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Les Aventures d'Ariane Blackburn tome 2 sur 2
EAN : 9782896071586
Soulieres (03/07/2012)
2.5/5   3 notes
Résumé :
Découvrir le Yukon, ses sympathiques habitants, leurs modes de vie et leurs croyances populaires. Une enquête rondement menée.
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Le récit est très bien écrit et rappelle plusieurs éléments du roman "La Yukonnaise" (particulièrement les descriptions de la vie à Dawson). Il y a un bon suspense, mais le dénouement fantastique imprévu (tout le reste du récit est très réaliste) est quelque peu décevant.
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Le livre est nul ne contient aucunne intrigue l'histoire tourne en rond tout le long du livre j'ai perdu 3 heures de ma vie pour rien je n'ai pas un genre policier enquête mais bien surnaturel,oui oui des personnage se transforme en corbeau je ne vous consille vraiment pas cette lecture
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Cet hiver-là, j'ai découvert le deuxième cadavre de mon existence. Je m'en souviens comme si c'était hier. Il m'arrive d'ailleurs encore de voir la scène, quand une mauvaise digestion provoque des cauchemars, quand mon esprit agité par quelques doutes passe en revue la suite des événements à la recherche d'un détail qui m'aurait échappé.

J'avançais dans une ruelle silencieuse, et la neige crissait sous mes bottes. Ce n'était pas le jour. Ce n'était pas la nuit non plus. Entre chien et loup, auraient dit les anciens. Plus près du loup que du chien, aurais-je précisé si on m'avait demandé mon avis.
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Aujourd’hui, quand j’y pense, je me dis qu’il serait faux de prétendre que mon aventure a débuté le jour où j’ai trouvé le corps de Kitty. Je n’étais pas allée au Yukon par hasard. Et dès le départ, ce voyage m’avait semblé prédestiné.

Cette histoire avait commencé quelques semaines plus tôt, en décembre, à Québec. Deux mois à peine s’étaient écoulés depuis la disparition d’Erik Eriksson. Le temps des fêtes battait son plein, mais moi, je n’avais pas le cœur aux réjouissances. J’avais toujours de la difficulté à accepter ce qu’Érik m’avait raconté, ce que j’avais ressenti pour lui et ce qui m’était arrivé par la suite. Ma mère disait que je boudais. Je n’osais pas la contredire. La vérité l’aurait bouleversée.
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Dans la cour de cette maison aux fenêtres placardées pour l’hiver gisait une forme allongée, blottie contre le mur. J’ai contourné le chien en lui parlant avec douceur :

— Beau toutou. Est-ce que c’est ton maître qui dort là-bas ?

Je savais bien que personne ne dort par terre à -35 °C. Le parka semblait raide, les jambes, plus raides encore.

Le chien n’a pas bougé. Il m’a laissée passer et je me suis agenouillée sans faire de bruit, comme si je craignais vraiment de réveiller le mort.

Le mort. Ce n’était pas la première fois que j’en trouvais un, mais je ne m’y habituais pas. La gorge nouée, j’ai allongé le bras et, du bout du doigt, j’ai tâté la jambe. Elle était plus dure que ce que j’avais imaginé.
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Il faut toujours douter. Ne jamais croire que les choses sont telles qu’elles nous apparaissent. Depuis mon enquête sur le mystique1, j’ai fait du scepticisme un mode de vie. Je me souviens avec nostalgie d’une époque où la brume n’était qu’un phénomène atmosphérique, où un cadavre portait les traces de ses blessures mortelles et où le meurtrier était toujours le méchant.

Ces jours sont révolus. J’en ai eu la preuve l’hiver dernier, quand un concours de circonstances m’a menée sur la piste d’une mort suspecte. Une mort dont la cause était pourtant bien établie, mais qui cachait encore tellement de mystère qu’il m’a fallu des mois pour l’élucider.

Ariane BlackBurn
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À l’entrée d’une cour, un chien montait la garde, un de ces gros chiens comme ceux qu’on voit dans les films sur l’Alaska. La face blanche, le corps gris et noir, le poil assez épais pour affronter un hiver dans le Grand Nord. De loin, on aurait dit un loup. De près aussi d’ailleurs, comme je m’en suis rendu compte en m’approchant.
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