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sur 1206 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Étonnant pouvoir de la relecture... Mue à l'origine (il y a bien longtemps de ça) par l'élan propre à la dégustation d'un mets exquis, j'abordai cette prime lecture du Faust de Goethe, qui plus est, traduit par Gérard de Nerval, comme une merveille de caviar servie sur un lit de foie gras.

Le palais peu forgé, faute d'âge ou de fondements, d'épaisseur ou de référents, il m'avait fallu constater que, de saveurs indicibles, peu à peu, mon caviar sur foie gras c'était transmuté en rillettes premier prix de hard discount.

Je mâchai sans grand plaisir ces syllabes au corps gras de vers aux musiques intraductables (non, « intraductansibles » serait plus correct). Je restai donc, des années durant, sur cette relative indigestion.

Tout à coup, l'autre jour, sans motif ni pourquoi, le nez dans la bibliothèque, aux voisinages des Giono des Gogol et autres Golding, mon oeil sans trop savoir, s'est arrêté sur Faust. Ah, non ! Pas celui-là ! … et pourquoi pas ?

Effectivement, c'eut été bêtise que de ne point retenter l'expérience de vendre mon âme à Goethe. Et bien m'en a pris car, même si j'ai retrouvé certaines indigestes bouchées, notamment tout le passage dans la cave de Leipzig ou les fêtes avec les sorcières (Walpurgisnachtstraum), la dimension philosophique et allégorique m'a mieux impressionnée qu'à la première lecture à froid.

Que nous dit Goethe dans Faust et Faust sur Goethe ? J'y vois tout d'abord une allégorie de l'Homme en quête de sens à donner à sa vie. Faust n'a plus guère de foi et du haut de sa science se heurte à des écueils insurmontables.

Il voit couler sa vie au fond d'un noir terrier et se dit que bientôt la mort viendra le cueillir sans qu'il ait pu jouir de quoi que ce soit dans l'existence. D'où sa secrète invocation du diable, ou plus exactement, avec l'aval de Dieu, pourquoi le diable s'essaie à le soudoyer.

Ainsi donc, selon Goethe, c'est le désespoir qui crée l'appel aux forces du mal et non comme on pourrait le penser de prime abord, l'envie, même si c'est bien l'envie de connaître toujours plus qui pousse Henri Faust à pactiser avec Méphistophélès.

Ce faisant, l'auteur insiste beaucoup sur la falsification des mots ou des apparence. Son Faust était dans le faux avec sa science, il le sera également dans ses jouissances. Goethe développe aussi la notion d'utopie de la pureté, au travers de Marguerite notamment. Selon lui, ce que l'on pense être pur chez l'humain provient surtout du fait qu'on a une connaissance imparfaite des différentes facettes de cet humain.

Quel autre message nous délivre l'auteur ? Un pessimisme hors norme pour l'époque, à savoir que, quelle que soit votre quête, elle sera vaine. Lorsque Faust obtient les pleins pouvoir des mains de Satan, celui-ci s'adonne à la fête, il s'y ennuie très vite, puis il se donne à l'amour, qui bientôt flétrit, entraînant au passage la chute d'une fille honnête.

Le voyage ne semble guère mieux lui réussir tout comme les richesses. Quelle est donc la voie du salut pour Goethe ? Je ne l'ai pas trouvée dans cette lecture, la vie y semble nécessairement vouée à être subie avec son cortège de souffrances et d'insatisfactions.

Mais au cours du temps, depuis son apparition dans le théâtre élisabéthain, Faust a aussi pris une dimension de " récit mythique " un peu d'ailleurs comme l'autre grande parabole de Goethe, L'Apprenti Sorcier. Sommes-nous tous des docteurs Faust prêts à vendre notre âme au diable pour jouir de menus privilèges ? sommes-nous tous des apprentis sorciers qui jouons avec le feu de l'existence ?

On comprend que Johann Wolfgang von Goethe ait eu une influence décisive sur la littérature allemande au tournent du XXème siècle, je pense notamment à Thomas Mann, avec la " tentation du diable " transformée en " tentation de la maladie " dans La Montagne Magique.

Pour conclure, une lecture que je trouve riche philosophiquement parlant mais pas spécialement roborative sur le plan stylistique ou littéraire, ce qui n'est, évidemment que mon avis, un pauvre diable lui-aussi, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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C'est bien joli de vouloir cocher des cases "culture générale" en lisant des livres... encore faut-il avoir la "culture générale spécifique" qui va avec. Connaître (et être fascinée par) le mythe de Faust ne suffit pas pour aborder ce Faust maître-là, et j'avoue être passée largement à côté faute de connaissances (et de sensibilité) sur la littérature classique germanique, et d'une manière plus générale sur les univers poétiques du début du 19ème siècle. Ajoutez à cela une lecture faite dans une très vieille édition : la distance entre ce texte et moi fut décidément irréductible, hélas.
Même si j'ai pu apprécier ici et là quelques passages, les affres dans lequel le docteurs Faust est plongé, et surtout l'irrévérence du personnage de Méphistophélès, il a été très déroutant de trouver mon chemin dans cette oeuvre polymorphe, construite sur un agrégat de pièces aux formes extrêmement diverses, à l'image sans doute des propres évolutions de l'auteur. C'est cela qui aura été pour moi le plus frustrant : avoir eu accès à l'oeuvre d'une vie d'un grand poète, et n'être capable d'en tirer que cette misérable chronique.
Leçon d'humilité...
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Ah, Faust, pourquoi t'es-tu hasardé à faire un pacte avec le Diable ? Ton âme n'avait-t-elle donc aucune valeur pour toi ? Ne devinais-tu pas quelle serait la morale de cette histoire ? Tu n'étais pas naïf, pourtant, et tu savais que tu jouais à un jeu dangereux.

Mais voilà : la vie n'a plus d'intérêt pour ce personnage dramatique. À vrai dire, c'est un grand romantique : il a déraisonnablement soif des mystères du monde. Mais ces derniers lui sont à jamais inaccessibles et c'est la cause de sa terrible souffrance. le grand malheur de ce personnage est qu'il n'a plus rien à apprendre en théologie, philosophie et médecine. Toute la connaissance humaine est à sa portée, et c'est lui qui enseigne sa science aux autres. Cependant, il réalise que certaines choses échappent à sa compréhension, et seront même toujours hors de sa portée. Parce que le désespoir qui l'habite est sans fond, il cherche à mettre fin à ses jours. le Diable, voyant là une bonne occasion de corrompre une âme, se rapproche de lui et lui propose un Pacte qu'il sera incapable de refuser…

J'ai été assez surprise quand j'ai constaté que cette pièce de théâtre ne suivait pas la règle des trois unités – on y est tellement habitués, aussi… Faust et le démon voyagent à travers le monde, rencontrent des personnes dont beaucoup sont vouées au mal (évidemment, Méphisto sait cibler son public…). Mais au cours de leurs pérégrinations, Faust fait aussi la connaissance d'une jeune fille, Marguerite, qui, en un clin d'oeil, devient son Amour Éternel et remet en cause sa relation avec Satan.
Je n'ai pas aimé cette romance. Les choses vont tellement vite qu'on n'a même pas le temps de réaliser ce qu'il se passe. La première fois qu'ils se voient, il tente une approche et elle le repousse rudement. La deuxième fois, ils s'avouent leurs sentiments, et confessent le fait qu'ils n'ont pas pu s'empêcher de penser l'un à l'autre pendant tout ce temps – il y a même une promesse de mariage ! La troisième fois, visiblement, ils se sont donnés l'un à l'autre – puisque le frère de la jeune fille la traite comme une prostituée et que d'autres personnes font des allusions très explicites.
Je sais bien – oui, JE SAIS – que c'est une autre époque et que les choses ne sont pas comme maintenant, mais tout ceci me paraît quand même un peu précipité. On n'a même pas le temps de ressentir quoique ce soit !

Mais le principal reproche que je peux faire à ce livre, c'est la lourdeur de ses dialogues. Les monologues de Faust sont sans queue ni tête, et je m'y perdais souvent. Certaines de ses répliques avec Méphistophélès passaient du coq à l'âne (essentiellement au début). Dès que je coupais ma lecture, je ne savais plus où j'en étais et je devais relire la dernière page pour me rappeler comment ils en sont arrivés à parler de ce sujet.
Mais il faut dire aussi que je suis une très mauvaise lectrice de théâtre et que ce genre est loin d'être mon domaine de prédilection.

Malgré ce défaut, c'est une oeuvre qui se lit rapidement. Passé le début, l'action se met en place : Lucifer se met au service de Faust pour le corrompre et lui montre mille et une choses pour assouvir sa soif de connaissance.
Mais la fin est tellement précipitée que j'ai dû la relire pour réaliser que c'était vraiment comme cela que ça se terminait. Vous comprendrez que ça m'a beaucoup déçue...
Juste un détail : le destin de Faust est, comme tout le monde le sait, d'être emporté par le Diable dans les Enfers. Mais le Pacte n'était-il pas que Lucifer le prenne À SA MORT ? Que l'un serve l'autre pendant qu'il est vivant et que les rôles s'inversent à son décès ? Parce que, excusez-moi de le souligner, mais le héros est encore bel et bien en vie quand il se fait emporter. C'est une contradiction, Monsieur Goethe !

En revanche, j'ai apprécié la réflexion théologique qui imprègne l'histoire. Dieu existe, mais il y a des esprits qui parcourent le monde. D'ailleurs, la conviction de Faust est que chaque homme est un dieu en soi, puisque chacun a un pouvoir créateur. Au début du livre, il considère donc que l'homme est l'égal de Dieu – mais cette pensée va bien évidemment évoluer au fil de ses expériences.
Ce personnage m'a bien plu. C'est l'incarnation du romantique : rêveur, pensif, admiratif de la nature, mais aussi mélodramatique (se suicider parce qu'il arrive au bout de son savoir est un peu extrême, selon moi). Il est désabusé et pour lui, la vie n'a plus aucun intérêt. C'est également quelqu'un de passionné, comme en témoigne son amour pour Marguerite.
Étonnamment, le Diable n'est pas décrit comme quelqu'un d'affreux – au contraire, c'est même un personnage charmeur. J'ai trouvé que c'était une vision plutôt moderne, surtout si on prend en compte l'époque de publication. Finalement, c'est même le personnage que j'ai le plus apprécié. Il joue un double jeu et est très manipulateur : impossible de savoir ce qu'il pense !

Malgré cela, cette lecture ne m'a pas vraiment emballée. Beaucoup trop de choses m'ont rebutée : la lourdeur des dialogues, l'histoire d'amour, le manque de fil conducteur dans l'histoire (on ne sait pas pourquoi le démon amène Faust dans la montagne, par exemple)… D'après moi, il y a autant de points positifs que négatifs.
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Disons que j'ai aimé l'histoire car originale.
En effet, tout le monde connaît le mythe du pacte avec le diable, la crainte et la fascination que suscite ce thème, mais personne ne l'avait abordé en littérature et encore moins au théâtre. C'est chose faite avec Monsieur Goethe qui nous en livre une version romantique empreinte du langage de Shakespeare. Romantique parce que Faust est un personnage animé par une soif qui le consume, une soif qui ne relève pas du désir de dominer le monde mais qui le ronge tout de même : la soif de connaissance. Et pour tenter de l'assouvir, il va jusqu'à s'aventurer sur un versant sombre de lui-même par sa rencontre avec Méphistophélès. On peut se demander d'ailleurs si ce démon n'est pas le double maléfique de Faust. Il va rencontrer ensuite l'amour en la personne de Marguerite mais il est trop tard : le mal est fait et il doit obéir au pacte. Alors survient la fin où il est entraîné par Méphistophélès dans une sarabande endiablée qui certainement, se déroule en enfer (je ne me rappelle plus où elle a lieu) On peut regretter toutefois que Faust n'ait pas assez vécu pour profiter des jouissances que le démon mettait à sa portée. Et puis le pacte n'est pas respecté comme il se devrait puisque Faust n'est pas encore mort lorsque son commanditaire vient le chercher. Mais bon, ne dit-on pas que le diable est le père du mensonge et qu'on ne peut s'y fier ?
En tout cas pauvre Faust, il a joué avec le feu de son âme et s'est bel et bien brûlé...
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Faust est un docteur révéré par ses concitoyens, notamment pour son dévouement à la population pendant l'épidémie de peste qui a eu lieu plusieurs années auparavant, et il est aussi aimé de Dieu.

Comme pour Job, Méphistophélès parie avec Dieu qu'il pourra corrompre Faust. le Seigneur accepte, sauf qu'au contraire de Job, il laisse le champ libre au démon et ne met pas la main à la pâte lui-même.

Ce qui tombe bien pour le diable, c'est que Faust a des regrets, et qu'il se sent tiraillé entre deux mouvements contraires de son âme. Il est donc réceptif aux avances du démon, et, quand il rencontre la jolie Marguerite, il n'aura de cesse de la posséder. Et Méphistophélès va s'y employer de fort bon coeur...

Cette pièce n'est pas forcément évidente à lire : entraîné par le diable, on saute d'un paysage à un autre, d'une cave à un jardin, puis à la cuisine d'une sorcière. Et puis, elle ne se termine pas franchement : Marguerite sauve son âme, et Faust et le démon s'enfuient de sa prison. En fait, Goethe a écrit la suite des aventures de Faust quelques années plus tard, mais je ne l'ai pas lue.

J'en ressors avec une impression de confusion, et je suis assez perplexe quant au projet de Goethe : que voulait-il faire ? Instruire ? Divertir ? Je pense qu'il me manque quelque clefs pour mieux comprendre, mais je ne les ai malheureusement pas trouvées dans la préface ni dans la notice qui accompagnaient le texte de la pièce.

En revanche, j'y ai appris que le mythe de Faust est bien plus ancien que je ne le croyais, et qu'il a été exploité par d'autres auteurs, dont Christopher Marlowe, contemporain de Shakespeare. Et là, pour le coup, je suis bien tentée par l'aventure...

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Cette pièce de théâtre m'a un peu paru sombre, lugubre et difficile à comprendre comme à lire, mais elle aborde le mythe faustien avec qualité et profondeur.
Je ne sais plus si c'est Goethe qui l'a créé et l'a repris mais le mythe a vraiment pris son essor avec cette pièce et Faust, cet homme qui vend son âme au diable, sera adapté indéfiniment dans tous les arts par la suite.
À découvrir pour connaître et comprendre l'origine du mythe, mais il faut tout de même être habitue à la tragédie et avoir une bonne traduction expliquée pour comprendre la langue allemande du dix-huitième siècle.
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Bien qu'en seconde, j'avais étudié en classe quelques extraits de cette pièce, je n'avais pas encore eu l'occasion de la lire intégralement. Et bien, c'est maintenant chose fait. Et je dois dire que je ne suis pas franchement conquise...


Heureusement que je connaissais le fil conducteur de l'histoire, sinon, je crois bien que je n'aurais rien compris : j'ai trouvé l'histoire très fouillie et les scènes pas assez explicites. Cela dit, c'est sans aucun doute du à l'écriture trop chargée de Goethe (bien que très jolie) qui étire en longueur le texte et m'a donné parfois envie de lire en diagonale certain passage qui m'a perdue...
Pourtant, en soit, l'histoire est très sympa : j'aime bien l'idée d'un démon descendant sur Terre pour détourner un humain du droit chemin sous l'autorisation d'un dieu. Faust n'est vraiment une histoire qui manque de piquant !


Les différents personnages m'ont assez plu : ils sont étonnamment bien décrits pour une pièce de théâtre (peut-être un peu trop même) ! Par contre, je les ai trouvé très distants du lecteur, ce que je trouve dommage...


L'écriture de Goethe m'a également bien plu : lue à voix haute, c'est un vrai régal ! Par contre, elle n'est pas franchement facile d'accès : les phrases sont longues, le langage est soutenu et il y a de nombreuses digression...
Faust est une lecture plaisante bien que difficile.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Romantique à souhait, la lecture en est particulièrement ardue, car les scènes ne sont jamais simples, les personnages sont tortueux et se font des noeuds au cerveau pour un rien, le style est assez ampoulé. Même si ce livre reste intéressant pour la postérité qu'il a eue, si vous voulez entendre parler du diable et de Marguerite, lisez plutôt le Maître et Marguerite de Boulgakov.
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Comment faire la critique d'un tel livre, si riche en personnages et en intrigue… que dis-je… CES livres car mon édition regroupe Faust 1 et 2 ainsi qu'Urfaust. Un tel pavé mériterait plus que mes quelques lignes mais c'est ainsi. Lire du théâtre a toujours été pour moi d'une grande difficulté car je ne me représente pas les personnages comme dans un roman, j'ai du mal à imaginer les protagonistes interagir entre eux. C'est un raté pour moi aussi, les scènes et l'intrigue même sont trop complexes pour que j'arrive à suivre mais je garde en mémoire le mythe de Méphistophélès qui naît sous les lignes de Goethe, tout simplement génial, je suis quand même content de l'avoir lu même si j'ai eu beaucoup de difficulté avec cette lecture.
Le texte mériterait d'être accompagné d'un décryptage tant l'univers des pièces sont vastes, j'ai bien conscience de passer à côté d'un classique mais ainsi va la vie littéraire, parfois on entre dans le bouquin et parfois on passe à côté la faute à un manque de concentration ou du bon niveau littéraire.
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Le fait que la pièce soit courte n'est pas un gage de facilité dans cette pièce. Au contraire, si peu de pages sont suffisantes pour raconter l'histoire de Faust, il faut qu'un grand nombre d'ellipses soient présentes dans le texte, et d'une scène à la suivante, le lecteur doit souvent faire un effort d'imagination pour tisser lui-même les liens que Goethe n'a pas jugé utiles d'intercaler entre les deux passages.
Et puisque l'on parle d'imagination, celle du lecteur est encore mise à rude épreuve lors de la lecture de passages mythiques tels que La cuisine de la sorcière ou La nuit de sabbat. On tire sur le fantastique à longueur de pièce, sans que cela ne paraisse extravagant, et cela est d'autant plus flagrant que Faust, l'homme raisonnable par définition, s'il n'approuve pas ce qu'il voit, ne semble pas s'en étonner outre-mesure.
Lien : http://colimasson.over-blog...
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