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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Lors d'une embuscade, Richard a reçu un carreau d'arbalète près de son coeur. Nicci le fait évacuer de la zone pour le soigner. À son réveil ni Cara, ni Nicci, ni Victor ne se souviennent de Kahlan. Même ses traces de pas ont disparu. Elle a complètement disparu des radars, et de l'histoire.
Est-ce qu'un sortilège l'a touchée ? Ou Richard est-il piégé dans un cauchemar ? Est-ce que Jagang a développé ses pouvoirs comme il l'avait fait pour Nicholas le Chapardeur ? Est-ce que c'est Kahlan qui a donné sa vie pour que Richard vive ?

Entre les livres de prophéties qui s'effacent et une prophétie qui annonce la défaite si Richard n'est pas à la tête de son armée lorsque l'armée de Jagang se divisera, ce qui est le cas... Richard va retourner ciel et terre pour retrouver la vie. Car sans l'Amour il n'a plus de raison de se battre, et qu'importe qu'il soit le seul à avoir raison quand tout le monde à tort... Mais personne ne voudra d'un chef qui devient fou, en plaçant son fantasme avant la vie de tout son peuple qui se retrouve abandonnée face à l'Ordre Impérial...


Après avoir convaincu dans les tomes précédents le peuple de Jagang en  Altur'Rang, celui de ses ancêtres, dépourvu de magie : les Bandakar, maintenant il doit convaincre ses plus proches ami.es, alliés qu'il est dans le vrai.

Terry Goodking est toujours aussi doué pour nous embarquer dans ses 640 pages d'une course frénétique contre-la-montre, pour suivre Richard courant de gauche à droite à la recherche d'un fantôme nommé Kahlan.
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Terriblement frustrant !
C'est horrible d'arrêter ainsi ce tome !
Suite "1er semestre 2010" ... bigre, 1 an !
Terry Goddkind réussit dans ce tome un sacré tour de force : il ne tourne pas en rond mais arrive à renouveler l'intrigue, et pourtant, en remettant en jeu les premières inquiétudes de la série !
Aura-t-on une conclusion ?
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Un excellent tome qui rafraîchit un peu l'histoire en utilisant les principales caractéristiques du tome 1, paradoxal non ?
L'amnésie collective est très intéressante notamment sur les conséquences de la disparition d'une personne. Ca fait réfléchir...
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Il n'y a pas un seul tome de ce cycle (mis à part peut-être le tome 7) que je n'ai pas dévoré en une nanoseconde ! Et ce tome-ci n'a pas échappé à la règle. le style de terry Goodkind est toujours aussi fluide, vous emportant avec beaucoup de facilité et de spontanéité dans son histoire. Même si à première vue, le cycle de L'Epée de Vérité n'a rien de particulièrement original en matière de Fantasy - des ingrédients basiques, des personnages principaux exactement là où on les attend - j'ai toujours la même exaltation à lire ces bouquins. Ils sont tout simplement prenants, captivants. Dans ce tome, il ne se passe rien de bien grandiloquent mais l'énigme qui sous-tend la totalité du livre (et qui se poursuit dans le tome 10) tient le lecteur en haleine. Terry Goodkind sait jouer avec les nerfs et la frustration de ses lecteurs. de plus, le style "série TV" avec un fil rouge commun à tous les tomes mais une histoire différente pour chaque permet au lecteur de ne pas s'ennuyer et de ne pas avoir l'impression de lire une banale suite d'une quête qui n'en finit plus (encore heureux, puisqu'il reste encore deux tomes !)
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J'ai adoré ce tome, même si je l'ai trouvé terriblement frustrant (positivement parlant, bien sûr : cf. explication ci-dessous).

Après avoir été grièvement blessé lors d'un combat avec des soldats de l'Ordre Impérial, Richard est soigné par Nicci, de manière fort peu habituelle : grâce à la Magie Soustractive. A son réveil, Richard veut savoir où se trouve sa femme, Kalhan. Problème : ni Nicci, ni Cara, ni même le reste de ses hommes, ne connaît cette femme. Pour eux, elle n'existe pas. Nicci est alors persuadée que Richard s'est créé une femme imaginaire afin de supporter la souffrance due à sa blessure, et qu'à son réveil, il s'est révélé incapable de faire la différence entre le rêve et la réalité.
Mais Richard sait que sa chère épouse existe, que sa disparition risque d'avoir de graves conséquences, et va tout faire pour la retrouver, tandis que ses amis font tout pour le convaincre qu'elle n'est pas réelle et qu'il doit à tout prix se consacrer au combat contre l'Ordre. le chemin de la vérité sera plein d'obstacles pour Richard, car comment peut-il continuer à croire en lui-même quand toutes les preuves tangibles sont contre ses arguments et que personne ne veut le croire ?

Ce qui m'a terriblement frustré dans cette histoire, c'est justement le fait que personne ne veut croire Richard. Il a toujours tout fait pour aider ses amis, il est toujours parvenu à régler les problèmes rencontrés au fil de leurs aventures, et pourtant, au moment où il a le plus besoin d'eux, ils refusent de le croire. Personnellement, ça m'a frustré autant que Richard était frustré de ne pas parvenir à convaincre ses proches de l'existence de Kalhan. C'est impressionnant à quel point on ressent les sentiments du personnage.
De plus, on ne voit pas Kalhan pendant presque tout le tome. Par conséquent, on ne sait pas du tout ce qui lui est arrivé. Tout au long du livre, on se demande, comme Richard, où elle a bien pu passer, ce qui a bien pu se passer pour qu'elle disparaisse d'un coup, y compris de la mémoire des gens.
Le suspense mis en place dans ce tome est vraiment efficace. J'ai eu du mal à arrêter la lecture, tellement je désirais connaître les réponses à toutes ces questions que Richard, et moi-même, nous posions.

Ici, Terry Goodkind accomplit une véritable prouesse ! Alors que les tomes 7 et 8 (surtout le 7), étaient quelque peu décevants, il revient en force avec ce neuvième tome au suspense intenable, où l'on se sent plus proche que jamais du personnage de Richard, seul contre tous. D'autant plus que, même si Richard a pu obtenir quelques réponses, ses problèmes ne se résolvent pas à la fin, soit : la suite au prochain tome.
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C'est parti, l'intrigue redémarre, et sur les chapeaux de roue qui plus est!

ATTENTION SPOILER!!

Ce tome est vraiment excellent, et Terry Goodkind réussit à nous faire rêver comme dans les premiers tome. C'est un peu, en quelque sorte, un retour aux sources.
Tout commence par une incompréhension la plus totale : Richard, agonisant avec un carreau d'arbalète dans la poitrine.
On se dit : "Non, c'est pas possible, Richard ne se ferait pas avoir par un simple projectile!". Et bien si!
Mais le pire dans tout ça, c'est que Kahlan n'est pas à ses côtés dan ce moment tragique.
Alors, petit lecteur observateur que nous sommes, nous nous disons bêtement : "Mais elle est où la namoureuse du sourcier ?" C'est bien ça le problème : plus de Kahlan à l'horizon!
En effet, non seulement on ne sait pas où elle est, ni ce qu'elle lui est arrivé, mais pire encore, personne, mis à part son bien-aimé, ne se souvient d'elle!
Plus désemparé que jamais, Richard met évidemment tout en oeuvre pour la chercher, et comprendre ce qui se passe.
Mais son aventure ne sera pas de tout repos, car la "bête" le traque...
Personnellement, j'ai adoré cette créature du royaume des morts, qui peut prendre la forme qu'elle désire (une bête de chair et de sang, un nuage de ténèbres...).
Ce que j'ai apprécié aussi, c'est le mouvement ! Après avoir stagné dans des lieux au sud pendant quelques tomes, Richard redevient un vadrouilleur !
Ainsi, il fait un petit saut en Altur rang (où Nicci mènera une bataille excellente!), un autre chez la voyante Shota ( ça m'a fait plaisir de la revoir!), un autre dans la forteresse du sorcier (ce qui lui permet de revoir certains de ses amis) et enfin dans un nouveau lieu où il découvrira le grimoire tant désiré : la chaîne des flammes!
Dans ce tome, on ne s'ennuie pas une seconde, ça c'est certain. Troublé autant que Richard, le lecteur commence lui aussi à douter : et si Kahlan n'avait jamais existé? Après tout, Terry Goodkind est assez farfelu pour jouer de nouveau avec nos nerfs.
Mais au fond de nous, nous savons qu'elle existe, car nous recherchons tous les évènements du passé où elle intervient, et nos doutes s'évaporent peu à peu.

Ce tome, premier de la trilogie finale, est donc un des tomes incontournables de la série, et on peut très largement le mettre sur le même piédestal que les premiers.
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Me revoilà plongé dans l'univers de Richard, Kahlan et Cara. Qu'est-ce que je peux aimer tout ça ! Me voilà servi avec ce 9ème tome de la saga de l'Épée de vérité.

La lecture est toujours aussi aisée tant le style d'écriture (de la traduction) est fluide et agrémenté de descriptions très détaillées.

L'intrigue concerne encore principalement Kahlan et de sa disparition de toutes les mémoires. Richard va tout faire pour comprendre ce qu'il se passe, mais cela ne va pas aller sans aléas plus ou moins douloureux pour lui et son entourage.

L'histoire dans ce volume connait plusieurs phases d'intensité différentes. On commence avec une partie assez dynamique et assez courte posant les bases de la suite du roman, pour arriver ensuite à une phase relativement longue pendant laquelle pas grand chose ne se passe, enfin, pas d'évènements à couper le souffle ni débordant d'action. Néanmoins, on est tenu en haleine par le fait que Richard se bat constamment pour prouver aux autres que Kahlan n'est pas morte et enfin pour la retrouver. Enfin, le final, qui est un régal à lire, mais qui ne dure pas très longtemps. Il y a enfin de l'action, et pas qu'un peu ! Des révélations, mais aussi de nouvelles interrogations.

Ce 9ème tome pose les bases de la suite (10ème et 11ème tomes qui vont clore la saga). Malgré des longueurs, ce livre est quand même bien sympa à lire. L'histoire est toujours prenante, et on a envie de savoir comment Richard va s'en sortir.
Lien : http://versdessables.wordpre..
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