté obscur ?
Dans « Meurtres pour rédemption », nous sommes dans une prison de femmes ; les détenues sont là pour meurtres. Nous n'avons donc pas affaire à de petites délinquantes. En ce qui concerne les meurtres perpétrés par Marianne, elle considère qu'il s'agit d'accidents car elle n'avait rien prémédité et n'a pas tué de sang-froid. Elle avait 16 ans la première fois.
Le lecteur la voit évoluer au cours du roman : dès le début, elle est dévorée par un sentiment de culpabilité, ce qui signifie qu'elle est « récupérable » puisqu'elle distingue le bien du mal. Puis, peu à peu, elle s'attache à sa codétenue, Emmanuelle, qu'elle protège au péril de sa vie –car c'est contraire aux lois des détenus – et se fera violence en tuant pour elle celle qui menace sa vie. Emmanuelle a tué ses propres enfants plutôt que de les abandonner, a survécu à son propre suicide ainsi que l'un de ses enfants, mais la culpabilité et le chagrin la font basculer dans une sorte de folie et le lecteur la devine condamnée d'avance par ses codétenues. Son rôle dans cette histoire, me semble-t-il, est de faire évoluer Marianne en l'ouvrant à l'empathie et l'amitié. Grâce à Emmanuelle, elle se rend compte qu'elle ne peut plus tuer.
Quel roman n'a pas son histoire d'amour ? Celui-ci n'y échappe pas. Marianne va vivre une relation amoureuse avec le chef des gardiennes, Daniel. Au départ cette relation s'apparentait davantage à de la prostitution forcée, puisque Marianne payait en « nature » cigarettes, drogue et nourriture fournies par Daniel en toute illégalité, mais elle évolue vers une relation sincère et profonde. Leur relation manque parfois de vraisemblance, mais elle montre qu'avec de l'amour, bien des choses sont possibles. Au même titre que le manque d'amour peut conduire aux pires atrocités.
Conclusion : un roman qui soulève des questions intéressantes et perturbantes, mais qui aurait pu être allégé de quelques centaines de pages.



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Karine Giébel est née à La Seyne-sur-Mer, dans le Var, en 1971. En huit romans, souvent primés, elle s'est fait une place à part dans le thriller psychologique, et depuis quelques mois, je vois son nom partout, y compris et surtout chez les amies blogueuses que je suis. Il n'en fallait pas plus pour titiller ma curiosité, et c'est à l'occasion de la huitième édition du challenge Livra'deux pour Pal'Addict organisé sur Livraddict, et que je partage cette fois avec Lisalor, que j'ai décidé de me lancer.

Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais, mais une chose est sûre : pas à ça ! Je n'avais absolument rien lu sur ce roman ; tout ce que je savais, c'est que tous ceux qui le lisaient criaient au génie. A partir de là, je partais plutôt confiante. C'est la terrible histoire d'une jeune femme de 21 ans, Marianne, qui purge une peine à perpétuité en prison, et qui nous entraîne à la découverte sans concession du monde carcéral. La moitié du livre, et c'est un sacré pavé, se déroule en prison ; quant à l'autre moitié, on ne peut pas dire qu'il y soit réellement question de liberté ! A l'image de son héroïne, c'est un roman extrêmement dur, violent, qui suinte la rage et le désespoir, au point qu'il en devient régulièrement difficilement supportable.

Je suis adepte des univers fantasy, fantastiques ou de science-fiction, et ce n'est pas pour rien. Ce que j'attends de mes lectures, c'est qu'elles me sortent d'un quotidien parfois difficile, me fassent voyager, me parlent de héros, de courage, d'honneur et de bons sentiments. le réalisme glauque, très peu pour moi. En l'occurrence, j'ai eu un peu de mal avec ce livre. de part sa violence, son désespoir, son réalisme cru, pour commencer ; de part sa longueur aussi, parce que toute cette noirceur sur la durée, ça finirait par vous plomber le moral, mon bon monsieur ; et enfin, parce que toute la seconde moitié du livre est quand même très prévisible, et qu'on la sent venir à des kilomètres.

Au final, ai-je aimé ou détesté ? Ni l'un ni l'autre, mon commandant. C'est un roman qui m'a... dérangée. Parce que si, intellectuellement, on ne peut que réprouver les actions de Marianne, une partie de nous ne peut quand même s'empêcher d'éprouver une forme de sympathie pour elle, et ça c'est dérangeant. Parce qu'on a beau essayé de nous faire croire qu'elle n'est qu'une victime, elle n'en a pas moins tué et à plusieurs reprises, et personne ne l'y a forcée, elle est simplement incapable de se contrôler. Oui, elle a sans aucun doute manqué de l'amour de ses parents, subi des choses terribles, mais elle n'en reste pas moins responsable de ce qui lui arrive, et je n'avais pas envie de la plaindre. Mais malgré tout, je me suis retrouvée à espérer qu'elle s'en sorte...

Voilà ce qui m'a dérangée. Alors, ai-je détesté ? Non, Karine Giébel est extrêmement habile, son écriture est d'une redoutable efficacité, et nous entraîne très facilement dans la descente aux enfers de Marianne, de Daniel et même de Franck. Ai-je aimé, en ce cas ? Non plus. En refermant Meurtres pour rédemption, je n'avais qu'une envie : sortir prendre l'air, me débarrasser d'une espèce de sentiment de claustrophobie, de ce désespoir qui me collait à la peau, de remonter vers la lumière. Un voyage au final peu agréable, d'une dureté inouïe, à ne surtout pas mettre en toutes les mains.
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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Marianne, ex-championne de karaté, junkie, tueuse multirécidiviste est condamnée à la prison à perpétuité. Elle purge sa peine et entretient sa haine entre brimades, bagarres et prostitution. Perpétuelle victime de l'environnement, elle semble au bout du rouleau lorsqu'une visite est annoncée. Qui ? Elle ne connait personne. Etrange proposition tout de même !
Ce pavé d'un millier de pages aurait pu faire une trilogie, il se découpe en plusieurs parties ayant chacune sa logique, son environnement et son inexorable déroulement.
Karine Giebel maintient un tension constante, en s'appuyant sur le personnage de Marianne. Portrait très bien brossé d'une jeune femme qui réussit le tour de force d'être agaçante, insupportable, caractérielle, touchante, fragile, détruite et destructrice...
Marianne va tout subir : KG nous livre un véritable catalogue de tortures diverses et variées. Les rapports sadomasochistes sont le coeur du roman : ils apparaissent comme le moteur des relations humaines selon l'auteure.
L'amour est complexe. L'amour est ambigu.
La noirceur jusqu'à la nausée pourra rebuter le lecteur feel-good, elle amusera l'adepte du roman de genre.
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Ayant beaucoup aimé Toutes blessent la dernière tue et Juste une ombre de Karine Giebel, je m'attendais à être autant secouée par Meurtres pour rédemption. Mais non. Je ne peux pourtant pas dire que je n'ai pas du tout aimé...

Marianne a 21 ans, elle purge sa peine en prison depuis 4 ans : perpétuité. Elle a tué et tuera encore, c'est en elle. Pourtant on décèle son humanité sous son caractère indomptable et incontrôlable.
Mais je n'ai pas réussi a m'attacher au personnage, tellement la frontière entre le bien et le mal est infime, tant tout se mélange.

La description de l'univers carcéral durant les 400 premières pages environ, avec une succession d' humiliations, de coups donnés et reçus, de tortures...m'a semblée longue et répétitive, faisant perdre a Marianne beaucoup de sa crédibilité à mes yeux. Comment peut on supporter autant de violence, de coups, de blessures, d'humiliations et y survivre?Tout ça m'a semblé trop, beaucoup trop.
Même l'histoire d'amour qui se noue au sein de la prison m'est apparue malsaine, entachée par la cruauté et le rapport de force.

Et pourtant j'ai continué de tourner les pages, parce que la tension et le suspens sont bien là. Parce que même si Marianne ne m'a pas vraiment touchée, son parcours a exacerbé ma curiosité.
La deuxième partie en dehors de l'univers carcéral a été plus prenante, mais là encore, les coups pleuvent, les blessures s'accumulent (!), les affrontements et la cruauté se succédent au fil de relations malsaines...

Jusqu'à une fin que je n'attendais pas, et qui a relevé à mes yeux cette succession d'événements glauques, donnant ainsi tout son sens au parcours de cette jeune femme déchue...

En bref, une impression mitigée, une histoire sombre au sein de l'univers carcéral sur fond de pourritures humaines, de personnages sans limites, qui m'a laissé un sentiment un peu amer. Trop noire pour moi sans doute!

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Marianne 20 ans ,championne d'arts martiaux, droguée, purge une peine de prison à perpétuité pour meurtres.

Le décor est planté pour 1000 pages!

.


La 1ère partie du roman nous décrit l'univers carcéral dans toute sa violence.

C'est glauque à souhait, la pauvre Marianne est battue, torturée, violée…., C'en est presque trop, je me suis demandée si une telle débauche de violence était nécessaire, et pourtant je n'ai rien contre en temps normal…

Mais bon, l'héroïne est très attachante, elle m'a rappelée Nikita et je me suis laissée embarquer.

.


Pas de roman de Karine Giebel sans histoire d'amour, il y'en a donc une, avec son maton.

Là, j'avoue que cette partie “niaiserie Harlequin” m'a un peu lassée et que j'aurais préféré que l'auteure s'attarde un peu moins sur cette partie, même si ça renforce l'humanité du personnage.

.


Je ne voudrais pas paraître négative sur ce roman, qui d'ailleurs est encensé par la critique.

C'est un très bon bouquin que j'ai lu très rapidement. C'est très bien écrit, les personnages sont charismatiques, j'ai beaucoup aimé Marianne mais je trouve que 1000 pages pour traiter le sujet, c'était un peu trop.



Je suis donc un peu moins enthousiaste même si je le conseille.
Lien : http://lemarquepagedenath.wo..
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oui alors ...je suis un peu gênée au moment d'écrire car, ayant enchaîné en peu de temps 4 de ses romans, j'ai peur d'être en pleine overdose de Karine Giebel et que ma critique en subisse les conséquences. mais allons y
Trois étoiles donc car c'est efficace: malgré le dégoût devant tant de violence, on tourne les pages inexorablement et (vacances aidant peut être) on s'enquille les presque mille pages en 3 jours.
l'histoire a déjà été archi résumée dans d'autres critiques (dithyrambiques pour certaines) et son propos tiens dans les quelques lignes de la 4eme de couverture: Marianne de Greville, orpheline mal aimée à l'avenir contrarié bascule très jeune dans la délinquance et la drogue et est condamnée à perpète à peine majeure après un double meurtre presqu'accidentel. Son salut et sa liberté pourraient être rachetés si elle accepte un "contrat" sont les termes sont donnés dans le titre du bouquin : en gros tue encore un coup et tu es libre.
une énooorme première partie sur la vie de Marianne en prison : violence violence violence, un peu de compassion et d'empathie par ci par là (très peu), une coïncidence bienheureuse, un amour passionnel "inattendu", viol et violence
Une énorme seconde partie sur Marianne dehors
mais jamais libre: violence violence violence, un amour-haine qu'on sent venir à des kilomètres, et bien sûr, compte tenu du titre, un prix à la rédemption extrêmement élevé.
j'ai failli arrêter plusieurs fois d'ecoeurement et de ras le bol de cette "complaisance" dans le sordide et la violence, de ces rapports hommes/femmes malsains où les hommes sont menées à la braguette et les femmes folles amoureuses de leurs prédateurs (cf. "Ce que tu as fait de moi" de la même autrice)et puis, voyeurisme morbide, et parce que Marianne, malgré tout, est attachante, j'ai poursuivi.
Parce qu'on n'abandonne pas une môme.
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Marianne de Gréville a vingt ans
Marianne a commis un double meurtre et blessé gravement une femme flic.
Marianne a pris perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans.
Marianne se retrouve enfermée à vie dans un centre pénitentiaire.

Oui j'avoue, j'ai jugé Marianne au tout début de l'histoire, comme une petite racaille. Je me suis dit qu'elle n'avait que ce qu'elle méritait..... mais ça, c'était avant... avant que cette jeune fille ne connaisse l'enfer.

L'enfer des portes de la prison qui se referment sur elle avec l'unique perspective de passer toute sa vie derrière les barreaux. le bruit des verrous, la peur, la solitude, les humiliations, les punitions, les coups de matraque, le cachot.

Elle s'évade dans sa tête en écoutant le bruit des différents trains qui circulent chaque jour.
Marianne se fait un shoot, elle laisse libre cours à son imagination, elle ferme les yeux et dans ses rêves elle part... sans jolie petite histoire car ici tout est noir, dénué d'espoir.

Marianne n'a aucune visite, pas d'argent mais elle est jolie alors elle va faire un deal avec Daniel, un maton qui n'est pas insensible à ses charmes. Une gâterie contre une cartouche de cigarettes et plus pour obtenir ses doses d'héroïne.

Un rapport de force va s'instaurer entre Marianne et cet homme marié et père de famille.
Un rapport de force homme/femme - dominant/dominée.
Elle a besoin de lui pour sa drogue et ses cigarettes. Daniel a besoin d'elle tout court car il a craqué pour ses beaux yeux noirs.
Marianne devient sa drogue à lui, sa dépendance. Il est en proie à un conflit intérieur et se bat contre ses sentiments.

Marianne est incontrôlable, dangereuse et féroce. C'est une bombe à retardement qui peut exploser n'importe quand. Son corps est sculpté par le sport et les arts martiaux.

Marianne a les mains pleines de sang. Elle peut tuer à mains nues, elle l'a prouvé.
C'est une meurtrière qui effraie les gardiens et les autres détenus qui savent ce dont elle est capable.

Pourtant sous sa carapace ce n'est encore qu'une toute jeune fille fragile qui a juste manqué d'amour et de soutien pour s'en sortir.
Elevée par des des grands-parents snobs et froids qui voulaient gérer sa vie et qu'elle a préféré fuir.

Marianne est fière et elle préfère souffrir en silence que de céder ou balancer.
Elle préfère cacher ses blessures, ses bleus au corps et au coeur et les panser toute seule dans sa cellule comme une bête en train d'agoniser le ferait.
Pourtant elle n'hésite pas à pleurer et à montrer ses faiblesses.

Je ne voulais pas m'attacher à elle mais petit à petit elle a réussi à me toucher cette gamine perdue. Elle ne mérite pas toute cette violence, tous les coups, les matraquages qu'elle va subir, les passages à tabac la laissant presque morte.

Marianne va morfler entre une matonne, Solange Pariotti, particulièrement sadique surnommée "La Marquise" qui veut la briser, et la chef des détenues, Giovanna et sa bande des "hyènes".

Heureusement Marianne va se faire des alliés voire des amis dans ce monde carcéral. Des personnages attachants. Justine et Daniel, les matons, VM, une détenue dont tout le monde a peur, et Emmanuelle surnommée "le fantôme" qui partage sa cellule.

Un jour Marianne est demandée au parloir.
Marianne est telle une machine de guerre que trois flics vont vouloir utiliser.
Marianne va avoir le choix entre rester enfermée à perpétuité et celui de pouvoir sortir.
Mais la liberté est à quel prix?

Mon avis est mitigé sur ce roman pourtant bien écrit, bien construit. Un chapitre lu en entraîne un autre et encore un autre jusqu'à dévorer ce pavé de 700 pages.

Mais, car il y a un mais, personnellement je trouve que Karine Giebel a tout trop exagéré dans la noirceur, les tortures physiques et psychologiques, le sadisme et surtout l'ultra-violence qui règne pour bien trop peu d'espoir.
A un peu plus de la moitié du livre l'histoire bascule de drame en milieu carcéral en polar espionnage avec une Marianne manipulée et transformée en "Nikita" avec toujours une violence omniprésente.

"Meurtres pour rédemption" est un livre bouleversant à ne pas mettre entre toutes les mains et qui donne juste envie de pleurer toutes les larmes de son corps dès la dernière page tournée.
















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Après avoir lu le purgatoire des innocents de cette autrice, j'ai eu un gros coup de coeur pour sa plume mais aussi pour l'histoire donc je devais réitérer l'expérience !

Mais je n'ai pas eu de coup de coeur pour Meurtres pour rédemption et j'ai même un avis plutôt mitigé.
La plume de Karine Giebel est toujours aussi percutante, concise et captivante mais beaucoup trop de répétition pour moi surtout dans la première moitié du livre (dont presque 500 pages !!)
La deuxième moitié du bouquin se voit différente moins répétitive et avec un peu plus d'actions et de rebondissements mais malheureusement après avoir bouffé ces 500 pages je n'étais déjà plus vraiment dans l'histoire.
Malgré ça, le personnage de Marianne est très fort, complet et attachant, comme les autres protagonistes d'ailleurs. Karine Giebel a su me faire ressentir beaucoup d'émotions pour cette jeune femme mais je pense qu'il n'y avait pas besoin d'en faire autant et certains passages auraient largement pu être évités, selon moi bien sûr.
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